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Le Luang 16 Jayar 1508 à 20h49
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| Le Chat paraît avoir tiqué sur un passage du discours d'E'len. Il s'agite un instant et adresse un regard sombre à la jeune femme. Il est subitement inquiétant. Sa voix est posée, calme, mais d'une froideur terrible.
Je ne dois rien, ni à vous ni à personne, je ne suis le débiteur d'aucune sorte d'individu et je n'ai aucun engagement à tenir. Je ne "dois" pas vous dire quoique ce soit ou vous aider d'aucune manière. Le devoir ne fait pas parti de mon vocabulaire ou de mes prérogatives politiques.
Qui essayez-vous de convaincre, E'len ?
Son oeil valide continue de fixer intensément l'Artilleuse. Là où il y avait chaleur et attention quelques secondes auparavant ne demeure plus qu'un mur vitreux, infranchissable et illisible.
Qui plus est, c'est mal connaître notre ami le Précepteur.
Il ne bougera son petit doigt que le jour où ce volcan lui explosera à la face ou qu'il y verra une source intéressante de profit, pas avant. Et si par quelque hasard il songe à fourrer son nez dans le bourbier des basses fosses, ce ne sera certainement pas sous le poids d'une dette ridicule contractée à mon égard.
Je ne dois rien au Prince et il ne me doit rien. On ne saurait souhaiter si parfaite harmonie.
Un petit sourire vient étirer ses lèvres au coin de sa bouche et il soupire en hochant de la tête. Son regard et ses manières se font plus douces et détendues. Il revient de nouveau à la contemplation admirative de son quartier.
Même Thanakis avec qui j'avais pris des engagements suite à l'affaire des corrompus n'a pas bougé son petit doigt. Il y a bien eu un ou deux de ses professeurs qui sont venus faire l'école pendant quelques mois et de vagues tournées d'artistes, mais rien d'autre. Rien sur le long terme. Rien de concret.
Alors Gorgo....Non.
C'est hors de question.
Qu'il fasse de sa biroute ce qui lui plait, mais qu'il ne vienne pas nous faire suer quand la moniche qu'il ramone disparaît dans la nature.
Le Chat attaque son dessert, une vieille pomme dans laquelle il croque à pleines dents. Les deux jeunes femmes, malgré le coup de gueule de leur hôte, peuvent sentir chez lui qu'une profonde satisfaction l'emporter sur le reste. Entre deux bouchées, il leur lance finalement une petit coup d'oeil en biais. Un sourire plus large lui barre désormais le visage.
Je vais néanmoins vous donner un coup de pouce.
Uniquement parce que je vous apprécie, que je sais ce que vous valez et qu'il semblerait que vous en ayez vraiment besoin.
Mais vous la fermez quant à mon implication dans tout ça. Pas un mot. D'accord ?
Le vieux lascar attend que Soleyä et E'len lui répondent favorablement avant de poursuivre, à voix basse.
Allez voir, Rudd. C'est un bougre qui traîne souvent à la Taverne Echop'p. Un bouge du coin, pas très loin.
Du boit des doigts, le Chat leur désigne une direction dans le lointain qui s'étend sous leurs pieds. Se faisant il leur explique le court chemin qu'elles ont à emprunter pour y parvenir. Rien de bien compliqué.
Si il fait sa forte tête, dites-lui que c'est moi qui vous envoie. En ami.
Je ne garantie rien, mais dites-vous que c'est déjà ça de pris.
Lui sera capable de vous aider, et en aura peut-être le désir.
De mon côté, c'est tout ce que je peux faire.
Ne m'en demandez pas plus.
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Le Vayang 20 Jayar 1508 à 14h09
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E'len reste quelques minutes pensive. Elle ferme alors les yeux et les traits de son visage se détendent. Puis rouvrant les yeux elle regarde le sol qui s'étend sous ses pieds.
Ramenant une à une ses jambes sur le toit, elle se relève et rajuste sa chemise et son pantalon puis enlève la poussière de ses vêtements.
Se retournant vers Soleyä son visage devient alors grave et sérieux.
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Il faut y aller, le temps nous manque...
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Puis elle reporte son regard sur le vieux Tchaë encore assis au bord du toit.
***
J'aurai aimé rester plus longtemps, mais le devoir m'appelle et le temps nous fait défaut. Je vous suis reconnaissant de l'aide que vous nous avez apporté. Et je tiendrai parole, votre nom ne sera cité en aucune façon et vous n'aurez rien à voir avec cette affaire, ni en bien ni en mal.
***
Faisant signe à Soleyä qu'il est temps d'y aller, elle commence à prendre le chemin pour redescendre du toit. Laissant l'analyste passer en première, elle s'agenouille ensuite. E'len jette alors un regard discret en direction du Chat.
***
J'espère vous revoir bientôt...
