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Le Matal 8 Julantir 1508 à 15h15
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| (A ceux de la bulle noire voulant participer à ce RP, il faut ne pas être allé à la rançon et me contacter (j’ai pas eu de réponse de krondor donc je vous ferais un résumé). Personnes dans ce RP : Arda Oria, Soleyä , E’len)
La nuit était très obscure ce soir là, l’air ambiant était d’une lourdeur inhabituelle, et aucun volatile ne semblait avoir eu envie de virevolter dans le coin, même pas un noctambule. C’était du moins la première impression laissée par un inévitable stresse avant une mission de ce genre. Mis à par bien sur la noirceur de la nuit à peine chassée par les quelques torches éclairant les rues.
Le plan étais on ne peut plus simple, investir la planque, nous étions quelques uns, et l’effectif adverse était inconnu. Autant dire que la surveillance de la planque pendant les deux derniers jours avait été aussi utile que mes cours de Tchaë ancien à la bibliothèque, avec un soit disant maître dont je n’ai pas compris la moindre parole.
La rançon allait bientôt avoir lieu, la mission débutait donc maintenant. La maison était propre et entretenue, elle semblait évidemment habitée, en même temps une ruine au milieu des quartiers d’habitation aurait parus louche depuis un bon moment, surtout si proche de la halle des corporations.
Autre détail important, l’existence d’une petite cours arrière et de l’inévitable porte qui va avec.
Tout d’abords, pas pure politesse, je frappais à la porte, aucune réponse, j’insistais toutefois au ca ou, mais rien, c’était vide, plutôt de bonne augure pour nous, enfin sauf si on met en avant le fait qu’une maison vide, est une maison où il n’y à personne … ce qui me laissa un peu perplexe. Un nombre incalculable de possibilité s’entrechoquaient dans ma tête, mais cela m’embrouillant plus qu’autre chose, je pris la décision de rentrer quand même, par la porte avant. Après tout, si j’étais eux, je rentrerais par derrière, et en pleine nuit, ils ne verraient pas les quelques rayures fait à la serrure une fois celle-ci crochetée. Le temps d’ailleurs de faire céder celle-ci sans la casser pris un temps fou, je me promis de m’entraîner pour pallier à ce genre de problème à l’avenir. L’heure avait tournée, et la rançon devait être en cours depuis déjà cinq minutes.
J’ouvrais la porte discrètement faisant signe aux personnes avec moi (si il y en a) d’entrer, la maison semblait vide.
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Le Sukra 12 Julantir 1508 à 15h29
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| La maison étant vide, j'avais tout le loisir de la fouiller sans que personne ne me dérange, évidement mon créneau n'était pas illimité et il fallait faire vite et discret pour ne pas que ma présence soit remarqué lorsqu'ils arriveraient.
L'idée était de trouver des indices, puis d'attendre discrètement que les membres de la dague rouge revienne, je n'avais pas beaucoup d'élément à ma disposition pour espérer faire mieux pour l'instant, je manquais d'indice.
Je fit donc le tour de la maison, pièce par pièce, écoutant au portes qui semblaient fermée en espérant entendre un bruit, et regardant si quelque parchemin portais le sceau de la dague,
J'espérais trouver enfin un indice me permettant de trouver Eirine, et pas la dague rouge.
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Le Sukra 19 Julantir 1508 à 15h53
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| Le temps semblais long ce soir, le moindre bruit nous rendait alerte, mais rien ne se profilais à l'horizon. La dague rouge ne se montrais pas, et je commençais à me demander si nous retrouverions mademoiselle Eirine à l'issu de cette soirée,
Je restait calme et patient, des situations comme celle-ci, il y en aurait d'autre, peut être même des pire ou des plus longues.
Les deux lunes avançaient inexorablement vers leur point de chutes, mais cette nuit là, on ne pouvais les apercevoir fautes de visibilité dans cette noirceur inhabituelle, comme si la dague rouge avait prévus le temps pour choisir leur jour de rançon.
Il fallait rester alerte quitte à faire une nuit blanche.
