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Le comptoir des Artisans

Au Capharnaüm de Yersin

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Sujet lancé par Bertille de Yersin
Le 25-03-1510 à 19h07
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Posté par Bertille de Yersin,
Le 11-01-1512 à 12h54
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Bertille de Yersin

Le Julung 18 Nohanur 1510 à 12h30

 
***
Bertille opine du chef, s'accordant sur tout ou presque du discours du régisseur.
***


... c'est tout bon pour moi... je lance les conceptuels en alternance avec les stasique... ce qui me permettra d'approfondir ma maitrise de l'enluminure avant d'attaquer les tramés...

***
L'ouvrière semble réfléchir un court instant.
***


... c'est vrai qu'il serai préférable de discuter caisse et entrepôt ainsi que des modalités de fonctionnement de la chose en interne... au sein de la rouge... et comme je suis plutôt en accord avec ce que tu proposes, j'en conclue qu'il va falloir abonder la caisse en caillasse, histoire d'avoir les fonds suffisant pour investir dans une grande batisse...

***
Le visage de Bertille s'affiche d'un léger sourire.
***


... reste plus qu'à espérer que les commandes vont suivre...

L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Jeaneudon

Le Vayang 19 Nohanur 1510 à 01h28

 
Pour les commandes j'en sais trop rien mais la ressources cotise depuis des mois et donc on commence à avoir un beau pécule.

Enfin bref .... il faudra voir ça en interne loin des oreilles indiscrètes et des envieux.

Bon je vais arrêter de t'ennuyer et surtout de t'empêcher de bosser.

Enfin si t'as pas besoin de moi ....



ICI : Services de copie---ICI : pour suivre vos commandes

 
Bertille de Yersin

Le Matal 30 Nohanur 1510 à 11h56

 
***
Répondant par la négative d'un hochement de tête, Bertille salue le régisseur Jeaneudon avant de retourner vaquer à ses multiples occupations, déballant quelques coupons de tissu, récupérant une boite de clous enfouie sous un monceau de chute de cuir, tachant vainement de mettre un peu d'ordre dans son capharnaüm.

Après quelques heures de dure labeur, quelques objets semblent prêts à être livré à leurs futurs propriétaires, des potions, un ou deux vêtements, une armure de cuir... et l'ouvrière fourre alors le tout dans un grand sac, s'en saisit et se lance dans les ruelles de Farnya, cherchant de ci de là les futurs et bientôt heureux propriétaires.
***




L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Ny'dael

Le Matal 7 Dasawar 1510 à 21h51

 
***un homme ayant déjà vu son bel age passé entre ***

Bonsoir ma soeur.
Je viens a tout hasard me renseigner sur les livres de sorts. Où pourrais-je en trouver?
C'est que je suis nouveau, alors, je m'excuse si je vous ai dérangé.



***jette un regard méfiant sur ce qui l'entoure, et se retourne vers la soeur en attendant la réponse***

 
Bertille de Yersin

Le Merakih 8 Dasawar 1510 à 10h06

 
***
Bertille n'est pas une première main mais c'est un tchaë plus âgé encore qui pénètre dans son antre. Délaissant son ouvrage, une série de parchemins, elle se porte à hauteur de son visiteur, l'écoute avec attention, fronce un instant les sourcils et puis se rappelle où elle a croisé ce frère... au sein du regroupement... et se souvient par la même occasion que s'il est ancien, il est tout jeune en ce qui concerne la symbiose.
***


Salutations fraternelles... tu ne me déranges pas... je suis toujours disponible pour l'un des nôtres.... par contre, j'ai peur que tu n'aies pas frappé à la bonne porte...

***
Bertille se gratte le menton, semblant réfléchir à ce qu'elle va dire...
***


... enfin voilà ce que je peux te dire sur... euh... les livres de sort... en fait, le livre de sort, c'est ton esprit... le principe est le suivant, tu achètes un parchemin contenant un sortilège... tu le lis et le relis jusqu'à le connaître par cœur... et lorsque c'est le cas, le parchemin se consume et la magie s'inscrit dans ton esprit... tu le connais alors pour toute la vie... et surtout tu es capable de lancer le sortilège en question... bon... tu n'es pas certain de réussir à tout coup, il faut une bonne concentration, une bonne maitrise... c'est comme tout quoi...

***
Ouvrant les yeux en grand, Bertille interroge du regard son interlocuteur, cherchant à déterminer s'il a compris ce qu'elle tente d'expliquer et qu'elle ne connait qu'en théorie.
***


L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Ny'dael

Le Merakih 8 Dasawar 1510 à 18h31

 
Bien merci ma soeur, je vous remercie pour tout ces conseils.