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Puis elle se laissa tomber sur une planche située plus bas. S'accrochant aux différentes prises pour arriver au sol en toute sécurité.
Sortant du bâtiment, E'len prend directement la direction que leur à montrer le Chat. L'heure de la rançon approchait cruellement vite et le temps glisser entre ses doigts. Il fallait qu'elles se dépêchent.
Elle ne pris même pas le temps de regarder sur le toit qui les surplombait maintenant.
E'len ne pouvait perdre plus de temps... C'est d'une bonne allure qu'elles s'engouffrèrent dans les ruelles sombres des basses fosses.
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Le Sukra 21 Jayar 1508 à 12h47
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| *** Un rire. Non, une moquerie. Le Chat ne s'était pas trompé. Les envoyer dans un pareil bordel ne lui inspira qu'un bref dégoût qu'elle n'attarda pas, de crainte des nausées.
Souriant à l'adresse d'E'len, elle attendit quelques instants, le temps de la laisser entrer, tandis qu'elle dévisageait d'un œil sombre les alentours.
Une fois l'ensemble du paysage balayé, elle s'engouffra à son tour dans la bâtisse, après avoir rabaissé sa large capuche, histoire de garder encore quelques instants le secret de son sexe. Non qu'elle en avait honte, mais autant l'employer à bon usage, s'il fallait exciter les crasseux mâles situés à l'intérieur. L'occasion pour elle d'improviser leur technique d'approche, bien que déjà une petite idée lui trottait dans la tête. ***
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Le Sukra 21 Jayar 1508 à 14h37
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| Je faisais fasse aux basses fosses, si tenté est que l’on puise dire où elles commençaient et où elles finissaient.
J’avais enfilé les vêtements que j’avais à l’époque où j’ai vécu ici, cela doit dater de l’année où j’ai été viré de chez moi, enfin bref, je ne pense pas non plus que quelqu’un me reconnaisse dans ce fourbi, où j’ai passé des moments aussi dur qu’agréable, au moins ici les gens sont vrai et ne se cache pas derrière un lot de mensonge.
dit :Pourquoi à tu mis ces fringue usé si tu à déjà vécu ici.
Venir habillé correctement serait un peu comme un défi envers eux, je préfère donc me fondre dans la masse, par respect pour eux, je sais à quel point leur vie est difficile, même si je ne les comprends dorénavant plus autant qu’avant. Certains on vécu toutes leur vie ici, moi je n’y ai vécu qu’un instant.
dit :C’est vraiment une ville dans la ville, c’est effrayant.
Le plus effrayant c’est de se dire que rien n’est fait pour améliorer cela. Tachons de trouver Soleyä.
*** Arda marchais dans la rue naturellement, la misère qu’il voyait lui rappelais les bons comme les mauvais souvenir d’une année ou deux passée ici, il avait perdu la notion du temps dans cette autre monde.
Il regardait le moindre visage tachant de reconnaître quelqu’un, où d’apercevoir Soleyä, mais aucun visage familier ne se dessinait dans les ruelles sombre des basses fosses.
Il tacha alors de se renseigner. Près d’un homme à terre à qui il donna à manger. ***
Tiens mon vieux, mange donc ça. Dit moi, tu aurait pas vu deux femmes que tu n’avait jamais vu ici, une blonde et une rousse ? | |
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Le Sukra 21 Jayar 1508 à 14h49
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| *** Soleyä ne prêta pas grande attention aux quelques crasseux qui se retournaient à leur passage, bien qu'en son fort intérieur elle souriait jaune, compressant cette irrésistible envie de leur coller cette fameuse flèche dans le cul. Aussi, lorsqu'elle arriva près du comptoir, elle essuya le dossier d'une chaise haute avant de s'y asseoir, frappant du poing le comptoir pour attirer le regard du tavernier. ***
Patron ! Deux bières !
*** Elle se retourna délicatement en observant l'homme au bout de la salle d'une indifférence totale. ***
Rajoutez m'en une pour l'type qui joue au fond.
*** Elle se tait, amusée une fois de plus. Les fléchettes, des petites flèches, non ... ? ***
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Le Sukra 21 Jayar 1508 à 19h06
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| *** La patron, un Tchaë au crane dégarni qui portait une veste souillée de vilaines taches, émargea péniblement de son demi-sommeil.
Lorsqu'il vit les deux jeunes femmes, un sourire béat lui lissa les lèvres et il passa le revers de sa manche sur son menton que garnissait une filet de bave qui avait dû s'échapper pendant sa sieste. ***
Vous vous êtes perdues mes jolies ?
Que puis-je pour vous ?
Deux...non trois bières, c'est parti.....
*** Le Tchaë partit dans sa remise tirer les bières de leur fût, il fallait espérer que les boissons ne seraient pas du même acabit que l'endroit....sinon la potion risquait d'être amère !
