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Le comptoir des Artisans

un métier pour éviter le vol ...

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Sujet lancé par Chaleam
Le 07-06-1510 à 19h29
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Posté par Kal'Ash,
Le 11-06-1510 à 16h50
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Chaleam

Le Luang 7 Jayar 1510 à 19h29

 
Chaleam s'avança vers le comptoir des artisans et déclara a la cantonade:
" hola, j'aurais voulu apprendre un métier quelconque, plutôt luthier.
Si quelqu'un avait l'obligeance de me guider pour m'apprendre ce métier, je suis ouvert a toute proposition

 
Bertille de Yersin

Le Luang 7 Jayar 1510 à 21h12

 
***
Tandis qu'elle musarde comme à son habitude dans le hall des artisans, Bertille est accosté par le frère qui fait parler de lui dans le Regroupement pour ses infructueuses tentatives de vol. Un instant interdite, la tchaë se trouve complètement dépourvue lorsque l'apprenti voleur s'exprime en nelda, ne comprenant rien à ce qu'il peut vouloir lui raconter.

S'éloignant vivement afin de ne pas voir sa bourse s'alléger comme par magie...
***


... frère... il serait préférable que tu t'exprimes dans notre langue plutôt qu'en nelda... en tchaë quoi...

***
Lorsqu'elle se considère suffisamment éloignée du danger, Bertille laisse vagabonder quelques pensées dans le Regroupement et rapidement une intervention musclée se met en œuvre.
***


L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Bagnus

Le Luang 7 Jayar 1510 à 21h43

 
**Dans un bruit de tonnerre Bagnus fit apparition dans la pièce principale du hall des corporations. Mains sur le pommeau de sa dague, un groupe de soldats noirs a l'entrée...Il beugla alors pour se faire entendre de tous.**

Chaleam sale musard, viens par la j'ai quelque chose a te dire!

**Le ton était stricte, presque martial. Sur ces belles paroles, le commandant alla s'isoler dans une petite pièce ou il pourrait discuter au calme.

Dans le même temps, des Noireauds entraient dans le batiment. Il n'y avait pas de miliciens, que les meilleurs hommes de l'officier.**


 
Chaleam

Le Matal 8 Jayar 1510 à 19h06

 
chaleam,ayant repérer les issus de fuites possible, s'approcha aux aguets

**d'une démarche furtive il s'avanca vers le dénommé Bagnus**

"oui oh grand Bagnus ?"
** ton respectueux mais légerement sarcastique**


 
Aedrenith

Le Matal 8 Jayar 1510 à 20h31

 
La doctoresse était dans le quartier, occupée à potasser les bouquins d'alchimie auxquels elle pouvait avoir accès, lorsque survint l'appel télépathique signalant qu'un voleur avait été repéré dans la halle des corporations. Et bien que cela soit à des lieux de ses fonctions, elle décida de se joindre aux Frères s'occupant de l'arrestation.

Les retrouver ne fut guère difficile, l'avantage des grandes capes noires, au milieu d'une foule, c'est à un tel point peu discret qu'il serait difficile de passer à côté, et elle joignit la teinte de jais de sa propre cape à celle des autres. Boitillant à leur hauteur, elle salua de signes de tête les soldats dont elle croisa le regard, et lorsqu'ils arrivèrent en vue du tchaë, autour duquel un petit groupe était déjà formé, elle se tint un pas en retrait, par rapport aux Frères de l'Avant Garde.

Arrêter un voleur, ça n'était pas vraiment son élement, elle était venue simplement au cas où l'individu se montrerait violent, et que des gens soient blessés pendant cette opération de routine. A Oriandre, très rares étaient ceux s'opposant aux patrouilles, mais ici, à Farnya, elle ne savait pas comment les choses se passaient. Ce serait l'occasion de savoir...

Quand la discussions commença, elle vérifia machinalement sa saccoche en bandoulière, contenant son matériel de soins.


 
Kal'Ash

Le Matal 8 Jayar 1510 à 21h13

 
Occupée à faire céder un ferrailleur dans une travée, la rouquine n'aurait pu louper l'entrée fracassante de la troupe de soldats d'élite venue marcher sur les plates bandes de la milice. Encore que la lutte contre les voleurs de pommes n'était réservée qu'a la bleusaille tout juste intégrée en temps normal.

Délaissant le marchand de toute manière refroidit par un tel déploiement de force elle contempla un moment le manège à distance, frimant de loin le nombre de soldats remontés, appelés en renfort pour interpeller le grand criminel.

