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La place du marché

Lutter contre l'invicible

où comment chercher à repousser le Tark'nal
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Sujet lancé par Aedrenith
Le 06-04-1510 à 21h00
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Posté par Syin Lothar,
Le 11-04-1510 à 18h40
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Aedrenith

Le Matal 6 Astawir 1510 à 21h00

 
Tôt le matin, une petite troupe de Frères Noires passèrent dans le quartier marchand de la citadelle noire, pour placarder une affiche, faite rédiger la veille par le Commandant du Corps de Médecine. Aux prémices d'une journée d'échanges timide, en raison de l'état de siège, tous purent lire une des nouvelles du jour.

Citation :
Habitants d'Oriandre,

Sur autorisation du Général Krondor, une opération de production d'armement est initiée dans la Fraternité.

La Bulle Noire cherche à réunir une équipe de forgerons, d'ébénistes et d'enchanteurs, pour effectuer ce travail particulier.

Les volontaires pour aider à la défense de la cité par leur savoir faire artisanal dans ces trois domaines sont invités à se présenter à la Caserne, au Sergent Seraf, pour se faire recenser.

Le travail débutera dans les plus brefs délais possibles.

Pour la Fraternité ! Pour le Roi Elchior !


 
Syin Lothar

Le Matal 6 Astawir 1510 à 23h28

 
Syin errait dans les rues depuis presque une demi-heure maintenant. Les passages étaient droits mais menés souvent à des impasses. Il avait donc perdu beaucoup de temps à rebrousser chemins et à tenter une autre direction.
Ce ne fut donc qu'après de nombreuses tentatives pour communiquer et s'orienter auprès des autochtones que le Libertaire vit cette Tchaë à la tunique noire.

Syin cherchait Thosen Noril, un Diplomate des Tchaës, qu'il avait déjà entendu dire être lié à cette étrange et inconnue Bulle Noire. La tenue qui ressemblait grandement à un uniforme attira donc logiquement le regard du tydale.
S'approchant à grand pas, il s'arrêta à peu de distance d'Aedrenith sous le regard inquisiteur des tous les petits poussiéreux qui l'entouraient, un étranger au pas pressé cela ne pouvait que les intriquer.


"Mes respects gente Dame, parlez vous le tydale ? "

Puis sans attendre essayant dans d'autres langues :

" Je me nomme Syin Lothar et cherche à rencontrer le Diplomate Thosen Noril. "

"Peut-être pourriez vous m'aider ? "

Le baroudeur n'avait rien de présentable mais il prenait en qualité son état pour se montrer fort humble dans sa voix. Son attitude également en accord avec cela prouvait le respect qu'il témoignait à la dame.
Peut-être comprendrait-elle quelques unes de ses paroles ? Et peut-être accepterait-elle à contrario de la paranoïa légendaire de son peuple d'aider un visiteur égaré ?


 
Aedrenith

Le Merakih 7 Astawir 1510 à 17h29

 
La drame de devoir préparer la gestion des soins à l'échelle d'une ville quand on a une hanche fichue, c'est qu'on doit se farcir toutes les rues, en long, en large et en travers, pour veiller à tout un tas de choses. Et il n'y a pas à dire, quand chaque mouvement de bassin et chaque appuis sur la mauvaise jambe fait un mal de chien, ça a sacrement vite le don de rendre même la plus joyeuse des tchaës d'une très sale humeur.

Et comme depuis qu'elle boitait, la doctoresse était justement de sale humeur, affairée à boiter d'un point à l'autre, pour s'assurer que ses consignes étaient effectuées correctement. Sa routine dans la Noire, depuis trois semaines.

De jour en jour, son état s'aggravait. Ca allait bientôt faire un mois, campagne contre les abominations et campagne de défense de la citadelle noire ajoutées, qu'elle n'avait pas eu une vraie nuit de sommeil. Au lieu de ça, elle devait se contenter de petites siestes, dès qu'elle en avait l'occasion. Elle avait l'air plus morte que vivante. Et si maigre, elle avait sacrement perdu du poids, avec tout ça. Peut-être le point positif, ça lui faisait moins à porter sur ses guibolles.

Cette fois-ci, un imprévu se glissa dans la routine. Sous la forme d'un Tydale, qui vint l'accoster dans la rue. Allons bon, songea-t-elle en levant la tête, pour le regarder. Ils sont toujours aussi grands, ceux là, ajouta-t-elle mentalement, pour sa pomme. L'inconnu lui parla, sans qu'elle comprenne. Visiblement, dans plusieurs langues à la suite. Elle écarquilla les yeux, secouant la tête de gauche à droite. Sans vraiment se rendre compte de l'ineptie de la tentative, elle s'adressa à lui en tchaë, qu'il aurait pourtant employé s'il le connaissait.

