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Place des Tertres

La Place des Tertres Décrépitués

des expériences d'un mage atonique
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Sujet lancé par Da'regh
Le 25-04-1510 à 18h13
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Posté par Tchik,
Le 06-05-1510 à 10h17
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Da'regh

Le Dhiwara 25 Astawir 1510 à 18h13

 
*** La rumeur se faisait de plus en plus forte, se rependant au sein de la population tchaë plus vite qu'une trainée de poudre sur un champ de bataille.
Cela faisait quelques heures déjà que quelques soldats, aidés de quelques miliciens -afin que le Maire garde un léger contrôle sur la situation- tâchaient de faire évacuer la vaste place des Tertres.
Le contexte n'aidant pas -la ville étant en effet plus peuplée qu'elle ne l'était d'habitude depuis que le flot de voyageurs s'accumulait dans la ville Pourpre- ce ne fut pas chose facile que de forcer les citoyens venus faire leurs achats ou aller à l'auberge du coin d'emprunter un autre chemin et de laisser suffisamment de place pour les expériences de Tchik.
Le mage enchanteur avait en effet contacté le symbiosé Da'regh, un des rares noirauds présents, quelques jours auparavant dans l'idée de mener une expérience.
N'en ayant pas demandé plus, le sergent du Génie s'était simplement contenté de savoir ce qu'il devait faire.

Ainsi épaulé par quelques uns de ses camarades -cela allait les changeait de leurs après-midi à siroter chopines et à jouer aux cartes, d'autant que la chance ne lui souriait pas trop ces jours-ci- ils devaient veillé à sécuriser la place.
Tâche bien vaste, au lever du troisième soleil, la Place des Tertres était officiellement sécurisée.
Mis à part un ou deux artisans qui ne supportaient pas la main mise des Noirauds sur leur zone de travail, aucun problème majeur n'empêcha la réalisation de la mission si bien que le féru d'équations en tout genre allait pouvoir laisser libre court à son talent de savant qu'il était. ***


N'est pas le Bleu celui que tu crois!

 
Tchik

Le Dhiwara 25 Astawir 1510 à 19h44

 
Une foule s'agglutinait là dans cette ruelle qui menait directement à la Place du Tertre. Ca gueulait. Une tension typique des Rouges qu'on empêche d'aller travailler. La plupart, trop pressé, s'en allait petit à petit, décidé à contourner la zone. Ils n'avaient de toutes façons pas le choix, un cordon de noiraud s'était formé sur toutes les voies d'accès. Le vide qui se dessinait derrière eux avait quelque chose d'anormal car même la nuit il y avait du monde ici. Le cœur de la Cité était toujours en ébullition. Plan d'évacuation ou pas.

Tchik déboula donc dans un de ces attroupements de rouquins. Il se glissa entre les uns et les autres avec la finesse d'un gambol dans un champ de crychtiams. Les regards agressifs fusèrent sur lui sans qu'il n'en tint vraiment compte. En fait...il ne les voyait pas. Toujours un peu dans sa bulle de pensée, son hermétisme social rejaillissait clairement dans ces moments d'agitations. Derrière lui, un peu à la traine et moins confiant qu'il ne l'était l'heure précédente, Raëgur Séol le suivait à la trace, lançant des sourires gênés aux frères et sœurs offusqués de voir ces palezards s'inviter à leur manifestation.