***
remarquant que la soeur le regarde intriguée
***

Oui, oui, j'ai tout compris,ne vous inquiétez pas, mais où puis-je trouver ces parchemins ?

 
Bertille de Yersin

Le Merakih 8 Dasawar 1510 à 20h23

 
***
Bertille affiche un léger sourire lorsqu'elle constate qu'elle a a priori été suffisamment claire dans ses explications.
***


... alors les parchemins... deux solutions... l'une onéreuse consiste à les acheter directement à la bibliothèque... la seconde, netterment plus abordable, consiste à se fournir auprès des frères copistes... le mieux, c'est de prendre contact avec le régisseur Jeaneudon...

***
Un instant le regard de la tchaë se voile comme si elle fouillait dans son esprit...
***


... le plus simple est encore de passer commande en utilisant le regroupement... l'endroit où tu t'es récemment fait connaitre grâce à ton mou... si tu fouilles un peu, tu trouveras un fil de pensée concernant les parchemins... et les prix qu'ils te couteront...

L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Ny'dael

Le Julung 9 Dasawar 1510 à 20h05

 
Très bien, merci ma soeur, j'y vais de ce pas.
A l'occasion, si vous avez besoin de moi, n'hésitez pas !


***quitte la boutique l'air satisfait, sur un dernier hochement de tête a l'adresse de Bertille***

 
Jeaneudon

Le Julung 9 Dasawar 1510 à 22h49

 
*** La place du marché était fort grande mais l'atelier des plumes était renommé avec pignon sur la grand rue ... donc facile à trouver ***



ICI : Services de copie---ICI : pour suivre vos commandes

 
Bertille de Yersin

Le Vayang 10 Dasawar 1510 à 17h39

 
***
Tandis que le frère nouvellement symbiosé quitte le Capharnaüm de Yersin...
***


... j'en ai autant à ton service, frère Ny'dael... et s'il te faut autre chose que des parchemins de sortilège, tu connais le chemin...

***
Parler de parchemins remet en tête de l'ouvrière les commandes en cours... attrapant quelques velins, deux ou trois poches d'akonyte, elle se lance dans la réalisation d'une série de conceptuel qui viendront compléter le lot de parchemins divers déjà livré.
***


L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Bertille de Yersin

Le Merakih 15 Dasawar 1510 à 12h09

 
***
Toujours à l'ouvrage, soit sur un lot de parchemins, soit sur un lot de potions, l'ouvrière bohème affiche une mine légèrement renfrognée manifestement due à la répétition des mêmes gestes, des mêmes activités depuis plusieurs jours déjà. Si œuvrer à la commande et donc pour le plus grand bien de la Fraternité lui donne satisfaction, il semble que cela ne la contente pas totalement.

Prenant le temps d'une pause, la tchaë jette un regard d'ensemble sur son atelier, se désespérant presque à la vue des outils prenant la poussière faute d'usage. Ajoutant à la pause la réflexion, elle décide de prendre le taureau par les cornes et opte pour la stratégie de ses débuts, à savoir étudier aussi les artisanats pauvres - ceux dont les créations n'ont d'intérêt qu'à l'unité pour leurs acheteurs - tout en maintenant une activité soutenue dans les artisanats riches - ceux dont les créations sont achetées en nombre, l'alchimie et l'enluminure en l'occurrence.
***


... c'est décidé... et j'financerai les pauvres avec les cailloux des riches...

***
Joignant le geste à la pensée, Bertille investit quelques cailloux dans une masse et un bloc de fer et bientôt raisonne à nouveau dans l'atelier le bruit clair du marteau sur l'acier, redonnant au Capharnaüm ses lettres de noblesse.
***


L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Da'regh

Le Luang 17 Jangur 1511 à 15h22

 
*** Poussant la porte tel un habitué, le lieutenant vint se poster près du comptoir.
En attendant l'ouvrière bohème il jetait des coups d'oeil à l'atelier.
Pas grand chose n'avait changé, si ce n'est les commandes et les clients.
La vie de prolo, "c'est pas une vie!" se disait-il.
Et pour cause, la routine, le museau enfermé dans l'atelier à longueur de journée...
C'était une autre conception de la Fraternité, mais ce n'était pas la sienne.

Puis la soeur de Yersin arriva, interrompant le noiraud dans ses digressions. ***


Bien l'bonjour ma soeur!
J'dois vous dire que la Fraternité a de la chance de vous avoir! J'espère que vous vous êtes pas trop épuisé à apprendre à confectionner la länne de sécurité et que ça risque pas d'embêter vos autres clients....

M'enfin, le mal -ou plutôt le bien? est déjà fait!


