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Le Jardin des courtisanes

Courtisons un verre à la main

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Sujet lancé par Linoë
Le 09-09-1510 à 22h29
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Posté par Linoë,
Le 11-10-1510 à 22h54
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Linoë

Le Julung 9 Saptawarar 1510 à 22h29

 
***
Quelques heures plus tard, Linoë ressortit de sa chambre vêtu d'une simple chemise en soie blanche et d'un pantalon sombre.
La crasse du voyage avait complètement disparu, noyé dans un bain chaud fort agréable, ainsi que la fatigue qui en avait découlé. Mais ceci était plus dû aux mains expertes de la jeune Tydale qui avait partagé ce moment avec lui.

Il resta quelque secondes dans le couloir, la bouteille d'un excellent vin qu'il avait commander un peu plus tôt dans une main et deux verres dans l'autre. Il n'avait pas tout bu en compagnie de la Tydale. Maintenant il recherchait un endroit plus calme pour terminer ce breuvage, en bonne compagnie.

La douce musique et les rires de l'étage inférieur lui parvenait, il préféra monter ou une douce fraicheur régnait. Un splendide jardin, véritable havre de tranquillité couvrait la plus grande partit de l'étage.
Il s'avança dans cette espace de verdure niché ainsi au sommet du château. Ses bottes crissaient sous le gravier des allées, seul le bruit d'une fontaine se faisait entendre.
Assis sur le bord du bassin, une Tydale aux cheveux d'or semblait plongée dans ses pensées. Sa tenue montrait clairement qu'elle n'était pas une cliente, mais c'est sa symbiose qui permit à Linoë de deviner qui elle était.
Le Chercheur s'avança doucement tout en remplissant de vin l'un des verres, qu'il tendit à dame Janyssa une fois arrivé devant elle.
***


Bonsoir,

***
Sa voix était calme et douce.
***

Accepteriez vous de partager un verre sous les étoiles avec moi ?

 
Meryl

Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510 à 13h50

 
***
Meryl était montée prendre le frais dans les jardins. Les affaires étaient plutôt calmes en ce moment, la faute au Tark'Nal probablement. Elle qui pensait que les Poussiéreux se presseraient pour venir profiter de la vie avant la fin de Syfaria ... Elle s'était bien trompée.
Un des gardes lui avait dit qu'un client venait d'arriver. Un Tydale, probablement un Confrère vu l'arrogance qui se dégageait de sa personne. La Tchaë avait largement sourit, enfin quelqu'un ! Malheureusement, le nouveau venu avait jeter son dévolu sur une Tydale et Meryl ne savait pas où il se trouvait.
Mais en attendant elle était donc montée dans les jardins. C'est alors qu'elle le vit: pas de doute un Confrère. Il avait un verre à la main et se trouvait proche de Dame Janyssa. La Tchaë décida d'intervenir, la patronne ne lui en voudrait pas.
***


Bienvenue aux Cieux Ethérés Avih. Je suis Meryl.



"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510 à 14h44

 
***
Le verre est à peine remplit qu'une douce voix se fait entendre derrière Linoë. Se retournant, il découvre une Tchaë aux charmes légèrement caché sous un voile transparent.
***


Par les six, deux charmantes dames seules sur cette terrasse, et moi le seul mâle présent.
Aurais je interrompu quelque chose ou est ce mon jour de chance ?


***
Il tendit le verre plein à Meryl et remplit le second qu'il offrit à dame Janyssa.
***


Enchantée avihia Meryl. Je me nomme Linoë,
Vous maitrisé à merveille le rabaän, connaitriez vous la perle sombre, ou la maitrise des langues,
sourire amusé du Tydale, n'a aucun secret pour vous ?

*** Il plongea ses yeux dans ceux de Meryl, ***


Je pencherais pour la seconde solution, Maitresse dans l'usage de cette organe, non ?

*** Se tournant rapidement vers dame Janyssa, ***

Mais comme toute vos dames je présume.

