|
|
|
Le Julung 17 Astawir 1508 à 09h45
|
|
|
| Siana se promenait dans les rues d'un pas hésitant. Tout était si ... grand, si sonore ! Siana parcourait les petites rues de Farnya, observant les échoppes, les gens, les gardes, les gamins, les maisons ... Ce qui devait arriva, elle se perdit.
Siana continua son chemin, cherchant la sortie de ce dédale de ruelle, avant de demander son chemin à garde.
Monsieur le garde ! Si le vous plait ! Je me suis perdu et je ne trouve pas la sortie ! Aidez moi !
Siana fit un petit moue de la bouche et s'efforça d'afficher un regard triste. Le garde tomba sous le charme à l'instant.
Ah ma p'tite dame, pour sortir d'ici ... c'est tout droit ...hé hé .... Ou plutôt à droite de cette ruelle puis la deuxième à gauche hé hé
Siana remercia d'un sourire le garde avant de partir dans la direction donné, sentant le regard de l'homme sur ces épaules.
Siana finit par sortir des ruelles et se décida d'acheter une carte au plus vite, le garde était moche à tomber !
| |
|
|
|
|
|
Le Julung 17 Astawir 1508 à 14h20
|
|
|
| *** Arda se faufilait à travers la foule du marché, sans avoir vraiment de but précis, il regardait les étalages du coin de l’œil, rien de nouveau à première vu, il acheta quelques fruits tout de même, et plaisanta avec un marchand, mais rien, personne n’avais besoin de coursier. ***
Aujourd’hui encore, nous allons être payés à rien faire ! Si j’avais su que le travail de coursier serait aussi simple, j’aurais commencé plus jeune.
dit :Arrête de te plaindre, au moins tu a le temps de t’amuser tout le temps.
Oui mais imagine une vie d’aventure, avec des combats épiques contre des aberrations crachant des flammes !
dit :Oui j’imagine bien, tu l’attaque, elle riposte avec une boule de feu, et tu reste collé à la poile, ça m’a l’air passionnant.
J’aime quand tu m’encourage comme ça.
*** Plongé dans ses pensées, le Tchaë ne vit pas sortir de la rue, une jeune fille, qu’il percuta. ***
Mais faites attent…
*** Il s’arrêta nette, alors une idée lui vint. ***
Ah ! C’est vous mademoiselle, je vous cherchais, on m’a prévenue de votre arrivée, bienvenue chez les coursiers ! | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Le Julung 17 Astawir 1508 à 19h19
|
|
|
| Coursier, c’est le boulot où on pense pouvoir voyager, voir du monde, être à l’air libre, avoir peu être quelques avantages en tant qu’ordre faisant partie de la bulle rouge, sauf que, malgré la paye des plus sympathique, excusez moi l’expression, mais on s’fait chier.
Pas de boulot, car pas de client, je ferais bien garde du corps, mais là encore, la bulle noir s’en accapare, et la bulle noir c’est hors de question, pour les raisons suivantes, c’est personnel.
*** Le jeune Tchaë avait ses mains sur sa nuque et faisait quelques tours sur lui-même régulièrement regardant à droite et à gauche, tout en discutant, il ne tenait pas en place.
Leurs pas les menèrent en place d’un immense escalier, dont on ne voyait pas le sommet, et qui zigzaguait entre les rochers. ***
Voici l’escalier qui mène au jardin d’Ykena, situé au nord est de la belle ville de Farnya, il mène à un petit paradis florale après de longue minutes d’escalade.
Si vous voulez bien me suivre.
*** Il vit une révérence un balançant la main en direction de l’escalier. *** | |
|
|
|
|
|
Le Julung 17 Astawir 1508 à 20h28
|
|
|
| Siana suivait son guide, écoutant ces explications. Malgrè ce qu'il disait, elle ne voyait toujours pas pourquoi il l'avait interpeler comme étant une coursière et ce qu'il pouvait trouver dans cette tache, ingrate selon elle.
Arrivé, au pieds de l'escalier, Siana regarda le nombre de marche de ces grands yeux et éclata de rire.
Mais pourquoi, pourquoi faire son nid aussi haut ! Si j'appartiens à la bulle bleu, je vais pas faire la monter et la descente tout les jours ! Ah sa non, j'y arriverais pas ...
Siana prit sa respiration calmement avant de s'attaquer à la première marche.
Une de fait, mais combien il y en a ?
Trop. Beaucoup trop.
Beaucoup plus tard, Siana et son guide arrivait en haut. La jeune femme était visiblement à bout de force et demanda de s'arrêter un instant avant de s'assoir par terre.
| |
|
|
|
|
|
Le Julung 17 Astawir 1508 à 21h58
|
|
|
| *** Le jeune Tchaë avait aussi le souffle rapide, il avait un peu chaud, et ne se fit pas prier pour une pause, qu’il faisait d’habitude affalé dans l’herbe au milieu des jardins d’Ykena.
Il sortie alors une gourde d’eau qu’il tendis à la jeune fille. ***
Tenez buvez, à force de les monter souvent, j’ai prévu le coup.
*** Il sourit en tendant la gourde. ***
Vous finirez bien par prendre l’habitude mademoiselle, et qui sais, si un jour vous avez besoin de quelque chose, vous pourrez vous le faire livrer par moi, sans avoir à monter ou descendre ces escaliers. Et comme ça j’aurais du travail.
*** Il se mit à rire légèrement. ***
Vous venez donc pour entrer dans la bulle bleu si j’ai bien compris, vous avez déjà une idée de vos future exercice dans cette loge ? | |
|
|
|
|
|
|
|
Le Vayang 18 Astawir 1508 à 16h35
|
|
|
| Vous devriez peut être essayé de la contacter à l’aide de votre Mou, le truc jaune avec lequel vous pouvez parler, et communiquer par télépathie, je suis sur qu’il trouvera votre amie, ces choses on un don pour ça, encore meilleur que l’intuition féminine.
dit :Eh oh, la chose tu sais ce qu’elle te dit ?!
dit :Très bien laisse moi faire, avec toi elle n’est pas près de comprendre.
dit :En se symbiosant, le Mou rend son symbiote télépathe, lui permet une progression physique et intellectuelle sans précédent, si c’est pour vous dire à quel point sans bous vous seriez perdu, heureusement on n’a pas eu à vous apprendre à marcher, ni a parler, vous n’êtes totalement irrécupérable, mais bon, on ne peut pas tous être aussi parfait que nous les Mous ! Surtout aussi parfaite que moi !
Voilà, sans les ajouts de personnalité ça donne un peu près cela.
Sinon en ce qui concerne la magie, il faut choisir en choisir une en fonction de son caractère. Comme disait un ancien de part chez moi, la magie c’est comme les femmes, quand tu en choisi une, c’est pour la vie !
*** Le jeune Tchaë se leva, et bien mademoiselle, il est temps pour moi de quitter votre compagnie, j’espère que vous serez impressionnante dans la voie que vous aurez choisi, comme ça je pourrais me vanter de vous avoir parlé auprès de mes amis. ***
*** Il dit sa phrase un sourire aux lèvres, puis commence à partir avant de s’arrêter et d’ajouter. ***
Ah oui j’oubliais, éviter de rentrer dans les jeunes hommes pour les draguer, qui sais un jour cela pourrais vous apporter des ennuis.
*** Il se mit à rire puis il fit un signe de la main et disparut dans les jardins. *** | |
|
|
|
|
|
|
|
|