*** Fouillant dans une de ses sacoches s'entremêlant avec les autres, il en sortit une étoffe assez rare ***


T'nez, la länne dont vous avez b'soin!
Une marchande itinérante m'la vendu il y a peu... mais j'crois bien que j'me suis fait entourloupé sur le prix.
J'aurais du m'doûter qu'un si beau sourire cachait quelque chose....M'enfin, passons!


N'est pas le Bleu celui que tu crois!

 
Bertille de Yersin

Le Julung 20 Jangur 1511 à 12h56

 
***
Affairé sur une multitude de parchemins, Bertille abandonne son ouvrage avec soulagement lorsque parait le Lieutenant du Génie.
***


... embêter mes autres clients... non, non... enfin j'en sais trop rien... je gère mon activité à ma convenance et au mieux pour l'ensemble de la Confrérie... et puis ces derniers temps je n'ai que des parchemins comme commandes... et j'avoue que cette monotonie n'est pas des plus motivantes...

***
La tchaë s'essuie rapidement les mains pour éliminer quelques morceaux de parchemins collés sur sa peau puis elle se saisit du lannë avec dans le regard ce qui ressemble à de l'émerveillement.
***


... alors quand j'ai vu que tu avais du lannë... et bien ma foi, j'ai sauté sur l'occasion... cela m'a pris peu de temps... mais toutes mes économies y sont passées... ou presque...

***
La perte de ces girasols ne semble en rien affecté Bertille dont les yeux s'agrandissent au fur et à mesure qu'elle manipule l'étoffe.
***


... et ça en valait la peine! Je vais m'occuper de ton lannë de sécurité au plus vite... et je te tiendrai au courant des délais dès que j'en aurai fait l'estimation... je ne te cache pas que cela prendra du temps...

***
La tchaë dépose avec soin le lannë dans un recoin de son capharnaüm.
***


... tu as une seconde étoffe si ma mémoire est bonne... à combien la céderais-tu?

L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Da'regh

Le Julung 20 Jangur 1511 à 16h17

 
*** Songeur quant à l'émerveillement qu'éprouvait sa soeur pour une "simple" étoffe, le lieutenant pris le sens de la réalité lorsqu'elle lui posa sa question.
D'un ton franc il répondit ***


Et bien, un prix... je t'avoue avoir la moindre idée de ce que cela vaut se grattant la barbe, il reprit lisant une sorte d'excitation dans le regard de l'ouvrière
Ma foi une vu les nombreux services que tu m'as rendu -et que tu risques encore de rendre- pour trente pierres je te le laisse...

*** Commençant à fouiller ses affaires à la recherche de la deuxième pièce il ajouta ***


M'enfin autant que tu fasses la ristourne sur le prix de la tunique, ca s'rait plus simple non?

N'est pas le Bleu celui que tu crois!

 
Bertille de Yersin

Le Vayang 21 Jangur 1511 à 11h58

 
***
Compte tenu du cours officiel du lannë, l'offre de Da'regh est des plus généreuses et sa proposition finale - déduire les 30 girasols du prix de la tunique - ne peut que satisfaire Bertille dont les finances sont à sec.
***


... cela me convient parfaitement... et je ne te cache pas qu'à ce tarif je réalise une très bonne affaire compte tenu de la difficulté à s'approvisionner en ressources extérieures à la Fraternité...

***
Opinant du chef...
***


Affaire conclue!

L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Istreen

Le Matal 1 Fambir 1511 à 20h20

 
Arrivant devant la porte, la tchaë toqua à la porte de la masure; un bruyant Biiiing Biiiiing Baaaang s'échappait de l'atelier.
Une fébrile voix de vieillard lui répondit :
"Ennntrrrrez"

Elle poussa la porte et se retrouva face à un vrai capharnaüm, un bordel inimaginable. Au milieu de tout ca : une chaise. Sur cette chaise : un vieux tout ratatiné. Sur ce vieux : surement des puces et des poux ! Il n'avait pas l'air au mieux de sa forme.
Pour un animal comme celui-ci, le tchaë ancien serait surement bien vu ...


'Xcusez-moi m'sieur, je cherche la mademoiselle Bertille, on m'a dit qu'elle travaillait ici. Vous savez ou j'peux la trouver?
Et c'est quoi tout ce boucan ? C'est pire qu'au bagne ici !


Le vieux sourit et montra du doigt une grosse tchaë équipée d'un casque, surement contre le bruit.
Elle souri au papi et lui adressa des remerciements avant d'aller tapoter l'épaule de l'artisane, qui s'arrêta de travailler et se retourna vers elle.



J'veux pas vous deranger pour l'coup d'marteau fatidique, mais j'voudrais savoir si vous avez avancé mes parchemins tramés commandés? Je peux repasser plus tard, je ne m'attendais pas à vous croiser lors d'une telle ... bataille.