Arrivés enfin sur le premier soldat, l'Expérimentaliste s'avança et montra du doigt qu'il désirait passer. Ce à quoi il se vit répondre :

NON! sur un ton un tout petit peu autoritaire. Cela se sentait que le noiraud avait atteint le seuil de raz bol classique à ce genre de situation où la population insistante venait leur gratter l'amitié à chaque minutes.
Raëgur, caché derrière Tchik -donc mal caché-, tendit le cou,
"Je crois que cela veut dire qu'on ne pourra pas passer hein...inutile d'insister, nous devrions ren...".
Tchik leva la main pour stopper la suggestion, puis il réitéra sa requête, avec des mots cette fois ci:
"Je dois aller là bas, le Sergent Da'regh nous attend."
Le soldat, qui s'était apprêté à dire "NO...", retint sa langue. Il fusilla Terenor du regard. Celui ci était parvenu à lui mettre le doute. Puis reprenant le dessus, il demanda:
"Vous avez une preuve?!", maladroit, mais cela lui permettait d'atterrir sur ses pattes. Malheureusement...
"Attendez..." fit le symbiosé en levant le doigt comme pour demander une pause, d'un geste assez péremptoire.

Le miracle de la télépathie fit alors encore son oeuvre : Da'regh était désormais au courant.



Interrupteur Enclenché!

 
Da'regh

Le Luang 26 Astawir 1510 à 18h13

 
*** Fier de voir que les ordres étaient bien exécutés, même trop bien, le sergent s'approcha du petit groupe.
Saluant le soldat du regard, il fit de même avec les deux Bleux. ***


Ca va, c'est pour eux qu'on fait tout ça!
Enfin, pour le prestige de la Fraternité plutôt
dit-il à l'attention de son collègue
Bien, je dirais que vous avez champ libre pour vos expériences confrères Tchik et euh... marquant une pause, il continua Raëgur Séol

At'Chüm dit :
Quel miracle que la symbiose
souffla-t-elle à son oreille

*** A moitié gêné, Da'regh continua ***


Bon, on va rester ici le temps qu'il faudra, mais vous devez savoir que celui-ci se fait de plus en plus rare aux vus de ce qui se passe..
Enfin, je compte sur votre savoir et votre talent pour trouver ce qu'il vous faut dans de brefs délais.
Bonne chance!


*** Serrant au passage la main des deux confrères, il les laissa passer avant d'entreprendre une ronde
Plus vite ils débuteraient, plus vite ils finiraient et plus vite le sergent pourrait continuer ses besognes! ***



N'est pas le Bleu celui que tu crois!

 
Tchik

Le Matal 27 Astawir 1510 à 18h55

 
Le murmure des rouquins, grondant dans les ruelles.
Les pavés désertés et les prospectus trainant à terre.
La silhouette de l'Arbre Rouge, à la fois calme et inquiète.
A raison.

L'idée qui avait traversé l'esprit de Tchik avait pour but d'expérimenter un outil d'altération de la Trame sur un objet plutôt incongru : la Place des Tertres elle même. On ne pouvait pas dire de l'Expérimentaliste qu'il n'était pas sain d'esprit. Toutefois, il faisait souvent preuve de certaines lacunes quand il s'agissait du sens de la réalité. Les paramètres qu'ils excluaient de son équation lui paraissait indéniablement n'avoir rien à faire avec son travail. Quand bien même ces paramètres étaient pour toute la Fraternité incontestable et insurmontable. Par exemple, obtenir une autorisation du Prince pour tester un des lieux Rouges les plus importants. Mais il ne fallait pas croire que ce diable de Terenor avait oublié ce genre de paramètre! Ohlà non! Au contraire, il l'avait exclu volontairement, sciemment. Pour des raisons que sans doute seule sa cervelle de scientifique pouvait percevoir.

Et à vrai dire, le Mage Séol commençait à comprendre qu'il avait été embarqué là dans une sacrée galère. Il sentait que ce frère symbiosé à lunettes, sans cacher son jeu, ne révélait pas tout son projet -sans doute pour ne pas perdre de temps- mais que celui ci était plus complexe qu'il n'y paraissait. Raëgur n'allait être qu'un outil dans les équations de Tchik, il n'était pas dupe, pourtant devant cette Place vide, un frissonnement d'enthousiasme parcourut le Mage Atonique. Cette situation ne se représenterait peut être jamais. En fait, il se retenait de sourire.

