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Un austère Tydale, fonctionnaire du poinçon, à la barbichette finement taillée en pointe et aux yeux de fouines, se tenait assis derrière un bureau du hall principal. Il émanait de sa personne, un certain aspect comique, sans doute dus à l’air grave et important, qu’abordais, avec un grand sérieux, ce vulgaire gratte papier.
Le silence qui régnait dans le lieu vola soudainement en éclats, lorsque la porte s’ouvrit à la volée, et la solitude de l’endroit disparut au profit d’une agitation fébrile, alors que deux petites silhouette chargée franchissaient les portes du caravansérail.
Ils étaient deux, le plus jeune était vêtus comme un étudiant runique du limonaire alors que l’autre, bien plus élégants, était vêtu à la dernière mode Araméthéenne. Un mage, sans doute.
L’étudiant, suant, soufflant et haletant portait dans ses bras toutes sortes de parchemins, ustensiles et accessoires loufoques de chimie, de sorcellerie et d’enchantement. Celui qui semblait le diriger ne tenait à la main, que quelques baguette et stylet finement ouvragé.
Jetant un regard hautain et méprisant au confrère du poinçon qui, déboussolé, venait de voir débouller un laboratoire du limonaire dans feu la calme quiétude de son hall.
Nous sommes Teklook Teklook, mage du limonaire, et nous…
Il s’interrompis brusquement, qu’est ce qu’un pauvre commis a l’administration pourrais bien comprendre à la situation ? Il marmonna quelque chose puis, d'une voie ou perçait l'arrogançe, s'adressa de nouveau au tydale.
Nous exigeons de rencontrer votre supérieur. Immédiatement.
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