Les joueurs de cartes continuaient leurs parties sans plus s'occuper des deux nouvelles clientes, quant au type du fond, il ne s'était même pas retourné.
La patron revint avec son plus beau sourire, quoique un peu édenté, et les choppes de bières. ***
Ce s'ra 1 pièce mes toutes belles car j'vous offre l'troisième verre....et dites-moi donc ce qui vous amène dans mon établissement ?
Pas l'insigne honneur de boire ma bière maison ?
*** Il ajouta un clin d'œil appuyé à Soleyä de ses yeux chassieux. *** | |
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Le Sukra 21 Jayar 1508 à 23h05
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| *** Le Tchaë qui jouait aux fléchettes était concentré et ne semblait pas se rendre compte de ce qu'il se passait autour de lui.
Il avait relevé la capuche de sa cape sur sa tête comme pour mieux s'isoler et envoyer ses fléchettes dans la cible avec une dextérité peu commune.
Il ne sembla même pas remarquer Soleyä quand celle-ci vint se placer non loin.
Ce ne fut que lorsqu'elle parla que l'individu s'interrompit et se tourna. ***
*** Il attrapa la choppe d'un geste direct et fixa la femelle de son unique oeil valide. ***
Je gage que pour que deux nanas dans votre genre se pointent ici sans être inquiétées, c'est soit qu'elles sont folles, soit en service commandé.
Mais j'accepte bien volontiers une petite partie, je manque d'adversaires valeureux par ici.
*** Son œil brilla en disant ces mots. ***
Avant de commencer, quel sera l'enjeu de la partie...car je ne joue jamais pour rien.
Vous non plus à ce qu'il me semble n'est-ce pas ?
*** Et le Tchaë vida sa choppe d'une traite tout en allant chercher les fléchettes plantées dans la cible. *** | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 13h40
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| *** Impassible, la femelle dévisageait le mâle d'un intime mépris, pour lequel elle aurait volontiers adjoint un gracieux cracha, histoire de lui faire garder les pieds sur terre. Sans doute ce mâle était un psychopathe, et au mieux, elle en était également un, mais avec la réflexion. Lorsqu'il mentionna la possibilité de paiement, elle manqua de s'étouffer, préférant largement une flèche bien placée que débourser quelques piécettes contribuant au banditisme.
Elle suivit une à une les flèchettes lancées par le borgne - quoiqu'elle en doutât - faisant preuve d'une remarquable habilité, pour un tel handicap. Ce ne fut qu'à ce moment qu'elle eut un instant de sursaut.
Etait-elle capable de le surpasser ? Allons, cet homme a l'œil crevé, et tu es en pleine possession de tes moyens ... Cette pensée ne lui arracha pas même un sourire. ***
A moi.
*** Elle eut bien négocié quelques centimètres, prétextant sa condition féminine et soi-disant faible, mais ne poussa pas le vice à ce point. Non, un véritable défi se présentait maintenant à elle. Celui de prouver ses capacités à ce demi-homme qui osait se mesurer à elle, et qui lui donnait tant de craintes sur ses propres capacités.
Lorsqu'elle eut rassemblé toutes ses flèchettes, la femelle se plaça à l'endroit même où le mâle se tenait quelques instants plus tôt, ne lui accordant aucun regard. Il n'était pas tellement question de se déconcentrer en visionnant l'étendue d'horreur que son visage couvrait.
Tout d'abord, les jambes. Oui, elle prendrait le temps qu'il faudra.
Placée légèrement en biais, la jambe droite en retrait afin d'assurer l'élan arrière, et la jambe gauche procurant l'appui nécessaire, sur la ligne invisible. Quelques infimes flexions lui permirent de vérifier ses prises, n'hésitant pas à dévier très légèrement certains de ses membres. L'un des bras en avant, assurant un rôle de balance, et l'autre en retrait, flèchette en main. Trois doigts serrés sur ce manche, pointe en avant, après s'être assuré du maintien du pique.
Dans ses yeux, une lueur flamboyante et dénuée d'expression.
Nul ne put douter qu'elle prit ce jeu au sérieux, consciente en la compétition qui s'annonçait. Une femelle, un borgne. Rien de plus équitable pour un tchaë lambda, non ?
La tête orientée en direction de la cible, les yeux rivés sur le centre de cette dernière, elle imposa le silence. Immobile, elle se concentra sur ce modèle, fouillant sa propre imagination. Une fois après s'être visionné un visage qui lui évoqua Thosen Noril, elle le transposa inconsciemment sur la cible, déversant vers lui ce flot de mépris qu'il vouait à ses écrits. Lui vouer elle-même de la haine ne serait que lui rendre service. Aussi, préféra-t-elle l'atteindre de ses propres armes. Désormais, elle était seule face à lui, l'attention pointée sur son nez. Elle inspire alors profondément, gonflant le torse entièrement.