*** Il retourna à nouveaux son attention sur la jeune Tchaë ***


Mais peut être avez vous d'autres talents.... plus cachés..... plus secret, belle Meryl ?
Après tout n'est ce pas ces petites particularités qui font toute la réputation de cette établissement.


 
Meryl

Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510 à 21h23

 
***
En voilà un qui n'avait pas froid aux yeux ! Ca faisait longtemps ça ausi. Meryl esquissa un sourire charmeur et entendu. Elle prit le verre qu'on lui tendait, y trempa les lèvres et répondit.
***


En plus d'être maîtresse en langue, je suis une ancienne Consoeur. La Perle Sombre était un peu trop .... timorée pour moi. Je suis, sachez le, experte dans la maîtrise de toutes les parties de mon corps Avih Linoë.

*** La jeune Tchaë boit encore une gorgée d'alcool avant de répondre avec une certaine sensualité. ***


J'ai en effet une particularité. Mais pour en profiter, il vous faudra vous montrer expert dans le domaine du plaisir féminin ... L'êtes vous Avih ?

*** La voix se voile d'un accent sensuel. ***


"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Luang 13 Saptawarar 1510 à 10h45

 
*** Le Tydale sourit à la question. ***


Laisser le "Avih", appelé moi Linoë.
Cela va peut être vous surprendre pour un confrère, mais je n'use guère de la vantardise pour parler de ces choses là.


***
Tout en parlant il commença, d'un pas lent, à tourner autour de la tchaë. Laissant une main effleurer ses épaules, accrochant discrètement le voile qu'elle portait.
***


Je dois reconnaître que dans mon autre vie...celle de mâle apte, j'avais une certaine réputation. Certains bruits couraient même que la douleur disparaissait dans mes bras. Mais ce ne sont que des bruits, des ragots et je donne guère de valeurs à des ragots.

Vous trouvez la perle sombre trop timorée. C'est bien la première fois que j'entends cela mais vous avez sans aucun doute plus d'expérience que moi des choses du plaisir.


***
Le chercheur s'était arrêter dans le dos de la dame, il se pencha comme pour l'embrasser dans le cou, mais il se contenta de humé son doux parfum. Tout en laissant son dos glisser le long du bras de Meryl.
***


Avez vous déjà rencontré un seul mâle véritablement expert dans les plaisirs féminin ? Beaucoup prétendre tout savoir de votre sexe, mais je pense que bien peu en ont réellement percé tous les secrets, non ?

*** Il tourna à nouveaux autour de la Tchaë pour lui faire face. ***


Je dois admettre que pour un chercheur comme moi, cela représente l'une des études les plus ….légère moue du visage pour montrer sa réflexion....Passionnante, profonde et intrigante que l'on puisse faire. Et la seule dont on ne souhaite pas réellement percer les mystères, ceci dans le seul but de poursuivre l'expérience.

*** Il laissa à nouveaux glisser son dos le long du bras de Meryl, pour lui saisir doucement la main. ***


Peut être souhaiteriez vous m'aidez dans mes recherches ?

 
Meryl

Le Luang 13 Saptawarar 1510 à 22h32

 
***
Meryl restait impassible devant les gesticulation du Confrère. Elle avait l'habitude de ce genre de discours, son sourire était néanmoins toujours aussi sensuel. Ses yeux semblaient un peu plus brillants ... feinte ou non ? Puis un rire musical retentit.
***


Vous dites ne pas user de vantardise et pourtant c'est ce que vous faîtes. Plus subtilement que la plupart des hommes il est vrai mais quand même....

***
Le voile que le Tydale avait effleuré tomba au sol sans qu'elle fasse le moindre effort pour le retenir. Il ne reste plus qu'un fin carré de tissu sur la poitrine parfaite de la courtisane. Puisque le visiteur se montre entreprenant, la Tchaë n'a aucune pudeur à de montrer ainsi.
***


Un mâle apte ? Vraiment, voilà qui est intéressant. En général, on en voit peu ici ou alors ils ont un certain âge ... Ce qui ne semble pas être votre cas. Vous êtes encore dans la fleur de l'âge et je ne doute pas de votre vigueur ...
Si j'acceptais votre proposition, il vous faudrait faire honneur à votre réputation.