La tchaë posa ses yeux sur le marteau que Miss Bertille tenait d'une main. Mais comment une tchaë pouvait porter cet engin? Et d'une main? Elle était certainement une de ces brutes. Et ses mains ... de ces mains ... elle frissonna et pensa à rejoindre tranquillement la porte d'entrée; ou prendre ses jambes à son cou ... Houuuuu.

Turlututu chapeau pointu

 
Bertille de Yersin

Le Merakih 2 Fambir 1511 à 08h35

 
***
Dérangée dans son activité, la tchaë en a l'habitude maintenant et ne s'en formalise plus. Au contraire, elle s'emploie à afficher en toute circonstance un visage avenant que le replis graisseux masque hélas quasi totalement. Lorsqu'elle se tourne vers Istreen, elle toise une tchaë qui physiquement au moins est à l'opposée de sa condition, svelte et preste, jolie sans aucun doute.

Déposant son marteau dans un recoin, se débarrassant de son casque dans un autre, Bertille laisse alors apparait un visage inondée de sueur qu'elle asperge au plus vite d'eau fraiche avant de s'adresser à sa visiteuse.
***


Sœur Linguiste, bienv'nue dans ce... foutoir...

***
Un sourire s'affiche, essentiellement caractérisé par la soudaine remontée des deux bajoues de la grasse tchaë.
***


... tes parchemins... voyons voir...

***
Bertille farfouille dans une étagère, puis une seconde, déplace quelques objets qui encombre un semblant de bureau, fait un rapide tour de la boutique, revient avec un parchemin en main.
***


... alors j'en ai un de terminé... un second de prêt disons... d'ici demain... pour les autres, il faudra encore attendre... ça me prend presque quatre jours à faire ces tramés... et comme Jeaneudon en réclame au moins autant que toi, j'alterne les livraisons...

***
L'ouvrière bohème tend le parchemin qu'elle tient en main à Istreen.
***


Voici déjà le premier... pour le second, dis moi où je peux te le livrer et tu l'auras sous peu.

L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Istreen

Le Merakih 2 Fambir 1511 à 20h51

 
Houhou, oui.
Merci pour ce petit parchemin.

Demain, je comptais faire les magasins en ville, près de la porte est c'est moins agité ! Je pense que si vous cherchez un peu, vous pouvez m'y retrouver.
En attendant, je ne veux pas plus vous déranger, bon travail ... madem ... madame.



La tchaë sortit de l'atelier son parchemin en main. Elle l'épousseta et le rangea dans sa besace. Vraiment, cette tchaë manquait sérieusement d'organisation et de propreté.

Kahtla dit :
Ouai ... moi aussi j'ai vu l'énorme tâche de graisse dans l'atelier.



Hoho ! Ca c'était vraiment pas gentil ! Un peu d'repect chérie !

Turlututu chapeau pointu

 
Bertille de Yersin

Le Dhiwara 6 Fambir 1511 à 09h09

 
***
Porte est... mauvais souvenir pour Bertille puisque c'est à la porte est qu'un flaviste s'est attaqué à elle... elle n'a pas le temps de réagir que la linguiste a quitté le Capharnaüm. Grommelant, l'ouvrière retourne à l'un de ses nombreux ouvrages en l'occurrence un lannë de sécurité, une tenue qui lui tient à coeur car c'est là une des réalisations les plus complexes que la tchaë ait jamais accompli. La voir achever pour le coup lui redonne le sourire et c'est donc une Bertille insouciante qui d'une part livre Istreen, d'autre part alerte le frère bleu de la disponibilité de sa tenue. La perspective d'une second lannë de sécurité et même d'une chimériade ajoutent encore si nécessaire au bonheur de la sœur rouge.
***


L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

 
Bertille de Yersin

Le Dhiwara 20 Fambir 1511 à 20h27

 
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A vouloir trop rendre service, on se place dans des situations potentiellement difficiles. En l'espèce, Bertille s'est fendue de quelques courses pour une tête de canidé a priori issu de l'Equilibrium, quelques courses pour un moment total légèrement supérieur à trois cents pierres... une somme plus qu'honnête pour Bertille, toutes ses économies en fait. Et voilà qu'elle se trouve certes riche mais malheureusement dans l'impossibilité de dépenser ces cailloux que nul n'accepte à Farnya, pas même les receleurs de la joaillerie.
***


... mais qu'est-ce que je vais faire de ça... j'vais tout de même pas me lancer sur les routes pour rallier les terres de ces fichus équilibriens....

***
Au fond de la boutique, le catarrheux paternel ricane, des larmes de joies lui coulant presque des yeux.
***


L'ordre est le plaisir de la raison, mais le désordre est le délice de l'imagination.

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