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Le quartier résidentiel

Entrevue avec le Prince.

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Sujet lancé par Bagnus
Le 09-06-1510 à 19h08
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Posté par Ethan Gorgo,
Le 17-06-1510 à 11h40
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Bagnus

Le Merakih 9 Jayar 1510 à 19h08

 
**Bagnus avançait d'un pas rapide vers le palais. Son statu de Commandant lui permit d'entrer facilement. Le Prince allait le recevoir et il savait que ca ne serait pas la joie...Après avoir passé plusieurs contrôles, il vit la porte du bureau s'ouvrir. L'officier entra, se mit au garde a vous et se présenta.**

Commandant de l'Avant Garde Bagnus!

**Il marqua un temps d'arrêt, comme pour mieux captiver l'attention du Tchaë qui se trouvait a quelque mètres de lui. Il en profita même pour ouvrir une "connexion" télépathique avec le Général, de manière a pouvoir demander de l'aide en cas de problèmes d'humeur.**

Si je souhaite vous rencontrer Frère Précepteur, c'est parce que j'ai une requête a vous présenter. En effet, come vous le savez, mon rang fait de moi le chef de la sécurité et de la surveillance au sein de la Bulle Noire... J'ai donc en charge aussi bien les missions de reconnaissance que les patrouilles urbaines.

Or..a Farnya un problème se pose. Deux forces de sécurité se trouves présentes sur le même lieu, et une concurence c'est installée. A tel point que certains miliciens ont empéchés mes hommes de patrouiller.

Loin de moi l'idée de critiquer la milice Rouge, mais en ces temps de crise, je pense que la sécurité de la ville devrait revenir a la Noire, premièrement parce que chacun doit je pense faire ce qu'il sait faire de mieux: les Bleus cherchent, les Rouges construisent et nous assurons le métier des armes. Ce que je veux dire par la, c'est qu'aucun milicien n'est un soldat...contrairement a mes hommes.

De même, si les troupes Noires ne peuvent patrouiller librement dans la ville, et par conséquent se familiariser avec le terrain, repérer les zones les plus avantageuses pour se défendre et bien d'autres subtilités qu'un milicien ne pourrait voire, si nous ne pouvons pas faire cela, alors je crains le pire si la ville est attaquée!


**Le discours était bien rodé, l'officier connaissait le sujet sur le bout des doigts et son élocution avait été parfaite. Bine que sachant comment le Prince allait réagir, il était assez fière de lui.**


 
Ethan Gorgo

Le Julung 10 Jayar 1510 à 17h40

 
Jolie entrée.
Le Commandant avait enchainé présentation, salut et argumentation comme une véritable manœuvre militaire. Et il serait difficile de ne pas dire qu'il eut fait mouche.
Sur la forme, c'était parfait.
Sur le fond, cela préfigurait une situation que le Prince avait envisagé. Longuement médité. Mesuré et anticipé sur de nombreux plans. Dès l'annonce de l'ultimatum sur l'ancienne Capitale.

Les hostilités commenceraient donc ici.

Le Prince avait reposé sa plume, puis avait joint les mains devant lui. Écoutant le discours sans lâcher son interlocuteur du regard. L'air sévère, mais réfléchi. Il ne paraissait ni outré, ni en colère. Après une lente expiration, il répondit :


Qu'est ce qui vous fait penser, Commandant, que vous défendrez Farnya mieux que vous n'avez défendu Oriandre?

Le ton était calme, la voix sereine, presque curieuse. Le propos par contre était incisif.

Vos hommes sont des soldats. Mais ce ne sont pas des miliciens justement.
Les vôtres sont entrainés pour la guerre. Les miens sont formés pour veiller à l'ordre public.
L'armée n'est pas une police.

Quoique vous en disiez, nos miliciens sont équipés pour cette fonction là. Peut être ne connaissez vous pas encore suffisamment la Pourpre et son organisation, mais aucun d'entre eux n'est syndiqué. Miliciens, c'est leur travail. Ce ne sont pas des forgerons ou des tailleurs que l'on choisit au hasard, à qui l'on donne un uniforme et une arme, puis qu'on largue dans la rue. Et ils sont bien plus adaptés que des soldats pour accomplir leur mission de sécurité intérieure.