*** Meryl jette un coup d'oeil à Dame Janyssa. ***


A moins que Dame Janyssa n'aie d'autres plans pour vous ?

"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Matal 14 Saptawarar 1510 à 10h31

 
*** Linoë marqua un court silence, observant la nudité de la Tchaë. ***


Est ce toujours de la vantardise quand cela est fait subtilement ?

*** Tenant toujours la main de la courtisane, il y déposa ses lèvres en un doux baiser. ***


Ou plutôt une autre façon de courtiser ?
Quand à ma réputation, je l'ai laissé dans mon autre vie....Je ne viens ici que pour des recherches.


*** Bref coup d'œil à la patronne des lieux. ***


Mais peut être que dame Janyssa souhaiterait participer à mon étude elle aussi ?

 
Dame Janyssa

Le Merakih 15 Saptawarar 1510 à 02h49

 
*** La mère maquerelle se retourne lentement.

Perdue dans ses pensées, ou toute à l'écoute de ce qui se dit entre le client potentiel et sa pentionnaire ? Plus vraissemblablement, elle d'entend pas interférer avec Meryl, qui sait se vendre sans aide. Cependant, cette dernière l'ayant nommément citée dans la conversation, Janyssa y voit un appel.

Une demande d'assistance, peut-être ?
Ou de diversion ?

Plongeant ses yeux d'ambre dans ceux du chercheur, elle se fend d'un sourire léger et dit, d'une voix à tutoyer les anges ***


Cela fait longtemps que j'ai épuisé le sujet, mon bon monsieur.

 
Meryl

Le Merakih 15 Saptawarar 1510 à 18h05

 
***
Meryl ne peut s'empêcher de sourire aux paroles de sa supérieure. Personne ne pourra dire que la répartie n'est pas un art dans la Maison. Elle se demande comment réagira le Tydale.
Dame Janyssa lui signifie ainsi que Linoë est son client, enfin c'est ainsi qu'elle le comprend. La toute petite main de la Tchaë se trouve toujours dans celle du Confrère. Meryl remonte alors lentement un ongle le long du bras du mâle, sorte de geste de possession. Maintenant qu'elle sait ce qu'elle doit faire. Sa voix se fait encore plus voilée.
***


Je crains Linoë que je ne sois votre seul sujet d'étude aujourd'hui ... Mais peut-être que vous pourrez ainsi approfondir vos recherches au maximum ...

***
La courtisane plonge de nouveau ses lèvres dans le verre. Son regard bleu fixant presque effrontément ceux de son interlocuteur.
***


"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Merakih 15 Saptawarar 1510 à 23h13

 
*** Le chercheur eut un air navré à la réflexion de Dame Janyssa. ***


Vous avez épuisé le sujet....comme cela me rend triste pour vous.

***
Tout en tenant la main de Meryl, il se pencha vers la Tydale, déposa doucement la bouteille à côté d'elle et lui chuchota à l'oreille.
***


Si vous n'avez plus rien à chercher, ou est votre plaisir alors ?
Dans d'autres jeux peut être ?
Ne partez pas trop loin, je suis sûre d'avoir un sujet que vous avez pas épuisé.


***
Il se redressa un bref sourire énigmatique aux lèvres. Puis il se tourna vers la Tchaë en affichant un air beaucoup plus joyeux.
***


Des craintes, mais je n'ai nul crainte à vous avoir pour moi seul. Et je compte bien approfondir aux maximum mes recherches avec vous.

*** Tout en parlant il entraina Meryl vers l'un des des bancs cachés derrière un buisson. ***


Scylla dit :
J'y crois pas...il remet ça !
C'est bientôt la fin de Syfaria et lui il batifole à tout va...et il ose prétendre que ce sont des recherches scientifique en plus....