Ils s'étaient placés le plus loin possible de l'Arbre Rouge, derrière un des jardins où s'étendait un parterre de dalles de plusieurs dizaines de mètres, aboutissant à un espace de terre fraichement piétiné. Tchik observait la zone, concentré, réfléchi. Raëgur attendait, tendu.

Ici, fit le symbiosé. Puis tournant la tête vers le thaumaturge, je veux que vous vous imaginiez que Farnya a une âme. Cela ne servira peut être à rien, mais j'ai besoin que vous vous concentriez sur la bonne cible. Le tout, en crescendo.
Au fond de lui, Raëgur avait espéré qu'il avait mal compris les intentions de Tchik. Mais il devait se rendre à l'évidence : il y était jusqu'au cou désormais. Il allait réellement devoir attaquer la Place des Tertres. L'agresser, la violenter! Il allait devoir déformer sa Réalité comme jamais il n'en avait eu l'intention.
Tchik s'éloignait déjà du sol dallé quand Raëgur sortit de sa torpeur:

Mais!...Par quoi je commence?
Le Symbiosé se tourna à nouveau, l'air nonchalant:
Je ne sais pas...un Pourrissement du Sol pourrait faire l'affaire. C'est vous le 'Pro', frère Séol.

Et déjà, il reprenait sa marche vers son poste d'observation : un petit terre plein dans un des jardins proches, lui assurant une vue parfaite sur la scène. Paré pour scruter le flux et ses tergiversations. Que le spectacle commence!



Interrupteur Enclenché!

 
Narrateur

Le Merakih 28 Astawir 1510 à 20h08

 
Frère Séol, un instant décontenancé, se reprend vite.

il se concentre. Dans ses yeux danse une lueur mauvaise tandis que son humeur s'accorde à la noirceur des arcanes invoquées. On ne lance pas de sortilège décrépitant sans une pointe de mauvaiseté, sans volonté de nuire, de bien faire... du mal. Alors, quand en plus on vous le demande...

Pourrir le sol. Oui, c'est un bon choix. L'offense faite à l'endroit se double d'une blessure faite à la terre. La matière qui fait la place est altérée, changée, salement. Elle est souillée. Et dans sa préparation pré-incantatoire, Séol prend bien soin de se représenter la cité entière comme une entité, une pathétique victime dont il va tordre vilainement le paisible visage.

Quelques minutes suffisent. Lorsque le mage sent que sa haine le met directement en danger, il lâche toute sa puissance et la met au service de son but unique : meurtrir Farnya !

Le sol se craquèle, semble brièvement s'émietter, se pulvériser comme s'il se changeait en poudre noire, corrompue et cendrée. Puis il se liquéfie, littéralement, tandis que des bulles méphitiques et pestilentielles éclatent soudain en surface, dans une évocation dantesque d'un énorme chaudron de sorcière. Dans l'aire d'effet affectée par la décrépitude, une foule de petits animaux meurt, empoisonnés, étouffés ou brulés, sans comprendre ce qui lui arrive...

L'effet perdure, ce qui est normal.
Tout s'est passé comme prévu. Rien d'inattendu ne survient. La situation est sous contrôle.

Mais c'est bien le problème.


 
Tchik

Le Julung 29 Astawir 1510 à 15h53

 
C'était encore mieux que dans les livres!

Derrière ses lunettes, Tchik s'enthousiasmait d'avoir pu réunir toutes les conditions à la réalisation parfaite de cette expérience. Toutes les variables étaient là et l'équation prenait vie sous ses yeux. Raëgur avait été parfait, Da'regh aussi, la Place des Tertres était une base mathématiques splendide...il ne restait plus que lui : Terenor.