Désolée mon grand, j'ai rien capté de ce que tu me racontes...

Elle fit une petite moue. Thosen aurait pu l'aider, sur ce coup là, il parlait un bon paquet de langues. Mais... Mais comme tout le monde depuis un moment, il était occupé, partout à la fois, alors pour le trouver dans toute cette effervescence, ça allait être coton... Et puis, il fallait déjà faire comprendre l'idée à son interlocuteur du moment...

Bon, se pensa-t-elle, encore pour elle même. Elle ne se pensait beaucoup à elle-même, ces temps-ci. Forcement, avec la symbiose, les pensées ont tendance à être moins souvent personnelles... A la porte Nord, il y aurait certainement quelqu'un qui parlerait la langue de ce Tydale, il y avait toujours beaucoup de monde dans ce secteur, étrangement...

Elle haussa les épaules, et fit un signe de la main, une invitation à la suivre. Elle espérait que ce geste aurait la même signification pour le Tydale que celle qu'elle voulait lui donner...


 
Syin Lothar

Le Julung 8 Astawir 1510 à 00h30

 
La dame paraissait harassée, ce que Syin n'avait pas remarqué en l'approchant à grand pas, peut-être aurait-il mieux dû choisir une autre âme pour venir la tourmenter mais elle était symbiosée et même si le Libertaire méprisait un peu cet état il ne pouvait à tout instant réfréner cet instinct qui les poussait tous à se regrouper.

Observant la Tchaë secouer la tête d'un air un peu désespéré puis lui répondre dans sa langue de race, Syin ne sut que faire face à cela. Bien sûr il avait des notions dans ce langage mais à peine de quoi le reconnaitre dans le fatras des discussions de comptoir, nullement de quoi se faire comprendre. Le baroudeur songea alors que cette lacune qu'il avait dans le domaine linguistique serait à jamais sa plus grande tare mais finalement il se ravisa, il ne possédait pas que celle là.
Puis appréciant la moue d'Aedrenith, il supposa qu'elle aussi devait avoir pensé cela.

Voyant ensuite le geste de la femme, le Tydale comprit bien qu'elle l'invitait à le suivre. Il réfléchit quelques instants et accepta. Elle n'avait pas parut hostile, ni ne s'était exprimé de vive voix, elle semblait même plutôt serviable, Syin s'en réjouit, peut-être Thosen avait laissé des consignes pour ces cas là.

Approchant de celle qu'il avait accosté, le Libertaire tenta un sourire. Étrange grimace sur le visage du tydale, il paraissait que peu maitriser se savoir faire ou en tout cas pas de manière volontaire. Se rendant compte que sa mimique pourrait avoir un effet désastreux sur la situation qui paraissait tout de même bien engagée, Syin déclara :


" Thosen Noril "

Un nom, cela devait être le même qu'importe le langage des factions et des races.

 
Aedrenith

Le Vayang 9 Astawir 1510 à 20h25

 
Ce qui est embêtant quand on est médecin dans la Bulle Noire, c'est qu'on n'a pas souvent l'occasion de croiser des étrangers...

Alors même avec l'habitude de lire sur les visages, il est difficile d'interpréter les mimiques. Surtout avec quelques centaines d'heures de sommeil en retard, des blessures qui trainent à guérir et quand on est assiégés par la plus forte armée qu'on n'ai jamais vu...

Alors voir ce Tydale sourire, comme ça, en s'approchant d'elle... Avec moins de fatigue, elle aurait sans doute sursauté. Elle se contenta de bêtement se demander s'il était possible qu'on essaie de s'en prendre à un officier de la Noire en pleine ville.

Et...

En fin de compte, elle en fut quitte pour une bonne frayeur, et la mauvaise idée d'écoper d'un peu plus de bleus qu'elles n'en avait déjà sur le corps. Son interlocuteur, le doute passé, il semblait qu'il n'avait pas cessé de l'être, prononça le nom auquel elle même pensait.

Des fois, faut avouer, les choses sont bien faites !

Thosen Noril, répéta-t-elle doucement, en hochant la tête. Cette fois, ils se comprenaient !

Ce qui est pratique quand on est médecin dans la Bulle Noire, c'est qu'on a à disposition la liste des affectations. Elle la tira de sa besace pour la consulter, s'avisant que le Maire était censé se trouver à la porte Nord.

Pas maline, ma fille, pensait-elle. En ce moment, chercher vers la porte Nord, c'était une sacrée bonne idée pour trouver bon nombre de ceux qui préparaient à défendre la citadelle.