D'ailleurs, je préfère savoir vos hommes en train de repousser je ne sais quel danger, créatures, ou que sais-je encore, plutot qu'en train de faire le guet devant une auberge ou une usine. Comme vous l'avez dit : faisons ce que nous savons faire le mieux.


Etrange. On aurait pu penser qu'il se serait énervé. Décidément, tout laissait supposer que le haut dignitaire avait grandement réfléchi à cette question, bien avant que Bagnus débarque dans ce bureau. Son discours prit d'ailleurs une tournure sans doute inattendue:

Maintenant j'ai conscience du problème que vous évoquez.
La concurrence malsaine, les différents niveaux de sécurité, la répartition des taches. Tant que l'état d'urgence n'a pas été levé, nous avons encore le temps d'éclaircir tous ces points, de sorte à définir les limites de chacun.
Qu'en dites vous?


Le Prince, conciliant? Non, vraiment, il y avait un hic. Tout cela sonnait faux. Pourtant, il avait l'air bel et bien sincère.

 
Bagnus

Le Julung 10 Jayar 1510 à 19h36

 
**Le commandant était étonné par la réaction du Prince...Essayait-il de gagner du temps ou était-ce son vrai point de vue?
Mieux valait ne pas prendre de risque et rester aussi prudent que possible...**


Prince, la perte d'Oriandre, aussi tragique soit-elle est due au Tark'nal, c'était inévitable...

**La blessure de la défaite était encore présente, on sentait une pointe de tristesse dans sa voix. Après quelques secondes de pause Bangus reprit de plus belle.**

Je n'ai jamais remis en cause la capacité de vos miliciens a assurer l'ordre publique. Mais vous voyez comme moi que la ville n'as rien voir avec ce qu'elle était depuis l'arrivée des réfugiés.
Je me suis renseigné avant de venir vous rencontrer...d'après mes éclaireurs, Farnya n'est que peu menacée par l'extérieur pour le moment. Bien qu'une attaque violente et massive soit toujours plausible, ce n'est pas ce qui m'inquiète le plus, le Tark'nal etle rejetons qui l'accompagne étant partis a l'Est...


**L'officier parlait sur un ton martial, comme lorsqu'il présente un rapport. Car c'est bien de cela qu'il est question, si il voulait réussir a convaincre le Prince, il fallait jouer cartes sur table. Du moins c'est ce qu'il pensait.**

Non, pour moi il faut se méfier de ce qui est proche de nous. La population de la ville a presque doublée, les larcins doivent se multiplier et je crains que la situation mette du temps avant de se stabiliser.

Je ne connais pas vos effectifs, mais je doute que vos hommes soient assez nombreux pour tout surveiller, pour mener a bien toutes les enquètes,...Les miens non plus me direz vous, mais vous m'avez parlé d'une sorte de collaboration, de partage des prérogatives...pourriez-vous m'expliquer un peu plus en détails votre idée s'il vous plait. Après tout un compromis peut surement nous sortir de l'impasse...


 
Ethan Gorgo

Le Vayang 11 Jayar 1510 à 03h27

 
Le Prince écouta attentivement Bagnus. Le ton de cette discussion dérivait lentement. Et malgré l'allure martial qu'il se donnait, le noiraud affichait moins de certitude que lorsqu'il était entré. Malheureusement pour lui, Ethan Gorgo n'avait pas fini.

Je vous rejoins parfaitement sur ce point, Commandant.
La Milice souffre déjà d'un manque d'effectif. Nous allons devoir recruter. Et sans doute pouvons nous dès maintenant placer vos sentinelles aux portes et aux tours de la Cité. Cela libérera quelques gardes rouges.
Cependant, j'aimerais vous rappeler que nous faisons face à une toute nouvelle situation. Et vous ne pourrez pas ici reproduire ce que vous aviez à Oriandre.


