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Le grand Feuillage

Un entraînement de minuit...

Ouvert à toute personne pouvant se trouver au théâtre la nuit.
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Sujet lancé par Mirwen
Le 04-10-1511 à 21h02
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Posté par Mirwen,
Le 11-10-1511 à 11h48
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Mirwen

Le Matal 4 Otalir 1511 à 21h02

 
*** Le calme et l'obscurité régnaient. ***


***
La fête des fous approchait.
J'avais réfléchi à un spectacle à donner qui lui, serait dans le bruit et la lumière.
Rien de mieux qu'une atmosphère opposée pour donner du piment à la représentation du jour venu.
Une petite touche d'entropie.

Je fais le vide, respire profondément, puis j'entame les mouvements.
Je fredonne l'air dont j'ai besoin, et cale mes pas dessus.
Un crescendo invisible se fait dans la musique et mes mouvements qui l'accompagnent.
Puis, d'un seul coup, une brusque accélération, ma voix se fait plus forte et plus aigüe, tandis que des flammes d'entropie dansent autour de moi, révélant mon armure de cuir liquide - seul vêtement que je porte.
Les flammes apparaissent et disparaissent en rythme.
Puis un faux pas, une erreur...
Tout s'éteint, et je ris, amusée...
***


J'y arrive toujours pas !
C'est vraiment dur de faire trois choses en même temps...
Ce serait plus facile avec un musicien je pense... humph.


*** Puis, je m'apprête à recommencer mon essai... ***


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
***

 
Silindë

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 16h18

 
Clap! Clap! Clap!

Quelques lents applaudissements resonnent dans la penombre. Contrastant avec le silence.

Silinde sort de l'ombre où il s'était adossé au mur.


Plus souple la jambe quand tu t'elance en avant, petite Princesse.

Commente il dans un demi sourire. Le tydale à l'air un peu fatigué... il faut dire qu'avec les preparatifs..

Ton mouvement est gracieux, il s'enchaine sans probleme sauf là. Tu es trop concentrée sur ton sort, tu en oublie l'harmonie habituelle.

J'aurait du mal à t'aider pour la musique, tu as du voir mon manque de talent mais je peut assurer la partie entropie. Tu n'auras à te soucier que de la danse et de la musique...

Ca te va?


Dans ces heures nocturnes, l'artiste semble etrangement calme. Ailleurs...

Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 16h25

 
*** Je réponds d'un ton énergique, ne laissant pas entrevoir la surprise d'avoir un spectateur : ***


D'accord ! Je vais essayer...

*** Je secoue la tête en signe de négation avant d'enchaîner : ***


Non, non... C'est moi qui m'occupe de la partie entropie.
Je trouverai bien un musicien le jour même...
Et si je trouve pas, eh bien... je devrai me surpasser !


*** Puis, m'avisant de sa fatigue alors que je m'apprêtais à recommencer, je cours le rejoindre en faisant une roue pour arriver près de lui, mes pieds passant à quelques centimètres de sa tête... ***


Comment va mon entropiste préféré ?

*** Un baiser sur sa joue vient achever ma question tandis que je reste là, l'épaule contre un mur, les bras croisés. ***


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
***

 
Silindë

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 16h56

 
Il esquisse un fin sourire, passant une main sur la joue de Mirwen en une legere et volatile caresse. Elle est encore en forme, c'est bien... même si il prefererait qu'elle ne passe pas ses pieds si pret de son nez...

Allons, ne t'en fait pas. Il suffira de demander à l'un des musiciens de t'accompagner. La patte de Basile est à nouveau en bon état, il sera ravi de t'aider... Tu me diras quand tu veux le caller dans la journée et je verrais avec le programme des musiciens pour lui liberer cet horaire...

Il ferme à demi les yeux en s'affalant, dos au mur, sous le regard de la tydale.

Creuvé. Tout à organiser et trop peu de temps...
Ne t'inquiete pas pour moi Mi.. Je tiendrais le temps qu'il faudra.


Il la regarde, presque tendrement.

Reprends donc ton exercice. Même si tu ne veut pas d'un coup de main, il est agréable de te regarder.


Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 17h04

 
***
Je saisis au vol la main qui se pose sur ma joue, et la garde là, contre moi.
Je regarde Silindë droit dans les yeux, intensément.
Peut-être commence-t-il à s'habituer à ce regard perçant.
***


Non, je veux que ça reste une surprise.
Je ne veux pas que tu en parles.
Je veux trouver un musicien capable d'improviser à partir de ce que je lui donnerai.
Et je le chercherai peut-être la veille, pas avant.