Dès lors que son expiration s'engagea, son bras parti d'un coup sec mais précis, usant de sa vue affinée par ses connaissances en combat à distance, pour diriger cette flèchette, dosant la force de vitesse ainsi procurée. ***
*Ploc*
*** Dans le mille. Thosen Noril était désormais pourvu d'une fléchette dans le nez, et déjà il lui sembla apercevoir un filet de sang s'en extirper. Pure invention, naturellement.
Ne se laissant pas aller à l'engouement soudain et néfaste, elle se repositionna. Même attitude, même détails, et les deux autres flèchettes atteignirent bientôt le même point, partageant le minuscule centre de la cible. Finalement, cela ne fut le fruit que d'une précision intense, et le temps qu'il lui fallut pour arriver à un tel résultat ne lui était pas un soucis en soi. Elle n'y songeait plus, fixée sur ses objectifs maintenant résolus. 50+50+50 = 150.
A son tour, elle laissa soin au mâle de vérifier sa victoire de son unique œil valide, qui n'eut qu'à approuver l'évidence. Modeste, elle ne s'enflamma pas dans une joie incontrôlable, mais reporta son attention sur le borgne, s'approchant maintenant de lui, une étincelle dans les yeux. Il devait tenir parole, et ce fut à voix basse qu'elle lui rappela son dû. ***
Vous avez perdu, et vous m'êtes redevable de réponses.
Nous sommes à la recherche de la femelle enlevée par la Dague Rouge, pour des raisons qui ne regardent que nous.
J'attends de vous des réponses claires et pertinentes, afin que nous puissions retrouver cette tchaë, et peut-être faire d'une pierre deux coups. | |
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Le Julung 26 Jayar 1508 à 20h35
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| *** Un certain temps avait déjà passé depuis mon entrée dans la basse ville, ici tout se monnayais, j’appris donc que les filles étaient allées à la récolte, mais là encore elle avait disparue. Cet endroit était toujours aussi pitoyable, mais c’était aussi l’endroit ou les espoirs de certaines personnes avaient été réalisés. Grace à cela le gens ne mourrait pas de faim.
La queue des miséreux devant la table en bois, malgré le chaos qui semble régner sur les basses fosses, l’ordre était parfait, personne ne s’impatientait, personne ne faisait mine de doubler, chacun savait restait à sa place et attendre son tour. Ici les Tchaës faisaient preuve d’une plus grande civilité qu’à l’extérieur.
Une fois de nouveau au devant de la bâtisse, je ne pouvais que déprimer devant l’immensité de la ville basse, autant chercher le S’sark chez les Nemens … quoique ce fut presque plus probable qu’on le trouve là bas qu’ailleurs.
Mes pas me menèrent dans différents lieu que je côtoyais avant, mais ici tout avait changé, personne ne restait longtemps au même endroit. Il me fallait me perdre dans les ruelles sombres, où chercher des renseignements dans les tavernes miteuses du coin, ici les informations était sans doute plus sure qu’en ville, mais sans aucun doute plus chère aussi.
La première taverne m’indiqua une autre taverne, qui me mena à une troisième taverne, où l’on m’indiqua une piste qui me mena à deux femmes inconnue, avant qu’un vieillard m’indique le nom d’une dernière taverne l’Echop’p, un nom bien étrange pour une taverne, il ne devait pas y vendre que de l’alcool. Toutefois, avec un seul nom en poche et pas de chemin pour m’y rendre, cela fût un vrai supplice avec la nuit tombante.
Les ruelles étaient devenues plus qu’inamical, et si j’avais été vêtu normalement, sur que mes pieds et ma tête aurait été à la même hauteur.
Enfin l’échoppe se montra, sombre, moche, pire que les précédente, si tenté que j’eus pensé cela possible.
L’enseigne était crasseuse et la porte semblait pouvoir fendre sur ses gonds au moindre coup un peu bourru. ***
dit :Tu ne pense pas entrée dans un lieu aussi effrayant en plein nuit noire !
Et pourquoi pas, personne ne m’a encore menacé aujourd’hui, c’est plutôt de bonne augure.
dit :Justement, ton réservoir de chance est peu être vide maintenant, allons nous en, et vite, je ne tiens pas à finir plus mou que je ne le suis déjà !
*** Contre les objections de Erstin, Arda entra dans l’auberge, il y avait quelque personne, et Arda n’aperçu pas les trois personnes au fond de la pièce en train de discuter.
Il s’assit au comptoir et commanda une bière, si tenté qu’il ait vraiment envi de boire cette mixture, mais ses pérégrinations lui avait donnée soif. ***
PS: dsl pour le retard. | |
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