Etait il une constante ou une variable? Gardant la réponse pour lui même, il se concentra sur la scène de destruction qui se déroulait là. Le travail ne faisait que commencer. Il était sensé être largement apte à étudier les flux. Alors c'est ce qu'il fit. Il scruta les vagues de pourrissements, les déformations, les altérations. La Réalité. Elle était en pleine décrépitude et la Cité avait été meurtri.

Mais les flux! Réagissaient ils normalement?
Le Syphon s'était visiblement refermé et il ne restait là que les modifications du mana évaporé. L'énergie nécessaire avait été relativement importante pour le Mage Atonique. Mais le résultat était parfait. Il ne restait donc qu'une seule chose à comprendre : comment y réagissait la victime?

Peut être d'ailleurs, ne réagirait elle pas tout de suite.
Seulement Tchik devait s'en assurer.
La Réalité venait d'être atteinte.
Si cela ne suffisait pas, il faudrait alors que frère Séol emploie de plus grands moyens encore.

Cette chance là ne se représenterait plus.



Interrupteur Enclenché!

 
Narrateur

Le Luang 3 Manhur 1510 à 07h50

 
Ils enchainent les effets, les sortilèges, les expériences !

Au grand dam de la population qui s'inquiète de plus en plus ouvertement devant les agissements, contrôlées mais peu discrets, des deux olibrius.
Mais bon, personne ne moufte, car rien de dramatique ne se produit. Et les grandes incantations, les regards ahuris, les yeux écarquillés et les jolies couleurs, ça plait aux enfants...

Rien de dramatique, non. Rien du tout, même.
Les flux sont d'une normalité déprimante.

Les Flux, usuellement, c'est comme une brise le matin sur le visage.
Une perle de pluie qui goutte le long de la tige d'une rose.
L'odeur des pins les soirs d'orage.
La délicatesse d'une mousse de lait sur un cappuccino araméthéen.

En clair, les flux normaux... ce sont des flux normaux.
Des flux "bio".
Des flux "made in fraternité".
De vrais bons flux !

Séol jette un oeil inquisiteur vers Tchik, son ultime sortilège lancé.
L'air de dire :


Alors ?
Ca envoie le bois, non ?
On a mis les flux cul par-dessus tête, là ?


Ou pas.

 
Ethan Gorgo

Le Merakih 5 Manhur 1510 à 10h07

 
***
Pendant ce temps à la porte Est...

Plusieurs chariots arrivèrent. Ils avaient l'air 'caparaçonnés'. Sans fenêtres ni portes apparentes. L'armature métallique semblait emprisonner le bois de leurs façades. Ce qu'elles contenaient aussi. D'ailleurs, plusieurs dizaines de soldats les accompagnaient. Le tout formait un petit convoi surprotégé.

Et pour les accueillir, une vingtaine de gardes municipaux -curieusement bien ordonné-, et deux autres silhouettes à leur tête et visiblement impatients de faire entrer ces charrettes renforcées dans l'enceinte de la Cité. Particulièrement celui qui n'était autre que le Maire en personne : Ethan Gorgo. A son coté, le fidèle Thönlot affichait un air sévère. A en juger la posture des gardes derrière lui, leurs échanges n'avaient pas dû être des plus amicaux cette fois ci. Le garde du corps du Prince tenait à ce que tout se passe bien.

Dès que les chariots eurent franchi les portes, tous s'activèrent à leur tache, devant les regards noirs des soldats qui ne s'attendaient sans doute pas à se voir remplacés par des gardes municipaux à peine arrivés dans Farnya. Ethan quant à lui observait tout cela d'un oeil bien plus prudent encore qu'à l'accoutumé, ordonnant au Lieutenant de l'escouade d'Oriandre de poursuivre leur escorte, à pieds.

Un des soldats fit alors remarquer qu'il y avait de l'effervescence au centre de la Cité.
Un des gardes lui répliqua que Farnya était toujours bruyante et qu'il faudrait qu'ils s'y habituent tous.

