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Le quartier résidentiel

Une adresse, un espoir

...suite de l'enlèvement d'Eirine Hausen
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Sujet lancé par Arda Oria
Le 08-07-1508 à 15h15
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Posté par Stennar,
Le 16-09-1508 à 19h31
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Arda Oria

Le Matal 8 Julantir 1508 à 15h15

 
(A ceux de la bulle noire voulant participer à ce RP, il faut ne pas être allé à la rançon et me contacter (j’ai pas eu de réponse de krondor donc je vous ferais un résumé). Personnes dans ce RP : Arda Oria, Soleyä , E’len)

La nuit était très obscure ce soir là, l’air ambiant était d’une lourdeur inhabituelle, et aucun volatile ne semblait avoir eu envie de virevolter dans le coin, même pas un noctambule. C’était du moins la première impression laissée par un inévitable stresse avant une mission de ce genre. Mis à par bien sur la noirceur de la nuit à peine chassée par les quelques torches éclairant les rues.

Le plan étais on ne peut plus simple, investir la planque, nous étions quelques uns, et l’effectif adverse était inconnu. Autant dire que la surveillance de la planque pendant les deux derniers jours avait été aussi utile que mes cours de Tchaë ancien à la bibliothèque, avec un soit disant maître dont je n’ai pas compris la moindre parole.

La rançon allait bientôt avoir lieu, la mission débutait donc maintenant. La maison était propre et entretenue, elle semblait évidemment habitée, en même temps une ruine au milieu des quartiers d’habitation aurait parus louche depuis un bon moment, surtout si proche de la halle des corporations.

Autre détail important, l’existence d’une petite cours arrière et de l’inévitable porte qui va avec.

Tout d’abords, pas pure politesse, je frappais à la porte, aucune réponse, j’insistais toutefois au ca ou, mais rien, c’était vide, plutôt de bonne augure pour nous, enfin sauf si on met en avant le fait qu’une maison vide, est une maison où il n’y à personne … ce qui me laissa un peu perplexe. Un nombre incalculable de possibilité s’entrechoquaient dans ma tête, mais cela m’embrouillant plus qu’autre chose, je pris la décision de rentrer quand même, par la porte avant. Après tout, si j’étais eux, je rentrerais par derrière, et en pleine nuit, ils ne verraient pas les quelques rayures fait à la serrure une fois celle-ci crochetée. Le temps d’ailleurs de faire céder celle-ci sans la casser pris un temps fou, je me promis de m’entraîner pour pallier à ce genre de problème à l’avenir. L’heure avait tournée, et la rançon devait être en cours depuis déjà cinq minutes.

J’ouvrais la porte discrètement faisant signe aux personnes avec moi (si il y en a) d’entrer, la maison semblait vide.


 
Narrateur

Le Matal 8 Julantir 1508 à 21h49

 
*** La maison resta fermée pendant les deux jours d'observation d'Arda et personne ne s'y présenta durant ce laps de temps..

Après avoir peiné pour crocheter la serrure, le Tchaë entra enfin dans la demeure. Il y pénétra avec une certaine confiance, persuadé que la maison était vide...Et de fait, une fois dans la grande salle principale, il ne semblait y avoir personne.

On y voyait cependant pas grand chose. Tout juste la présence d'un mobilier plutôt rudimentaire et réduit à sa plus simple expression.

Une grande table, quelques chaise et une commode de bois brut.

La pénombre régnant dans le lieu ne permettait pas de voir grand chose d'autre... ***


 
Arda Oria

Le Sukra 12 Julantir 1508 à 15h29

 
La maison étant vide, j'avais tout le loisir de la fouiller sans que personne ne me dérange, évidement mon créneau n'était pas illimité et il fallait faire vite et discret pour ne pas que ma présence soit remarqué lorsqu'ils arriveraient.

L'idée était de trouver des indices, puis d'attendre discrètement que les membres de la dague rouge revienne, je n'avais pas beaucoup d'élément à ma disposition pour espérer faire mieux pour l'instant, je manquais d'indice.

Je fit donc le tour de la maison, pièce par pièce, écoutant au portes qui semblaient fermée en espérant entendre un bruit, et regardant si quelque parchemin portais le sceau de la dague,

J'espérais trouver enfin un indice me permettant de trouver Eirine, et pas la dague rouge.


 
Narrateur

Le Sukra 12 Julantir 1508 à 21h18

 
*** La maison n'était apparemment pas meublée pour être occupée de façon continue.

La cuisine ne contenait presque rien. Tout juste quelques ustensiles pour préparer à manger. Le cellier était vide.

