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Alors que Tatsumasaf se promenais au marché, il croisa une dame assez agée qui semblais peiner sous les courses qu'elle avais faite.
Bien poliement il lui proposa de l'aider en ces termes :
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« Madame, accepterez vous de me laisser faire ? Vous semblez bien en peine, et pour le coup vous pouvez vous soulager de vos tracas. »

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La femme, une enseignante de la bleue habituée aux contrepèteries réfléchi un peu au paroles de Tatsumasaf et trouva se dernier très direct mais avais tout de même envie d'accepter ce qu'elle comprenais. Qui n'était naturellement pas du tout ce que voulais dire Tatsumasaf.
Aussi répondit elle :
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« Avec plaisir.
Cependant faites attention à ne pas aller trop vite.
Quand on veut aller plus vite que le son, on risque de se briser la nuque. »

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Naturellement, Tatsumasaf trouva cette remarque étrange mais pensa à une expression locale. Il répondit naturellement :
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« Madame, il n'y a aucune problème. Passez devant, je vous emboiterai le pas avec conscience. »

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Ce qui retira les doutes qu'avais encore la dame qui répondit aussitôt :
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« non, la rue du quai »

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Tatsumasaf marqua un temps d'arrêt devant cette remarque bizarre en ce demandant ce qu'elle avais compris.
Il se dit qu'elle devais avoir eu un moment d'absence et avoir répondu instinctivement l'endroit où aller.
Il répondit, sans faire de remarque risquant de vexer et en prenant les courses de la dame :
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« Très bien, allons y pour la rue du quai. Je vous suis. »