Amusé par l'échange, le Prince n'en jeta pas moins un regard vers les ruelles qui menaient à l'Arbre Rouge. Le soldat avait peut être raison. Quelque chose d'anormal se déroulait en son absence.
***


 
Dardalion

Le Merakih 5 Manhur 1510 à 23h05

 
Dardalion était arrivé à Farnya alors que le reste de la population était encore loin de la ville rouge. Faire voyager tant de personnes s'était révélé bien plus compliqué qu'il ne l'avait imaginé. Les chariots étaient pour la plupart chargé de nourriture ou fournitures diverses et ne permettaient donc pas de transporter les Tchaës les plus vieux qui marchait bien plus lentement. Et bien sur, la vitesse du convoi était limitée par le plus lent de ses membres.
Jugeant qu'il y avait assez de soldats comme cela, le Commandant avait pris de l'avance, comme une partie des civils symbiosés.
A peine rentré dans la ville qu'il réalisa que quelque chose de bizarre avait lieu en ville.
Sans prêter attention à quiconque, il partit voir ce qu'il se passait.
Un garde tenta bien l'arrêté mais l'insigne de commandant de Dardalion et le regard noir qu'il l'accompagnait suffire à le faire battre en retraite.
Le pouvoir, c'était si bon.
Reportant son attention sur la place, il pu observer un de ces collègues de la loge de la magie Atonique offrir une démonstration impressionnante des sortilèges de décrépitude.
Au final, cela n'avait que peu d'intérêt pour le Commandant, même s'il se demandait si ce mage maitrisait les plus hautes arcanes. C'est pourquoi il attendit la fin du florilège du mage Séol avant de se diriger vers les Jardins (à moins que quelqu'un l'interpelle), il avait une petite recherche à effectuer.


 
Tchik

Le Julung 6 Manhur 1510 à 10h17

 
Le silence muet et le regard vitreux des lunettes de Tchik suffirent à répondre à l'oeil de Séol. Si il avait pu y mettre des mots, cela aurait donné quelque chose comme "Oué...pas mal...m'enfin, pour me décrocher de mes équations sur les Flux, va me falloir une arme d'un calibre supérieur, désolé l'ami".

Accoudé à un muret, les joues pressées entre ses deux mains, l'Expérimentaliste restait contemplatif. Il refaisait ses calculs, repensait à tout ce qu'il s'est passé, analysait les moindres détails. Même si l'expérience n'avait pas le résultat escompté, elle avait un résultat quand même. Et quel résultat! Des altérations les plus agressives qui soient pour une perturbation des flux tout à fait normales. Ni dommage collatéraux, ni ralentissement, ni réaction en chaine. La Réalité reprendrait ses droits d'elle même. Un peu comme si, malgré l'ampleur des actes, cela n'était pas en mesure d'abimer réellement l'équation clé de Farnya.

Tchik ruminait ses pensées, ses raisonnements, ses théories. Il savait désormais qu'il avait fait une erreur. Une erreur d'échelle. Il vous faudrait un outil Nemen avait dit l'Erudite. Et seulement maintenant lui revenait les mots du Callimancien en parlant de la sorcellerie dans la Trame "Cette dernière supporte, dans une certaine mesure, les... exactions... que sont les sortilèges poussiéreux.". Alors d'autres paroles revinrent à l'esprit du symbiosé. Des règles, des principes qui changeaient peu à peu son hypothèse. Il réagençait les éléments, l'ordre de l'équation, les ensembles, les intersections.

Et un infime sourire naquit sur ses lèvres.
Il échouerait peut être encore, mais ce ne serait pas en vain. Le puzzle continuait de se construire dans sa tête. Chaque tentative l'y mènerait. Courir après l'âme des Cités Nemens, c'était un peu comme de réapprendre les fondamentaux de la Réalité. Ou de les apprendre tout court. Les chiffres par contre affichait pourtant une certitude : le partage serait à nouveau le bienvenu.



Interrupteur Enclenché!

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