Les chambres étaient vides elles aussi. Sauf l'une d'entre elles qui contenait deux paillasses sans doute rongée de vermine.

Arda eut vite fait de fouiller la maison de fond en comble. Il ne découvrit rien d'intéressant. Quelques vêtements. Quelques armes dans la commode, essentiellement des couteaux et des dagues.

Des bouteilles d'alcools et quelques verres complétaient le tout.

A le vue de tous ces indices, Arda pouvait conclure que la maison ressemblait plus à un endroit de rassemblements ponctuels qu'à un endroit de vie.

Sa fouille ne pouvait être que décevante. Point de trace d'Eirine ni d'indice pouvant affirmer que cet endroit était un repaire de la dague Rouge. ***


 
Arda Oria

Le Dhiwara 13 Julantir 1508 à 16h09

 
Une seule solution, il fallait faire parler les prochains occupants du repère, il fallait mettre le piège en place.

La bulle noire et le Clephte devrait s'organiser ensemble pour arrêter les membres de la dagues rouge qui viendrais se planquer dans ce repère,

Ne pas les manquer était notre principal objectif.

Le plan était simple, entrer par l'avant et par l'arrière en même temps, comme il n'y avait pas de trappe, cela ne devrais pas poser de soucis.

Tout était prêt, il ne restait plus qu'à attendre.

Soleyä surveillait l'arrière avec un membre de la bulle noire, pendant que moi je surveillait l'avant avec deux autres membres.


 
Narrateur

Le Luang 14 Julantir 1508 à 21h56

 
*** Et les heures s'écoulèrent, lentement, comme si chacune d'entre elles avait décidé de durer plus que de raison.

Par cette sombre nuit pendant laquelle à la porte de la ville qui débouchait sur le Pilier de Poussière se jouait la remise de la rançon... ***


 
Arda Oria

Le Sukra 19 Julantir 1508 à 15h53

 
Le temps semblais long ce soir, le moindre bruit nous rendait alerte, mais rien ne se profilais à l'horizon. La dague rouge ne se montrais pas, et je commençais à me demander si nous retrouverions mademoiselle Eirine à l'issu de cette soirée,

Je restait calme et patient, des situations comme celle-ci, il y en aurait d'autre, peut être même des pire ou des plus longues.

Les deux lunes avançaient inexorablement vers leur point de chutes, mais cette nuit là, on ne pouvais les apercevoir fautes de visibilité dans cette noirceur inhabituelle, comme si la dague rouge avait prévus le temps pour choisir leur jour de rançon.

Il fallait rester alerte quitte à faire une nuit blanche.


 
Narrateur

Le Merakih 23 Julantir 1508 à 21h21

 
*** Les heures passées à attendre dans la froide obscurité de cette nuit d'encre furent longues....très longues.

Ce ne fut qu'au matin, alors que la couverture nuageuse cédait enfin devant les lueurs du premier soleil de Syfaria, que le choix de l'attente allait se révéler opportun.

Les enquêteurs savamment dissimulés, ne virent rien se produire au niveau de la rue...Ce fut sur les toits que leur attention fut attirée.

Une ombre, dont les contours se découpaient de plus en plus nettement sur le ciel au fur et à mesure que les rayons du soleil commençaient à poindre, passait de toit en toit.

Son agilité était plutôt déconcertante. Elle enchainait des prises périlleuses et des sauts acrobatiques que peu de gens auraient été capables de réaliser.

Arrivée sur la maison qui faisait l'objet de la surveillance, l'ombre dégringola aussi rapidement et silencieusement que possible du toit pour se retrouver dans la petite cour située derrière. Sans prendre véritablement le temps d'examiner les environs.
Mais les rues étaient encore vides à cette heure très matinale et rien ne semblait devoir troubler la méfiance naturelle de ce qui ressemblait fortement à un voleur pressé de s'abriter...

Ce ne fut qu'à ce moment que ceux qui avaient vue sur l'endroit purent se rendre compte que l'homme semblait blessé. Il claudiquait et un morceau de tissu imbibé de sang lui serrait assez fortement la cuisse.

Il devait donc être un acrobate de première catégorie pour avoir réussi à se faufiler en ville et parvenir jusque là sans être repéré alors qu'il était blessé.