***
Parions là-dessus, ô cher ami entropiste.
Je suis des vôtres à présent.
Penses-y !
***


Je sais que tu tiendras.
Mais je pense que tu devrais aller te coucher, vu l'heure...
Cela-dit, je ne te chasse pas. Si tu as envie de regarder, très bien.


*** Et sur ces mots je lâche sa main, l'embrasse de nouveau rapidement sur la joue, puis je retourne sous le feu des projecteurs.
Enfin... sous la lumière pratiquement inexistante des étoiles par une fenêtre.
Dans le noir, donc.

Et je danse...
Chante.
M'enflamme.
***


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
***

 
Silindë

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 17h35

 
Oui, il commence à s'y habituer.
A apprecier de s'y plonger. Il ne le trouve pas perturbant. Etrange oui, exotique, fascinant. Mais pas perturbant.

Sa joue est douce et chaude sous sa paume. L'entropiste apprecie le contact. Reconfortant. Chaleureux..
Kiril en cet instant est sans defenses. L'artiste moqueur et frivole est oublié. L'entropiste fier et narquois aussi. Reste le tydale qui pour une fois à baissé ses murailles. Ici il sait qu'il n'a pas à les avoir. Apres tout, il est chez lui. Dans un lieu où seul les siens vont et viennent -normalement. Non, ici et à cette heure là, il n'a pas de raisons de se cacher sous un masque.

Il rit doucement, retenant contre sa joue la main de la soupir.


Oh je n'en doute pas... Tu es des notres Mirwen. Tu es des notres et jamais nous ne laissons tomber l'un d'entre nous, ou ne le sous estimons. Jamais, quelqu'en soit la raison. Tu feras bien ce que tu voudras ma Princesse. Et si ce musicien existe, tu saura le trouver je n'en doute pas.

Alors qu'elle se releve, retirant apres un baiser sa main, il depose à son tour ses levres sur le poignet. Embrassant doucement la peau sensible à cet endroit là.


Merci Mi. Mais je ne dormirais pas, même si je rejoignait ma chambre... Peu importe l'heure.


El il la contemple danser, flamboyante dans le noir.
Et il reve en la regardant.

Scene surreelle qui le ramenne des années auparavant.



Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 18h17

 
*** Une erreur. De nouveau, au même moment.
Je pousse un soupir, puis je recommence.
Et je fais une erreur avant même ce moment.
Petite pause.
Je recommence, et fais l'erreur au même moment que la première fois.
Fatiguée.

Je recommence encore une fois, et cette fois, l'erreur survient un peu plus loin.
Mais je suis contente d'avoir dépassé ce stade.
Mes quelques autres essais ne m'amènent plus aussi loin.
Au bout, au total, d'une bonne vingtaine de minutes peut-être, je m'arrête, et retourne voir Silindë, couverte de sueur, l'air fatiguée, mais satisfaite.
Je glisse une remarque :
***


Je vais aller faire un brin de toilette, tu m'attends ?

*** Puis après un instant de silence, je continue : ***


Ensuite on ira se promener, si tu veux.

*** J'attends juste sa réponse avant d'aller me laver rapidement, pour revenir une dizaine de minutes après, les cheveux encore humides, mais toujours aussi peu vêtue qu'avant. ***


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
***

 
Silindë

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 19h06

 
Elle recommence, encore et toujours.

Le tydale hesite quelques secondes à lui dire qu'elle devrait prendre une pause avant de renoncer. Ce serait bien trop ironique que ce soit lui qui vient de refuser de le faire qui le lui propose. Elle s'arretera bien quand elle se sent. Apres tout, si l'ivresse de la danse est la même que celle des mots ou de l'anarkan, il la comprends. Oh oui. Il la comprends si bien. Lui qui se sent parfois sur une corde raide mais incapable de reculer ou de ralentir.

Un jour il en mourra. Il le sait. Il le sait et l'a depuis longtemps accepté. Les rêves ne sont pas faits pour vivre vieux.

Alors Kiril la regarde danser.

Un instant il a hesité à lui proposer un petit ajout pour donner à cet etranger ballet flamboyant un coté feerique et ephemere, aussi impalpable qu'intangible. Il le fera. Plus tard.


Bien sur Princesse. Je t'attendrais toujours, tu le sais bien.

Reponds il doucement.

Une promenade romantique, tous les deux en amoureux.... Fait attention mignonnette, tu risque de me donner l'espoir d'un jour pouvoir te serrer contre mon coeur.

la taquine t'il, à moitié plaisantant, à moitié serieux.

Et le temps qu'elle prenne une douche, il arrivera bien à recuperer son poncho...


Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 20h28

 
*** Je ris en m'éloignant et lui lance à voix haute : ***


Tu penses à voix haute Kiril !
Mais va pour la promenade romantique! Pour le reste, on verra...


***
Puis je m'en vais...

... puis je reviens.
Propre, et rafraichie.
***


J'ai pas pu m'empêcher de remettre mon armure...
C'est comme une drogue, sans rien de néfaste.

Où est-ce que tu veux qu'on aille ?


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
***

 
Silindë

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 21h50

 
Il rit doucement, pour lui même, tandis que Mirwen s'eloigne, murmurant.

Pas de dangers ma belle... je sais presque toujours ce que je dit....

Il en a profité pour se rincer le visage, histoire d'être certain d'être bien reveillé. Ce n'est pas parce qu'il n'arrive à trouver de repos qu'il ne ressent pas la fatigue.
Le poncho à nouveau drappé autours des épaules.


Ttsss Mir... tu ne devrais pas tu sais. Cette armure te va beaucoup trop bien pour la porter comme ça. Tu as beau être symbiosée mon artiste adorée, et j'ai beau particulierement apprecier la vue


Lowgli dit :
A ce stade certains appellent ça reluquer mon grand.


Oui, peut-être. Je disais, tu as beau être extremement attirante et désirable dans cette tenue, je ne pense pas que ce soit l'effet recherché. Ou sinon c'est particulierement pervers... D'autant qu'à Syrinth... la sobrieté et la modestie font partie des diktats vestimentaires pour la plupart des femmes....

Il termine avec un immense sourire...

Ceci dit... je m'engage à te proteger contre tous ceux qui pourraient se meprendre sur tes intentions ou te confondre avec une travailleuse nocture. Ou te laisser le faire seule si tu le désire bien sur. Ou te laisser prendre le poncho pour un peu de discretion...

Parce que vu la tenue...


Il designa la porte et lui proposa son bras.


On y va? Je connait un petit parc que tu n'a jamais du voir de nuit. Les étoiles y sont superbes.

Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Merakih 5 Otalir 1511 à 22h06

 
*** Kiril, roi du second degré, m'amuse beaucoup pour cette belle soirée.
Je pense que c'est une bonne idée, cette ballade.
***


Regarde-moi plutôt dans les yeux Kiril... même si c'est difficile !
Je ne doute pas que tu connaisses déjà le reste...


***
J'éclate de rire.
La pudeur ne m'avais jamais vraiment été grand chose d'autre qu'une contrainte.
Enfin... je ne me serais clairement pas montrée nue devant lui, ou qui ce fut excepté celle qui, en ce moment, emplissait mes rêves.
Elle me disait "bientôt" dans mes rêves...
Si seulement c'était vrai.
***


Sache qu'une femme aime toujours se sentir désirable.
Il est vrai que pour la plupart des femmes, des règles assez strictes sont maintenues.
Mais moi, je suis au dessus de ça, juste parce que je suis symbiosée...
Ridicule...


***
Je n'aime pas cette barrière. Même si elle est compréhensible.
Enfin bon, beaucoup de conventions ne me conviennent pas.
Ce n'est pas nouveau...
***


Je vais aller prendre ma cape, ça t'évitera de devoir me protéger.
Enfin j'espère que ton parc est pas dans un coin... louche ?


*** Sur ces paroles, je file chercher ma cape, la mets sur mes épaules, puis dis d'un ton guilleret : ***


Je te suis, Kiril.

*** Je prends sa main dans la mienne. ***


***
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***

 
Silindë

Le Vayang 7 Otalir 1511 à 13h29

 
helas... l'impossibilité d'etre pris au sérieux devait faire parti de sa malediction personnelle. Certes, en temps normal c'était lui qui, de base, ne prenait pas au sérieux mais quand même!
Autant continuer. Le tydale laisse echapper un rire un peu las.

Je plaide coupable. Le reste n'a plus beaucoup de secret mais n'en demeure pas moins un mystere chaque fois renouvelé. Plaisir coupable de la redecouverte et de l'emerveillement.

Elle rit. Il se doute qu'elle n'en croit pas un mot. Et pourtant, il y a bien quelqu'un sous le sourire leger qu'il arbore en permanence... non? Il faut croire que non.

Tttttt, tu es au dessus de ça parce que tu es toi, c'est à dire mon exceptionnelle petite princesse.
Mirwen pourra elle comprendre un jour la culture equilibrienne? Elle qui est et demeure tydale ne percoit sans doute pas ce qu'est le poids des traditions et des croyances des fideles de la Dame. Ce n'est pas parce qu'elle est symbiosée. C'est parce qu'elle est une grise. Les symbiosées sont des grises, ou au moins des grises potentielles. C'est ce qui se croit. C'est ce qui explique l'immense liberté accordée aux femmes symbiosées par rapport à leurs consoeurs dans cette culture. Les Grises menent la danse.