Depuis quelques semaines déjà elle éprouvait des difficultés à se reconnaitre dans cette Fraternité mouvante dans laquelle on laissait tantôt deux éminents symbiosés se livrer à toutes les basses rapines imaginables, sans même relever ces actes commis au grand jour pour ensuite débouler a grand renforts de soldats pour un pauvre malchanceux probablement déboussolé par une symbiose récente.

Les mains sur les hanches la jeune borgne étouffa un rire. Fallait-il que la tragédie d'Oriandre résonne encore durement dans les cœurs de ses Frères et Sœurs pour qu'elle voit naitre de tel comportements à l'excessivité ridicule.


Elle doutait fortement que le détachement ne passe inaperçu bien longtemps, et sans doute les non-symbiosés présents se demandaient déjà quel pouvait être l'abominable crime du jeune Tchaë pour que la noire se substitue ainsi à la milice. En tout cas c'était ce qu'elle aurait pensé si elle n'avait pas eu Monsieur Moustache.



Elle s'approcha du groupe sans crainte, puisqu'en bon terme avec la majorité des noireauds. Elle avait son mot à dire avant que les proportions déjà imposantes prisent par la situation n'explosent au visage de ses protagonistes lorsque le Prince aurait eu vent de ce qui était en train de se dérouler dans les halles chères à son cœur.

D'un signe de tête elle salua Aedrenith sans toute fois saisir la raison de sa présence pour si peu. Sans doute la noire s'était donné le mot.

Sans plus de cérémonie elle pénétra dans la pièce à la suite du maladroit , habituée qu'elle était des affaires de réinsertion Fraternelles.

Levant les mains en signe d'apaisement, elle lança avec un sourire en guise de bonjour :



Alors quoi ? Vous partiez pour une fête et vous vous êtes planté de chemin ?

Son unique œil vert s'arrêta un moment sur Chaleam avant qu'elle ne reprenne à l'attention de Bagnus


Frère Commandant, t'a l'air sacrément sur les nerfs mais y a pas vraiment de quoi. Enfin si un peu... Mais si on y réfléchit c'est pas si grave que ça. On va essayer de discuter calmement hein ? Et si possible régler ça au plus vite.
Avec l'entrée que vous avez faites je donne pas plus de quelques minutes à la milice avant de débarquer.


Elle savait Bagnus suffisamment malin et au fait des procédures pour comprendre ce qu'elle racontait. A l'heure qu'il était plusieurs badauds étaient surement en chemin pour raconter ce qu'ils avaient vu ici. Nulle doute que l'humeur d'Ethan Gorgo en pâtirait sérieusement.


*** Puis se tournant vers Chaleam, dont elle espérait qu'il se montre lui aussi suffisamment malin pour deviner ce qu'il convenait de faire. ***


Allez Frère, vide tes poches, on va pas y passer la nuit !

Sur le consensus les nouvelles circulaient à une vitesse dépassant l'entendement commun, ce tout frais symbiosé allait le découvrir.




 
Bagnus

Le Matal 8 Jayar 1510 à 23h33

 
**Bagnus vit Kal' entrer, il la connaissait un peu et savait bien qu'elle allait aider a gérer la situation...d'autan plus que le Prince devait etre de bonne humeur pour une future entrevue.**

D'accord j'ai peut etre exagéré, mais toi mon grand, que j'te reprenne pas a faire ca...

**Si la milice venait, il en était fini du Commandant...mais aussi de tout les noireauds présents.**

On va rester calme d'accord...Pourquoi tu te mets a voler comme ca?

**Le commandant serait les poings de toutes ses forces...qu'un musard lui parle sur ce ton aurait été synonyme de gros ennuis mais la...Il s'approcha de la doctoresse et lui chuchota quelques mots a l'oreille.**


J'ai quelque chose a demander au Prince...si il m'as pas dans ses petits papiers, ca va pas passer...soit on règle ca en vitesse, soit on se fait pas chopper!

**D'un signe de tête il fit déguerpir ses hommes.**

 
Chaleam

Le Merakih 9 Jayar 1510 à 15h55

 
remarquant les gardes , une tchaé sympathique en train de se rapprocher, Chaleam, se dit qu'il devait parlementer.une troupe de badaud se formais, et il devait s'installer ici: il fallait que l'on est une bonne opinion sur lui.


Sachez Bagnus, que ces vols sont une mauvaise habitude que j'ai pris étant petit. Je pense qu'une fois installé dans la vie active , je ne volerais plus. De plus, je n'ai rien volé, seulement effleuré une bourse ou deux. C'est pourquoi, j'accepte toute punition , dans la limite du raisonnable.
Et je ferais mon possible pour me trouver, un travail.


ayant fini sa plaidoirie,et décidant que son sort n'était plus dans ces mains, il changea de sujet.