L'homme, habillé de noir et dont la capuche de la large cape de camouflage qu'il revêtait était relevée, se saisit d'un petit trousseau de clés qui tintèrent doucement. Il déverrouilla la porte et s'engouffra dans la maison promptement... ***


 
Arda Oria

Le Julung 31 Julantir 1508 à 18h54

 
Enfin, on peut dire qu’ils se seront fait attendre, il était d’intervenir, et de leur faire enfin avouer toute la vérité. Le regard que me portais l’homme de la bulle noir était explicite, nous allions envahir la maison.

Le plan était clair, ceux de derrière devait bloquer la porte et ceux de devant entrer pour capturer les individus. Nous connaissions maintenant la maison, et il ne pouvait fuir qu’à l’étage.

Donc deux personnes derrière, quatre qui entre et deux qui reste devant. Soit un total de huit personnes.

Combien était il à l’intérieur, ceux de derrière devait le savoir, mais nous n’avions pas de temps à perdre pour leur demander. Nous préparions nos armes en nous glissant à travers la nuit mourante, jusqu’à la porte déjà ouverte après notre premier passage. Nous laissâmes une arbalète au cas ou il tenterais de sortir par un fenêtre en façade.

Les ordres étaient simple, viser les jambes et mes bras mais ne pas e tuer.

Arme au point nous entrâmes par la porte sans finesse pour surprendre le membre de la dague rouge en flagrant délit.

En formation deux pas deux au milieu de la pièce nous fient iruption.



 
Boesean

Le Sukra 2 Agur 1508 à 10h06

 
*** Boesean était fourbu. Sa cavale depuis le bord de mer avait été épuisante. Non seulement il avait failli être capturé par la Bulle Noire mais en plus il avait été blessé...Maudits archers...

Il grogna de douleur lorsqu'il appuya sa main gantée sur sa jambe bandée et ensanglantée. Il fallait qu'il s'occupe de cela en priorité.

Il alluma une lampe à huile posée sur la grande table de la pièce principale de la maison, puis, dans la lueur vacillante de la flamme en train de gagner en vigueur, il enleva sa cape et défit prestement son baudrier qui retenait les étuis de ses dagues et le posa le tout sur la commode.

Il prit place sur une chaise et dégrafa son armure de cuir qu'il laissa choir sur le sol. Un morceau de flèche cassé était resté fiché dans le cuir épais mais sa pointe n'avait pas traversée.

Le voleur pesta. Son plan avait échoué. Il avait été dépossédé du magot et avait failli y laisser sa peau. Pourtant les chose s'étaient plutôt bien déroulées cette nuit jusqu'à....

Mais comment ces lourdauds de la Bulle Noire l'avait-il retrouvé en bord de mer ? Ce ne pouvait être qu'un incroyable coup de chance car il était sûr de ne pas avoir été suivi et d'avoir soigneusement camouflé ses traces.

Boesean pesta de nouveau et commença à défaire son bandage de fortune.

Il n'eut pas le temps d'examiner sa plaie car à sa grande surprise une armada de gens en armes fit alors irruption avec grand fracas dans la demeure...

Le voleur n'était pas en mesure de tenter quoi que ce soit....sans ses armes posées au loin et lui-même ainsi posté à la grande table en train de s'occuper de son bandage.

La poisse semblait lui coller à la peau ce matin... ***


 
Arda Oria

Le Dhiwara 10 Agur 1508 à 12h13

 
Gardez le un instant, je vais chercher les autres.

Le temps de quelques pas et j’ouvris la porte de derrière laissant les deux dernier allié dont Soleyä entrer, nous étions maintenant six protagoniste contre un blessé … je préférais ne pas ajouter de commentaire la dessus.

Je donne mon arme à Soleyä et un membre de la bulle noir fait pareil, à l’aide d’une corde nous ligotons l’individu solidement, nous n’avons pas d’arme sur nous, et nous le fouillons ensuite pour vérifier que lui non plus.

Je retourne récupérer mon arme, et un membre de la bulle noire se place derrière lui la nuque en joue pendant que celui qui l’à ligoter avec moi, ramasse les possessions du mécréant et les fouilles en quête d’un indice.

J’entame alors l’interrogatoire. J’ai mille question à lui poser, mais nous auront le temps après, et pour l’instant, nous n’avons pas retrouvé Eirine.

L’homme était blessé, comme si il avait fuit un combat or, la bulle noire était à la rançon d’après les membres qui m’accompagnais, toutefois, si le criminel avait réussi à revenir ici, c’était soit par talent, soit parce que la bulle noire avait encore merdée, toutefois, pour une fois cela n’avait pas été si négatif, du moins pour le Clepthe.