Dans le milieu où baigne le theatre c'est autre chose. Il y souffle un vent de liberté. Un vent d'insouciance. Mais telle n'est pas la réalité au dehors. Le tydale le sait. Pour lui aussi ce n'est pas naturel -il vient d'une culture où les femmes, toutes les femmes, sont reines. Mais il a fini par faire avec même quelque soient ses considerations personnelles. Il ne critique pas, ne songe même pas à critiquer. C'est juste comme ça.


Te proteger est toujours un plaisir hein!

Allons y...
Et tu me blesse en pensant que je peut t'entrainer dans un endroit un louche. Comme si j'avais l'habitude de frequenter ce genre de lieu...


Fausse protestation. Bien sur qu'il en a l'habitude. Ou du moins l'a eut.

Sortir du théâtre dans la nuit étoilée...


Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Vayang 7 Otalir 1511 à 13h36

 
*** Redécouverte et émerveillement ? ***


Je ne vois rien de merveilleux, mais bon... si tu le dis...

*** Ni rien d'exceptionnel.
Mais ça je le garde silencieux.
Pas besoin de contredire Kiril à chaque fois qu'il me fait des compliments.
Pourquoi suis-je si... si distante ?
Est-ce que c'est de la peur ?

Je me fige, regardant avec peine mon ami, puis je lui dis tristement :
***


Je suis désolée de t'avoir blessé.

*** Ça ne fait pas référence à ce qu'il dit qui l'a blessé, mais bien à ma façon d'être dont je me rends compte qu'elle est difficile à accepter peut-être...
Je lui emboite le pas, finalement.
***


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
***

 
Silindë

Le Matal 11 Otalir 1511 à 00h52

 
Rien de merveilleux?

Il s'etonne... Avant de dire, legement pensif.

Tu ne connais pas ô combien tu est un joyau à chérir?
Oh... Sa vouloir la remettre en question, ton ex a oublié quelque chose de fondamental. Elle ne t'a pas dit que tu était née pour être aimée. Ne t'a t'elle fait découvrir ses trésors cachés, ces endroits qui un temps n'attendaient que la caresse de ses mains..? Si Princesse, chaque femme est unique et chacune est un poeme à part entiere. Elle est vivante et se redécouvre à chaque fois, semblable mais pourtant differente. Une poesie qui doit être dite du bout des levres, caressante au début pour continuer plus absolue. L'oublier est criminel.

Enfin... oublie ce que je viens de dire ma Mir, et observe plutot les étoiles.

Tu vois la constellation là bas. C'est celle de l'hirondelle. Il lui manque desormais le bout de l'aile depuis la chute de l'an passé, mais elle vole toujours.


Il la regarde avec tendresse. Lui sourit, et continue de marcher, mains dans la main.

Ne soit pas désolée. Tu ne m'a pas blessée tu sais. C'est juste que ce soir le voile de gaieté est d'insouciance s'est legerement effiloché. Mais ça passera. Ca passe toujours. La fatigue... Au contraire, il est doux dans les heures qui precedent l'aube d'avoir la compagnie d'une personne qui vous est chere.

Tient regarde, derriere ce bosquet dans la journée, il y a des ecureils en general.


Jusqu'au bout...

 
Mirwen

Le Matal 11 Otalir 1511 à 11h48

 
*** Mon... ex ?
Cette remarque me met en colère, sans que je me l'explique.
Assurément, il a raison, en prenant du recul, mais sur ce sujet je suis incapable d'en prendre.
Donc pour moi, il a tort, et je comptais bien lui présenter Kaelianne un jour, pour lui prouver qu'elle n'appartenait pas au passé mais bien au présent.
Je ne réponds rien, effectivement, conservant un silence froid, jusqu'à ce que je regarde les étoiles et que j'oublie effectivement ce qu'il venait de dire.
La remarque sur les écureuils me fait sourire et j'ajoute :
***


Tu as eu l'occasion de faire connaissance avec eux, alors ?

*** Avec mon pouce je caresse la main de l'Entropiste.
Je suis un être cher à un bien petit nombre de personnes...
J'ai été contente de te retrouver, moi aussi.
Après un instant de silence complice, j'ajoute :
***


Il n'y a pas que la fatigue, n'est-ce pas ?
Est-ce que tu veux m'en parler ?


*** Je regarde son visage, le mien exprimant l'amabilité sans détour, sans façade... ***


***
Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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