Disant cela, il se leva et se tourna vers un meuble qui lui servait à stocker quelque alcool de valeur. Il en retira d'ailleurs une bouteille aux reflets pourpres, puis contourna son bureau pour venir s'assoir sur un fauteuil près de son interlocuteur.

Mettez vous à l'aise, dit il simplement, en désignant l'autre fauteuil en face du sien.

Le Prince avait une façon très personnelle de vous poser des questions qui semblaient être des ordres déguisés.
Il déposa ensuite deux verres sur une table de basse qui se trouvait entre eux et se servit.


Vous prendrez un verre, Frère Bagnus?

Ils pouvaient voir une grande partie des quartiers de Farnya à travers l'immense fenêtre qui les séparait. Une ville qui ne dormait jamais. Le Prince appréciait cette vue.
Effectivement, il s'agissait d'une situation nouvelle. Certaines choses changeaient. Même cette discussion évoluait. Elle échappait peut être un peu à son destin premier.


Je disais donc...la Capitale était avant tout une forteresse militaire.
Ce n'est et ne sera pas le cas de Farnya. La Pourpre a toujours été le coeur de la Fraternité de par la prédominance de la Bulle Rouge. Prédominance indispensable. Vitale. Pour vous, comme pour moi. Et si cela fonctionne, c'est parce la vie s'est construite autour de cette idée là. Et il ne faut point que cela change. Les gens d'ici, les travailleurs, les syndicats, le marché, les va et vient incessants, tout cela forme un désordre parfaitement maitrisé.

C'est là que la garde rouge prend tout son intérêt.
Elle fait partie de la Cité. De cette organisation. Elle sait quand elle doit intervenir et quand elle ne le doit pas. Elle connait la vie d'ici, les gens d'ici. Elle a l'expérience de ce qu'il faut surveiller et de ce qu'il faut laisser faire pour que le travail se développe.

Ce qui me parait difficilement compatible avec des colonnes de soldats noirs arpentant nos rues et nos places intervenant avec beaucoup moins de souplesse que la Milice. L'effet pourrait être désastreux sur la productivité, la confiance, l'atmosphère de Farnya. De la Fraternité même.


Ne pas mettre son nez dans les affaires des autres. Une chose à laquelle même Bagnus pouvait acquiescer. Puisque c'était un peu l'argument qu'il avait usé en arrivant et qu'il se voyait reprendre en pleine figure. Personne ne venait coudre un uniforme abimé pendant une patrouille ou un exercice. Question d'efficacité. Et puis les militaires avaient leurs habitudes. Oriandre en avait été imprégnée. Cependant tout avait une fin et le Prince cherchait clairement à le montrer. Comment se faisait il qu'Ethan expliqua ces choses là sans même le moindre soubresaut d'énervement? d'agacement?
La réponse allait venir. Il allait en donner pour son argent à ce soldat parti la fleur au fusil.


Je veux dire par là, que si vous tenez à aider notre Fraternité, il va falloir trouver un moyen pour que votre Corps d'armée puisse exercer une fonction de police sans être complètement rattaché à la Bulle Noire. Il est indispensable pour l'ordre public que la milice, dans le cadre de sa mission, reste maitresse de son sujet.

Je vous suggère donc la création d'une section citadine spécialisée, qui soulagerait la Milice dans certains de ses devoirs et viendrait suppléer ses interventions lorsque cette dernière se verrait débordée. Sous la responsabilité de la Milice bien entendu. En dehors de cela, cette section se chargerait de la surveillance et des patrouilles nocturnes en périphérie des quartiers actifs.

Une cinquantaine d'homme pourrait suffire dans un premier temps.


Au moins le soldat noir n'avait pas fait le voyage pour rien.

Pendant ce temps, nous continuerons de remettre tout le monde au travail.
Car celui qui travaille, ne musarde pas. Il ne vole pas et il ne dérange pas le milicien ou le soldat.