***
Il souleva doucement et sans violence la dame de compagnie pour la déposer debout sur le bancs. La différence de taille s'inversa ce qui ne sembla nullement déplaire aux confrères. A son mou beaucoup plus.
***


Scylla dit :
Oh non je veux pas voir ça......on touche le fond …


***
Scylla disparu dans un petit plop, regrettant que la symbiose limite son champ d'éloignement. Il se posta non loin d'une des tours du château, préférant observer les étoiles. Témoins lumineux des ébats amoureux qui se déroulait dans le jardin.
***


 
Meryl

Le Vayang 24 Saptawarar 1510 à 21h59

 
***
Les jeux dans les buissons furent plaisants mais le Tydale se montra un peu trop empressé à ressentir son propre plaisir. Pas de doute, un Confrère pensa encore Meryl. Elle comprit très vite ce qu'il avait voulu dire sur ses capacités au Matriarcat.
La Tchaë n'atteignit pas l'orgasme mais un plaisir assez vif pour qu'elle eu envie de revoir ce client dont elle devinait le potentiel sensuel.
Alors qu'ils remettaient tout deux de l'ordre dans leur tenue, elle lui murmura.
***


Si tu te montres intéressé pour connaître ton futur, il te faudra être plus performant la prochaine fois ... Je trouve les études en ta compagnie fort divertissantes.


"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Dhiwara 26 Saptawarar 1510 à 22h56

 
***
Linoë ne semblait nullement pressé de sortir de leur petite cachette. Il laissa sa main caresser le dos de la Tchaë tout en observant le ciel étoilé. La chemise encore ouverte.
Il sourit à la pique de Meryl.
***


Le future......c'est original. Mais tu n'es pas obligé de faire appel à de tel sornette pour me garder. Je ne compte pas partir immédiatement.
Je suis un scientifique. Pouvoir connaître le future est tout simplement impossible.


***
Il n'y avait nul moquerie dans le ton du Tydale. Ni mépris vis à vis de la dame de compagnie non plus. C'était tout simplement une chose inconcevable pour un homme de science tel que lui.
***


Le fait de connaître mon future, modifierait immédiatement mon comportement et mes choix...rendant le futur à nouveaux imprévisible.

***
Le confrère se redressa prenant appuis sur l'un de ces coudes. Cette fois sa main caressa la jambe de Meryl, remontant doucement vers le ventre.
***


Par contre je n'ai aucun doute sur ta capacités à comprendre d'où viennent les clients que tu rencontre. Il est difficile de faire l'amour sans entrouvrir un peu les portes son jardin secret, non ?
Il devient plus facile de prévoir les pas d'une personne quand on connait ceux qu'elle vient de faire.

*** Il fit redescendre son doigt le long de la jambe, un petit sourire aux lèvres. ***


Si je ne crois guère en des talents de vision, je serais curieux de savoir ce que tu a pu apercevoir de mon jardin secret ?

 
Meryl

Le Merakih 29 Saptawarar 1510 à 21h01

 
*** La Tchaë lève le sourcil aux paroles du Confrère. Elle laisse échapper un petit rire. ***


Tu as tort, connaître son avenir peut-être très utile. Non pas pour la connaissance du futur mais pour la connaissance de soi-même.
Tu peux décider de changer ce qu'il va t'arriver ... ou pas. C'est un moyen unique d'exercer son libre arbitre.


***
La courtisane frissonne au contact de la caresse. Simple réflexe, pas question de remettre ça maintenant, elle n'a pas été payée pour un extra.
Elle reprend d'une voix moqueuse.
***


Je ne révèle jamais ce que je peux apprendre sur l'oreille. Pas à un autre client en tout cas.
Ce que je pense savoir de toi ? Tu es un Confrère et comme eux tu es présomptueux, trop peut-être. Le fait que tu me demandes ça veut dire que tu recherches quelqu'un. Et si tu le cherches ici c'est qu'il ne doit pas être très recommandable.


*** Tout en parlant et sans en avoir l'air, Meryl s'est rhabillée. ***


Autre chose ?