D'ailleurs , que dois-je faire pour gagner un bon salaire, et où puis-je trouver des buches de bois ?


 
Aedrenith

Le Merakih 9 Jayar 1510 à 21h20

 
Une telle situation, d'autant plus lorsqu'elle était relayée télépathiquement, finissait inévitablement par créer un attroupement, et comme qui aurait dit, on n'évite pas l'inévitable.

Ah... La télépathie, bien pratique don, qui permit à la doctoresse de connaitre l'identité de cette toute jeune borgne qui, s'approchant, la salua d'un signe de tête. Cela ne l'avançait pas beaucoup de savoir comment elle s'appelait, mais c'était mieux que de ne pas savoir ! Poliment, la tchaë lui rendit son salut, écoutant ses paroles au milieu de l'échange.

Puis ce fut le Commandant dirigeant l'opération qui intervint, pour tous, puis à voix plus basse, pour elle, tandis que le petit groupe se mettait dans un coin un peu plus discret. Et enfin le Musard, qui se joignit au ton de la conversation, provocant par son explication un petit rire chez la soigneuse, qui porta sa main gantée devant sa bouche pour se contenir.

Pardon, Frère.

Le Commandant du Corps de Médecine venu pour voir comment se faisaient les choses à Farnya en fut pour son argent, quand bien même elle n'avait rien payé. Visiblement, ici la justice se faisait en sous main, en négociant, et de façon très lâche. Et, chose qu'une fille de village comme elle n'ayant connu de ville que la rigoureuse citadelle noire, ici la garde n'était pas de la Noire.

D'instinct, elle n'aurait jamais procédé comme cela se profilait, aussi se félicita-t-elle d'avoir d'abord observé avant d'agir, car elle évitait ainsi de faire un scandale. Il allait lui faloir se faire aux manières de la Cité Rouge, d'autant plus si son Frère Noir avait à négocier avec le Prince, il fallait le laissait dans de bonnes dispositions.

Mais tout de même, étrange idée qu'un conflit entre Milice et Noire.

Deux groupes à la même vocation ne pouvaient donc s'entendre dans la Fraternité ?


 
Chaleam

Le Merakih 9 Jayar 1510 à 21h46

 
Chaleam déclara avec emphase:

Et bien, je me tiens a votre disposition mais je m'en vais essayer d'apprendre un métier. Il faudrait d'ailleurs instaurer une aide aux mendiant pour qu'ils se trouvent un métier.D'ailleurs, il me manque 9 girasol pour acheter le nécessaire pour mon métier. Sur ce je m'en vais !

et après un clin d'œil appuyé à ce qui semblait être une médecin, et un hochement de tête vers Kal'ash, il s'en fut rapidement, soulagé de s'en être sorti


 
Bagnus

Le Julung 10 Jayar 1510 à 00h02

 
**L'officier regarda le musard s'éloigner, puis se tournant vers la Aedrenith et Kal' il prit la parole tout bas.**


Eh bien voila une affaire de réglée...on est pas passé loin du désastre diplomatique...Merci mes Soeurs.

**Il leur adressa un léger sourire, chose qu'il faisait rarement en ce moment puis se dirigea vers la sortie.**

J'ai une audience avec le Prince...ça va être drole tiens...

 
Kal'Ash

Le Vayang 11 Jayar 1510 à 16h50

 
Ça pour être drôle...

La rouquine ne dit rien, mais n'en pensa pas moins. Car après tous ces évènements le Prince n'en trouvait sa position que confortée. Sa cité était la dernière de la Fraternité, et il ne faisait aucun doute pour la jeune Analyste qu'il ne la partagerait pas si aisément. Songer l'inverse relèverait d'une tendre naïveté.

Mentalement elle souhaita à son Frère bon courage.


Le nouveau symbiosé avait disparut en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. Un imprudent de plus qui avait échappé à un dur courroux qu'il n'avait pas réellement déclenché.
Ceci étant il n'était pas dans les habitudes de Kal'Ash de laisser ainsi aller les vauriens.

Son seul Œil resterait ouvert et attentif.



La tchaë médecin semblait moins satisfaite que son Frère noir. Elle comprendrait certainement plus tard, lorsque le spectre d'Oriandre et du Tark'nal se serrait éloigné.

Surement...

Peut être...



D'un signe de tête Kal' la salua avant de reprendre le court de son marché.






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