Où est la jeune femme répondant au nom de Mademoiselle Hausen Eirine que vous avez enlevée, vous et vos collègues.

Je n’avais jamais torturé personne, mais l’idée me traversa l’esprit pour peu que celui ne réponde pas, je me demandai plus comment je réagirai que la réaction de l’homme en face de moi.

J’attendais sa réponse avec une impatience dissimulée, il ne fallait pas lui donner envie de nous fait poireauter plus qu’il ne le ferait déjà.


 
Boesean

Le Luang 11 Agur 1508 à 21h25

 
*** Le voleur n'était pas en mesure de lutter et il ne put rien faire pour ne pas finir ligoté.

Maintenant qu'il n'était plus encapuchonné, les enquêteurs purent découvrir ses traits de manière plus détaillée. Un visage long, un nez aquilin et des yeux cernés...Il semblait plutôt jeune.

Bien que solidement attaché, le voleur avait l'air d'examiner tout aussi soigneusement ses interlocuteurs qu'eux-mêmes ne le détaillaient en ce moment précis.

L'air plus narquois que vraiment impressionné il répondit : ***


Comment avez-vous fait pour me trouver ?

J'ai réussi à semer ces gros nigauds de la Bulle Noire tant bien que mal...mais je pensais surement pas être attendu ici....

D'où tenez-vous cette adresse ?


 
Arda Oria

Le Matal 12 Agur 1508 à 11h16

 
Un des membres de la bulle noir décocha un pain à Bosean, et se retint de lui en mettre d’autre dans un éclair de lucidité, il fallait qu’il parle, pas qu’il perde conscience. Pourtant on voyait bien qu’il n’avait qu’une envie, lui démolir la tronche. Il avait le poing serré et le regard tranchant. Je pris de nouveau la parole avec un sourire aux lèvres.

C’est ta maman qui nous à appelée pour nous dire que son fils avait mal tourné, et elle nous a conduit ici, même tes proches te trahissent, si cela n’est pas triste.

Maintenant dit nous où est Mademoiselle Hausen, je n’ai jamais torturé quelqu’un, mais je ne sortirais d’ici que pour pouvoir me rendre à l’endroit où se trouve la jeune femme.


*** Il attrapa l’une des dagues des affaires de Bosean et commença à s’imaginer comment en faire sortir une intense douleur qui n’est pas mortelle, il pensa en tout premier à passer la lame sous les ongles, et aucune autre idée ne lui vint, après tout ce n’était pas un expert en la matière.

Il chuchota à l’oreille de Soleyä, et les deux membres du Clepthe passèrent derrière l’homme qui ne put sentir deux main immobilisant la sien et l’obligeant à tendre un doigt. ***


Maintenant parle, je serais aussi obstiné que tu pourra l’être.

 
Boesean

Le Matal 12 Agur 1508 à 21h28

 
*** Boesean encaissa le coup sans broncher. Il se contenta de cracher le sang qui lui avait envahi la bouche sur les bottes du soldat.

Visiblement, il en fallait plus pour l'impressionner. ***

Votre usage immodéré de la violence avant même que j'ai prononcé le moindre mot montre en réalité que vous ne savez pas grand chose.

Malheureusement pour vous, vous avez besoin de moi...

Frappez moi encore une fois et vous ne saurez jamais rien ! Même si vous choisissez de me découper en morceaux...


*** Le bandit eut un regard narquois... ***

Moi, je fais des affaires par ici et elles sont prospères. Je n'ai donc guère envie qu'une bande de soldats viennent m'ennuyer...c'est mauvais pour les affaires justement.

Ne pourrions-nous pas trouver une sorte d'arrangement qui puisse satisfaire tout le monde ?


*** Le bougre cracha de nouveau du sang et ce qui sembla être un bout de dent. ***


Réfléchissez...

 
Arda Oria

Le Julung 14 Agur 1508 à 09h18

 
°°°Bon, j'ai encore espoir de ne pas aller aussi loin, voyons voir ce qu'il a à proposer.°°°

*** Arda pris une chaise et se posa en face de Bosean qui sentit l'étreinte sur sa main disparaître.

Arda était maintenant en face de l’homme, et se préparait à lui poser des questions, à ce moment il sembla occupé à écouter le silence, il ne faisait aucun doute que sa Mou lui glissait un quelconque message télépathique et que le jeune Tchaë écoutait attentivement. ***


Je vais faire preuve de politesse et écouter votre proposition, je ne l’accepterais peut être tel qu’elle est, mais je suis tout Ouïe.