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Le Julung 31 Julantir 1508 à 18h54
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| Enfin, on peut dire qu’ils se seront fait attendre, il était d’intervenir, et de leur faire enfin avouer toute la vérité. Le regard que me portais l’homme de la bulle noir était explicite, nous allions envahir la maison.
Le plan était clair, ceux de derrière devait bloquer la porte et ceux de devant entrer pour capturer les individus. Nous connaissions maintenant la maison, et il ne pouvait fuir qu’à l’étage.
Donc deux personnes derrière, quatre qui entre et deux qui reste devant. Soit un total de huit personnes.
Combien était il à l’intérieur, ceux de derrière devait le savoir, mais nous n’avions pas de temps à perdre pour leur demander. Nous préparions nos armes en nous glissant à travers la nuit mourante, jusqu’à la porte déjà ouverte après notre premier passage. Nous laissâmes une arbalète au cas ou il tenterais de sortir par un fenêtre en façade.
Les ordres étaient simple, viser les jambes et mes bras mais ne pas e tuer.
Arme au point nous entrâmes par la porte sans finesse pour surprendre le membre de la dague rouge en flagrant délit.
En formation deux pas deux au milieu de la pièce nous fient iruption.
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Le Dhiwara 10 Agur 1508 à 12h13
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| Gardez le un instant, je vais chercher les autres.
Le temps de quelques pas et j’ouvris la porte de derrière laissant les deux dernier allié dont Soleyä entrer, nous étions maintenant six protagoniste contre un blessé … je préférais ne pas ajouter de commentaire la dessus.
Je donne mon arme à Soleyä et un membre de la bulle noir fait pareil, à l’aide d’une corde nous ligotons l’individu solidement, nous n’avons pas d’arme sur nous, et nous le fouillons ensuite pour vérifier que lui non plus.
Je retourne récupérer mon arme, et un membre de la bulle noire se place derrière lui la nuque en joue pendant que celui qui l’à ligoter avec moi, ramasse les possessions du mécréant et les fouilles en quête d’un indice.
J’entame alors l’interrogatoire. J’ai mille question à lui poser, mais nous auront le temps après, et pour l’instant, nous n’avons pas retrouvé Eirine.
L’homme était blessé, comme si il avait fuit un combat or, la bulle noire était à la rançon d’après les membres qui m’accompagnais, toutefois, si le criminel avait réussi à revenir ici, c’était soit par talent, soit parce que la bulle noire avait encore merdée, toutefois, pour une fois cela n’avait pas été si négatif, du moins pour le Clepthe.
Où est la jeune femme répondant au nom de Mademoiselle Hausen Eirine que vous avez enlevée, vous et vos collègues.
Je n’avais jamais torturé personne, mais l’idée me traversa l’esprit pour peu que celui ne réponde pas, je me demandai plus comment je réagirai que la réaction de l’homme en face de moi.
J’attendais sa réponse avec une impatience dissimulée, il ne fallait pas lui donner envie de nous fait poireauter plus qu’il ne le ferait déjà.
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Le Matal 12 Agur 1508 à 11h16
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| Un des membres de la bulle noir décocha un pain à Bosean, et se retint de lui en mettre d’autre dans un éclair de lucidité, il fallait qu’il parle, pas qu’il perde conscience. Pourtant on voyait bien qu’il n’avait qu’une envie, lui démolir la tronche. Il avait le poing serré et le regard tranchant. Je pris de nouveau la parole avec un sourire aux lèvres.
C’est ta maman qui nous à appelée pour nous dire que son fils avait mal tourné, et elle nous a conduit ici, même tes proches te trahissent, si cela n’est pas triste.
Maintenant dit nous où est Mademoiselle Hausen, je n’ai jamais torturé quelqu’un, mais je ne sortirais d’ici que pour pouvoir me rendre à l’endroit où se trouve la jeune femme.
