|
|
|
Le Vayang 24 Julantir 1509 à 12h20
|
|
|
| *** La forêt est dense, un Farryen de feu s'agite non loin de là. La faune s'agite, signe que la forêt vie, et le chant de différents oiseaux s'élève dans les airs. Des bruissements de branches se font entendre, et la calme revient. Le bruissement de branche s'éloigne, la nature reprend son chant.
Deux Neldas parcourent la Forêt qui chante, et cette dernière semble observer la progression des êtres de poussière. Elle semble les accueillir et les guider par ses nombreux habitants. Les deux Neldas se laissent guider, suivant à peu près la clairière qu'ils ont aperçut à flanc de montagne. Les branches sembles s'éloigner tout à coup et laissent la place à une clairière lumineuse, d'où la magie de l'ile semble prendre naissance.
Varkos s'arrête à l'entrée et pose son baluchon un instant. Le lieu est enchanteur, paisible, le Rêve semble s'être établi ici. Ou Réalité trompeuse...? ***
Ordre, Conscience Apprentissage, Durée.
Artisan bijoutier de l'Ordre | |
|
|
|
|
|
Le Vayang 24 Julantir 1509 à 17h32
|
|
|
| *** Impassible, il observe autour de lui dans cette endroit si étrange. Cette clairière, cette maison, ce puits...
Tout est bizarre, si calme à la fois, comme extirper du monde qu'il connait. Et si c'était le second monde ?
Frallomm revient de sa torpeur et regarde le puits. Pourquoi s'appelle-t-il "Le Puits des Souvenirs" ? On lui a déjà raconter une histoire plus jeune, mais que des brides.
Il regarde encore la maison, ainsi que le table juste à côté, et encore le Puits. "Mais qu'est-ce que je fais là, moi ?" se demande Frallomm. ***
dit :Au lieu de te torturer avec ces questions, pourquoi tu n'appelles pas quelqu'un ?
C'est pas faux.
IL Y A QUELQU'UN ? | |
|
|
|
|
|
Le Vayang 24 Julantir 1509 à 18h04
|
|
|
| ***
L'appel de Frallomm ne rencontre que son propre écho.
Pas de réponse. Pas même l'envolée de quelques oiseaux apeurés.
Juste son propre écho qui vient se répercuter au quatre coins de la clairière.
"Il y a quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un..."
Le vent porte un peu, caressant les frondaisons des arbres qui cernent le havre.
Tout est calme. Parfaitement calme. La lumière solaire est blanche, pleine et agréable.
Le bruissement des feuillages est une berceuse naturelle.
Le climat est doux, tiède, accueillant...
Pourtant, chose étrange, bien qu'il n'y ait personne...
Les deux Rêvants ont une drôle d'impression.
L'impression qu'il "pourrait" y avoir des gens.
Que l'écho "pourrait" être, en soi, une réponse.
Indéfinissable sentiment...
Comme ce lieu.
*** | |
|
|
|
|
|
Le Sukra 25 Julantir 1509 à 16h45
|
|
|
| *** Varkos sursaute, plongé qu'il était dans ses pensées, cherchant un semblant de voie vers le Rêve. Frallomm a encore suivi le conseil de son Mou. Il faudra un jour étudier la désymbiotisation, pour offrir un nouveau Mou à l'Onÿr. ***
*** L'écho résonne comme un paradoxe face au calme qui règne, la nature ne semblant même pas remarquer la présence des êtres de poussière. Varkos l'écoute, qui semble se répèter à l'infini. On se croirait à la montagne... ***
*** Varkos est maintenant complètement alerte. Un écho de montagne dans une clairière? Une impression étrange l'envahit. Quel est cet endroit où ils ont atteri? Il ferme les yeux et essaye de ressentir l'endroit, faisant abstraction de ce qu'ils voient. ***
Dis-moi ce que tu ressens, Polki.
Ordre, Conscience Apprentissage, Durée.
Artisan bijoutier de l'Ordre | |
|
|
|
|
|
|
|
Le Luang 27 Julantir 1509 à 10h28
|
|
|
| *** Un écho dans un forêt, le Nelda se doutait bien qu'il était dans un endroit spécial et il en découvrait encore.
Outre cela, il se sent surveiller; comme si des paires d'yeux l'observait un peu partout.
Frallomm se rendit dans la maison, un panneau à l'entrée : Nashdalem.
Des jardins, une fontaine, un bassin, tout ce qu'il y a de plus normal dans une maison de ce type. Intérieurement, Frallomm de se demande ce qu'il va trouver dans cette maison. Il passe la porte, prend différents couloirs, regarde les pièces. Tout est à l'abandon, poussiéreux, rien n'a été entretenu.
Mais cette impression...
comme si chaque mur, chaque pièce, l'air lui-même le regardait. *** | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|