Quant au reste de vos hommes, continuez de leur faire faire ce qu'ils savent faire le mieux, Commandant. Escorter nos prospecteur vers nos mines, nos coursiers vers les autres villages, et surveiller les montagnes pour prévenir une attaque imminente. Installer des postes avancés. Sécuriser Farnya contre toutes sortes de menaces. Il n'y a pas que le Tark'nal. Mais, je ne m'étends pas à ce sujet. Le Général et vous même êtes bien plus qualifiés pour savoir quoi faire de l'Avant Garde Noire.

Dîtes moi plutôt ce que vous pensez de ma proposition.


 
Bagnus

Le Sukra 12 Jayar 1510 à 01h22

 
**Bagnus accepta le verre que lui proposait le Prince.**


Une section citadine...ma foi pourquoi pas y réfléchir...Mais si cette création voit en effet le jour, il faudrait aller plus loin.


**Il fit une pause pour boire une gorgée. Il n'avait pas l'habitude des alcools de qualité, plus habitué a trainer les tavernes douteuses ou la vinasse coulait a flots.**


Je veux dire par la, si cette collaboration a lieu, pourquoi pas organiser une formation conjointe de la garde Noire et de la milice Rouge, afin que chaque homme sache travailler avec ses Frères...ou mieux...Peut etre pourrions nous, en l'attente d'un quelconque accord officiel autoriser mes hommes a accompagner les votres en patrouille.

J'entends par la leur permettre de connaitre le fonctionnement de la ville et par la même occasion aider vos miliciens en cas de coup dur...Je pense que la présence d'un soldat de la Noire pourrait leur donner plus de poids auprès des habitants d'Oriandre fraichement arrivés...


**Bagnus ne savait pas jusqu'ou il pouvait aller dans cette situation. Il restait très prudent, ne donnant aucun accord de principe, pas plus que la chance au Prince de prendre l'aplomb sur les négociations. Non pas par méchanceté mais par prudence de soldat, dans l'attente d'ordres plus précis par messagers ou télépathie.**

 
Ethan Gorgo

Le Dhiwara 13 Jayar 1510 à 11h55

 
Une formation conjointe, sous le commandement civile alors. Sinon je n'en vois pas l'intérêt.

Les traits du Prince se font plus durs. Mais pas encore ses mots.

Vous êtes venu me trouver ici pour me parler de concurrence malsaine, je vous le rappelle, Commandant. Et voilà désormais que vous esquivez ma suggestion en me parlant de coopération. Alors que nous savons très bien -pour les raisons que j'ai déjà cité- que police et armée ne feront pas bon ménage.

Si à votre rang, vous n'avez pas de pouvoir de décision sur votre propre Corps d'armée, effectivement les choses évolueront difficilement. Et je me demande bien alors pourquoi vous avez tenu à cette audience.


Non pas encore.

N'aviez vous pas un soupçon d'ambition en venant ici, Bagnus? L'envie d'aller plus loin justement.

A bien y réfléchir, la suggestion princière était peut être à considérer comme une offre. Et il y avait de fortes chances pour qu'il ne la soumette pas une seconde fois. Alors que le haut-gradé noiraud cherchait à gagner du temps, voilà que le Précepteur le mettait devant ses responsabilités. La conclusion était proche.

 
Bagnus

Le Matal 15 Jayar 1510 à 12h42

 
**De l'ambition...C'est certain il en avait, mais il venait de recevoir une pensée du Général dans laquelle les ordres étaient précis.**

Prince...il est vrai qu'un officier doit etre ambitieux...mais il faut aussi savoir effacer son égo lorsque l'intérêt général est mis en jeu.


**La situation était délicate, mais le Prince ne laisserait pas l'armée surveiller sa ville...pas plus que Bagnus ne laisserais la Milice rouge être toute puissante face aux Noireauds. Si chacun campait sur ses postitions, le débat pourait durer plusieurs heures encore.**


Il n'y a que deux solutions a ce débat. J'ai toutes les autorisations nécessaires pour signer un accord immédiatement. Soit nous nous arrangeons pour intégrer des Noireauds aux patrouilles, Soldats qui évidement nous feraient remonter des rapports sur leurs activités. Soit nous délimitons des zones de patrouille.