*** Le comportement de Arda avait légèrement changé avec l’intervention de son Mou, il était plus enclin à écouté et négocier qu’il ne l’aurait été un peu plus tôt.

Il regardait l’homme droit dans les yeux en attendant que celui-ci formule sa demande, il avait posé la dague, et avait pris un air un peu plus calme, avec une pointe de contrariété.

Il était en position accroupie sur sa chaise, comme un gosse étant obligé de patienté alors qu’il avait envie que le sermon finisse. ***


 
Stennar

Le Julung 14 Agur 1508 à 20h50

 
*** Stennar arriva devant la porte ou les deux gardes étaient en poste, suivit par le Général. Il n'eut pas le temps de se présenter qu'ils ouvraient déjà la porte.

Il jetta un dernier coup d'oeil au dessus de son épaule pour voir si on ne l'avait pas sivit puis rentra.

Il vit Arda Oria et quelques autres personnes. Il s'approcha d'Arda Oria et lui serra la main tout en l'attirant loin du ravisseur qui allai entamer une phrase. Il lui chuchota : ***


Ne le laisse pas t'embobiner le cerveau. Ils sont tous très bons pour ca. Je te laisse mener l'interrogatoire, après tout c'est toi qui l'a capturé je ne vais pas m'en mêler tant que je ne le juge pas nécéssaire.

*** Il termina sa phrase par un hochement de tête suivit d'un sourire puis il alla se positionner sur le coté de Boesean tout en croisant les bras. ***




 
Boesean

Le Julung 14 Agur 1508 à 22h27

 
*** Le voleur vit arriver de nouvelles personnes dans la maison, mais sans sembler s'en formaliser pour autant.

Il continua de fixer Arda comme s'ils étaient seuls dans la pièce. ***

La fille...? Je ne puis vous la livrer pour la simple et bonne raison que je ne sais pas où elle se trouve à l'heure actuelle.

Ceci étant dit, je peux vous dire qui l'a emmenée....Mais je ne vous donnerai cette info qu'à une condition : ma liberté !


*** Boesean, qui semblait avoir pesé chacun de ses mots, attendit ensuite la réponse de la Voix du Clephte. ***





 
Stennar

Le Julung 14 Agur 1508 à 22h40

 
*** Le Commandant, adossé à un mur, ne put réprimer un petit rire.

Il le dissimula derrière un raclement de gorge et regarda Arda, attendant sa réponse afin de savoir de quelle manière il allait se débrouiller. ***




 
Arda Oria

Le Luang 18 Agur 1508 à 19h52

 
La situation était comme je le redoutais plus complexe qu’il n’y paraissait, toutefois il me fallait d’abords obtenir des informations sure avant de traiter avec cet homme, négocier était une bien fastidieuse tâche, surtout lorsque l’on vous propose une main pour vous prendre un bras.

Avant toute négociation autour de l’offre que vous me proposez, je tiens à vous poser quelques questions qui me tracassent un peu.

Etes vous la personne qui avez enlevé Mademoiselle Eirine Hausen, je parle de l’acte en soit bien sur.

Si oui, comment vous y êtes vous prit.

Combien étiez vous pour menez cette opération, sans compter votre commanditaire.

Avez-vous d’autres informations sur la Dague Rouge, ses autres talents et mission.

Plus vous nous fournirez d’information, plus je pourrais exaucer votre requête, toutefois sachez que plus qu’un nom il vous faudra aussi me donner des preuves de la culpabilité de la personne que vous nous révèlerait.

Plus nous avançons, plus nous montons dans la hiérarchie, et il est un stade ou une accusation, venant d’une personne criminel qui plus est n’est plus suffisante.

Vous comprendrez, que sans preuve vous serez notre seul témoin, ce qui pose un épineux problème pour vous comme pour moi.

Je vous écoute donc.


 
Boesean

Le Matal 19 Agur 1508 à 08h57

 
*** Le voleur fut quelque peu surpris par les propos d'Arda...Il sembla se détendre.

Il parla d'un ton presque doux : ***


Si je suis la personne qui a enlevé Eirine Hausen ?

Et bien si vous ne pouvez l'établir, je ne suis pas vraiment persuadé que nous devions poursuivre cette discussion....

Sortez d'ici et remboursez donc les dégâts que vous avez causé en entrant ici !


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