"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Sukra 2 Otalir 1510 à 22h51

 
***
Sans un mot Linoë sortit de l'une de ses poches une petit bourse, suffisamment remplit pour ce qui venait de se passer et pour tout ce qui pourrait suivre, qu'il déposa entre lui et Meryl.
***


Oh je ne nie pas que connaître son future ne soit pas intéressant. Je dis juste que c'est quelque chose de très fluctuant. Le révéler en change immédiatement la teneur et ce que tu as vue et dit deviens donc caduc.

*** Continuant à caresser la belle Tchaë, son front se plissa. ***


Par contre je suis plus perplexe sur ce que tu dis de moi.
Je ne t'ai jamais demandé de me parler des autres poussiéreux que tu croise. Pourquoi précisé que tu ne révèle rien sur tes clients.
Je n'ai pas croisé non plus de poussiéreux peu recommandable dans ces lieux ? Au contraire il me semble que ta patronne vielle à ce que son établissement ne soit pas à la porté des petites frappes que l'on peu croiser d'habitude dans ce genre de lieux.
Ta méfiance envers moi et ceux qui fréquente cette établissement me surprend..aurais tu peur ?
Pas de moi toute même.


*** Il cessa de la caresser, retirant sa main. ***


Ni de ton travail, j'ai cru comprendre qu'aucune de vous n'étaient forcées à faire cela.
Alors qui t'effraie au point de rester ainsi sur la défensive ?


 
Meryl

Le Dhiwara 10 Otalir 1510 à 15h59

 
*** La Tchaë se saisit sans cérémonie de la bourse. Après tout elle est là pour ça non ? ***


Je n'ai peur de personne et ce que je fais me plait je te rassure. La seule chose que je dis c'est que tu poses beaucoup de questions tout simplement.

*** De nouveau un petit rire échappe à la courtisane. ***


Oh je ne parle pas de petites frappes, ni rien de ce genre. Mais disons que ceux qui viennent ici ne sont pas les personnes les plus vertueuses de Syfaria. Sans parler de la réputation qu'ont la plupart des maisons comme celle-ci. Mélange de luxure et de pouvoir où de grands secrets s'échangent entre deux soupirs de plaisir.

*** Meryl plisse un instant son joli front. ***


Si tu veux avoir des informations, je te conseille de le dire sans détour. Louvoyer pourrait donner l'effet inverse de ce que tu cherches, sinon tu finiras par devenir suspect et personne ne voudra te parler.

"La nature forme les belles de sa main. Et les autres se forment elle-même avec l'art."

 
Linoë

Le Luang 11 Otalir 1510 à 22h54

 
*** Linoë éclata d'un rire joyeux. ***


Personne ne voudra me parler.....Mais je n'ai posé qu'une seule question.
Je voulais juste savoir ce que tu avais pu lire en moi en faisant l'amour.


*** Cette fois le Tydale se rhabilla et se releva. ***


Je n'ai eu nul besoin de poser de question, tu as parlé seul......C'est toi qui vient d'admettre que de grand secret s'échangeait sur l'oreiller.
Mais je me garderais bien de t'en demander les teneurs car contrairement à ce que tu crois cela ne m'intéresse guère.


*** Il aida Méryl à se relever, lui baisant la main au passage. ***


Il m'aurait été agréable de poursuivre notre échange de point vue sur la possibilité de lire l'avenir, mais je vous sent trop sur le défensive pour avoir l'esprit serein. Et j'espère de tout cœur ne pas être la cause de cette angoisse.
Je vous laisse travailler en paix. Je vais aller me restaurer.
Quand votre crainte se sera estompé, je serais ravi de partager d'autres plaisirs que ceux de la chair avec vous...ou alors celle qui rassasie l'estomac.

***
Avec un sourire charmeur il s'éloigna de la douce Tchaë et passa devant la maitresse des lieux en lui adressant doucement la parole.
***


Vos dames de compagnie sont bien au dessus de leur réputation. Je n'ose imaginer ce que peuvent ressentir les hommes entre vos mains......

*** Sans autre mots il se dirigea vers le restaurant situer à l'étage inférieur. ***


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