A mes yeux, la solution la plus sage serait la première...vous l'avez vous même dit...la population risque de mal supporter le fait que la Noire les surveille et applique ses méthodes...


**Le commandant sortit alors une feuille et de quoi écrire de sa besace. Construisant le texte a voix basse.**

Je vais écrire...

 
Ethan Gorgo

Le Julung 17 Jayar 1510 à 11h40

 
Le regard du Prince se fit dubitatif.
Il observait ce haut gradé se comporter comme un officier de première classe. Se réfugiant derrière ce qu'il avait le droit de faire. Ce qu'on lui avait dit de faire. Le voilà même prêt à écrire tout cela sur une feuille. Derrière la fermeté se cachait une tentative d'esquive de l'offre princière. Ainsi soit-il.


Vous écrirez plutard, Commandant!

Le ton était monté d'un cran cette fois. Ce petit jeu n'amusait plus son Altesse. Il posa son verre et se leva de son siège pour contourner à nouveau son bureau. Le Prince avait repris sa place. Ses yeux n'étaient pas rouges de colère, son agacement était toutefois prononcé.

Nous avons convenu ensemble qu'armée et police ne jouaient pas le même rôle. Comme cela a toujours été le cas dans la Fraternité. Même à Oriandre. Les affaires civiles restent au Civil! Alors ne venez pas me parler d'intégrer des soldats à la Milice! Je ne perdrais pas mon temps à débattre de ce genre de bricolages juridictionnels.

D'autant plus que Farnya n'est pas sur le point d'imploser. Il n'y a ni urgence ni obligation à trouver un accord. Le tableau que vous vous figurez est bien plus noir que la réalité. La Milice peut très bien s'en sortir. Les quelques renforts arrivés avec le convoi de réfugié suffiront à combler les brèches.


Il rouvrit le dossier qu'il traitait avant l'arrivée du Commandant de l'Avant-Garde. Signe clair que cet échange touchait bientôt à sa fin. Le Prince fixa ensuite son interlocuteur.

Comprenez bien : nous payons les soldats bien assez chers pour qu'ils se contentent de faire de la surveillance de marché ou des arrestations de voleurs à l'étalage. Il y a suffisamment d'immondices à l'extérieur pour que la Bulle Noire trouve de quoi occuper toutes ses troupes.

Que votre Corps d'armée tienne aussi à participer à l'effort collectif et citadin, ceci est louable. Mais il devra s'adapter à une fonction de police. Il ne suffit pas de porter une arme et un plastron pour cela.


L'index levé, comme on le ferait pour un rappel à l'ordre, et l'air plutôt sévère.

Par contre, que ce soit clair, si vos hommes s'ennuient et que leur mission de sécurité 'extérieure' ne les accaparent qu'une infime partie de leur temps, ils ont le choix de faire comme tout le monde : travailler! Les syndicats ont besoin de force vive. Les loges dans une moindre mesure. La Cité toute entière se réorganise et ce n'est pas de soldat dont nous avons besoin dans l'immédiat. Qu'ils déposent leur équipement, leur cape de jais, leur affiliation à la Bulle Noire, et qu'ils aillent contribuer à l'effort de production de la Rouge! Même les bureaux de la Mairie ont besoin de recruter en ce moment. Ils peuvent aussi intégrer la Milice si ça leur chante!

La Fraternité a toujours fonctionné ainsi, cela ne changera pas.


Tout cela devenait moins intéressant. Dommage. Autant y mettre un terme.
Le regard déjà posé sur les notes et rapports :


Maintenant, à moins que vous ne teniez à me parler du replacement de vos effectifs dans la vie civile, cette discussion est terminée, Commandant Bagnus, accompagné d'un geste de la main en direction de la porte.

Je tiendrais compte de vos états d'âmes, soyez en sûr...

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