*** Il attrapa l’une des dagues des affaires de Bosean et commença à s’imaginer comment en faire sortir une intense douleur qui n’est pas mortelle, il pensa en tout premier à passer la lame sous les ongles, et aucune autre idée ne lui vint, après tout ce n’était pas un expert en la matière.
Il chuchota à l’oreille de Soleyä, et les deux membres du Clepthe passèrent derrière l’homme qui ne put sentir deux main immobilisant la sien et l’obligeant à tendre un doigt. ***
Maintenant parle, je serais aussi obstiné que tu pourra l’être. | |
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Le Matal 12 Agur 1508 à 21h28
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| *** Boesean encaissa le coup sans broncher. Il se contenta de cracher le sang qui lui avait envahi la bouche sur les bottes du soldat.
Visiblement, il en fallait plus pour l'impressionner. ***
Votre usage immodéré de la violence avant même que j'ai prononcé le moindre mot montre en réalité que vous ne savez pas grand chose.
Malheureusement pour vous, vous avez besoin de moi...
Frappez moi encore une fois et vous ne saurez jamais rien ! Même si vous choisissez de me découper en morceaux...
*** Le bandit eut un regard narquois... ***
Moi, je fais des affaires par ici et elles sont prospères. Je n'ai donc guère envie qu'une bande de soldats viennent m'ennuyer...c'est mauvais pour les affaires justement.
Ne pourrions-nous pas trouver une sorte d'arrangement qui puisse satisfaire tout le monde ?
*** Le bougre cracha de nouveau du sang et ce qui sembla être un bout de dent. ***
Réfléchissez... | |
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Le Julung 14 Agur 1508 à 09h18
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| °°°Bon, j'ai encore espoir de ne pas aller aussi loin, voyons voir ce qu'il a à proposer.°°°
*** Arda pris une chaise et se posa en face de Bosean qui sentit l'étreinte sur sa main disparaître.
Arda était maintenant en face de l’homme, et se préparait à lui poser des questions, à ce moment il sembla occupé à écouter le silence, il ne faisait aucun doute que sa Mou lui glissait un quelconque message télépathique et que le jeune Tchaë écoutait attentivement. ***
Je vais faire preuve de politesse et écouter votre proposition, je ne l’accepterais peut être tel qu’elle est, mais je suis tout Ouïe.
*** Le comportement de Arda avait légèrement changé avec l’intervention de son Mou, il était plus enclin à écouté et négocier qu’il ne l’aurait été un peu plus tôt.
Il regardait l’homme droit dans les yeux en attendant que celui-ci formule sa demande, il avait posé la dague, et avait pris un air un peu plus calme, avec une pointe de contrariété.
Il était en position accroupie sur sa chaise, comme un gosse étant obligé de patienté alors qu’il avait envie que le sermon finisse. *** | |
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Le Luang 18 Agur 1508 à 19h52
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| La situation était comme je le redoutais plus complexe qu’il n’y paraissait, toutefois il me fallait d’abords obtenir des informations sure avant de traiter avec cet homme, négocier était une bien fastidieuse tâche, surtout lorsque l’on vous propose une main pour vous prendre un bras.
Avant toute négociation autour de l’offre que vous me proposez, je tiens à vous poser quelques questions qui me tracassent un peu.
Etes vous la personne qui avez enlevé Mademoiselle Eirine Hausen, je parle de l’acte en soit bien sur.
Si oui, comment vous y êtes vous prit.
Combien étiez vous pour menez cette opération, sans compter votre commanditaire.
Avez-vous d’autres informations sur la Dague Rouge, ses autres talents et mission.
Plus vous nous fournirez d’information, plus je pourrais exaucer votre requête, toutefois sachez que plus qu’un nom il vous faudra aussi me donner des preuves de la culpabilité de la personne que vous nous révèlerait.
Plus nous avançons, plus nous montons dans la hiérarchie, et il est un stade ou une accusation, venant d’une personne criminel qui plus est n’est plus suffisante.
Vous comprendrez, que sans preuve vous serez notre seul témoin, ce qui pose un épineux problème pour vous comme pour moi.
Je vous écoute donc.
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