La barrière des langues plus ou moins franchie, du moins pour déboucher sur une solution viable pour y arriver, les deux poussiéreux se mirent en route. Quelques dizaines de minutes plus tard, le pauvre Tydale en eut fini de suivre une Tchaë déjà plus courte sur patte que lui, mais en plus très sévèrement boiteuse. Le temps avait du lui paraitre long...

Ils arrivèrent à un groupe de Frères Noirs, qui étaient occupés à... Préparer quelque chose que la doctoresse échoua à identifier, vers la porte elle-même. Elle s'approcha d'eux.

Bonjour Frères... Frère Thosen, je peux vous demander un service ? Je suis accompagnée d'un Tydale avec qui nous peinons à nous comprendre... Aussi j'ignore trop ce qu'il veut... Vous pouvez nous aider ?


 
Syin Lothar

Le Vayang 9 Astawir 1510 à 23h31

 
Syin suivit la petite dame. Il n'était pas inquiet les deux personnes semblaient s'être comprises et toujours rien dans l'attitude de la Tchaë ne pouvait le pousser à se méfier, en tout cas pas plus qu'à l'accoutumé.

Aedrenith boitait grandement et le libertaire ne manqua pas de le remarquer pourtant elle ne semblait pas sortir d'un combat, ses habits était intact et ne révélait aucune trace de sang. Certainement un ancien et âpre combat, songea-t-il, et il bénit même la Dame de n'avoir jamais eu de telles conséquences à ses voyages.

Puis le tydale se mit à observer cet environnement qu'il découvrait pour la première fois. Il le pouvait car la dame noire ne pouvait presser le pas et lui dominait quelques peu la situation. Nombreux étaient les Tchaës qui s'affairaient de toute part, que ce soit pour évacuer la ville ou se préparer au combat, Syin ne le comprenait pas. Les choses étaient trop confuses pour son esprit de tydale et l'organisation du Désordre était chose qu'il ne connaissait pas.
Il prit enfin le temps de poser le regard sur cette grande Tour sombre qui imposait son ombre sur tout Oriandre. Fascinante par sa taille, elle en demeurait pour autant bien plus impressionnante par sa couleur glaciale. A n'en pas douter se devait être le siège de la bulle noire et cette organisation devait avoir une grande importance en ce lieu de Syfaria. Ruminant dans son esprit que cette loge devait certainement écraser par son autorité comme la tour le faisait sur la cité, Syin ne se rendit pas compte qu'il se retrouvait maintenant quasiment entourer de gens Noirs.

Aedrenith leur adressa la parole en Tchaë tandis que Syin cherchait Thosen du regard.


 
Thosen Noril

Le Sukra 10 Astawir 1510 à 01h02

 
Thosen accompagnait cinq tchaës aux cous de bœufs et déplaçant avec moult, moult, moult précautions deux grandes amphores. Le plus massif étant chargé de faire de l'espace aux autres.

Ils allaient avoir à faire pas mal d'aller retour comme ça...
Et le pire ce n'était pas les amphores, mais d'avoir à se trimbaler aussi bientôt les coffrets taillés dans une seule pierre brute qui contenaient un acide si terriblement corrosif que l'on racontait qu'il faisait perdre la tête de ceux qui l'avaient vu en action.
Même si c'était bien plus surement les vapeurs qui s'attaquaient directement au cerveau le problème ici.

Toujours est-il que si Syin avait bien du mal à repérer le petit diplomate dans la multitude de tchaës. Thosen lui n'eut aucun mal à apercevoir le grand tydale.


Continuez sans moi mes Frères, et faites bien attention à vous... et à tout ceci.

Abandonnant les soldats toujours aussi soucieux, il se rapprocha de l'ancien Equilibrien... qui était... autre chose aujourd'hui, il n'avait pas été spécialement clair sur la question.

Maître Syin Lothar, heureux de vous compter parmi nous. Vous avez l'air... de chercher quelque chose... est ce que je peux vous aider ?

 
Syin Lothar

Le Sukra 10 Astawir 1510 à 13h25

 
La voix noble s'éleva jusqu'aux oreilles de Syin Lothar. Celui-ci fouilla le bas et trouva celui qui depuis des années il n'avait plus rencontré.
Thosen Noril était toujours ce jeune et petit Tchaë qu'il avait rencontré dans la Tour Illuminé, heureusement d'ailleurs, mais il revêtait maintenant des habits dignes de son rang. Tissus de qualité, liserés finement brodé, cheveux entretenus et odeur raffinée, Syin se serait presque cru face à une poupée. Mais le Tchaë n'en demeurait pas moins un être d'exception et respecter, sa prestance, son physique finement taillé et ses atouts pour le combat pouvait faire trembler. Le libertaire fixa même pendant de longues secondes cette matière qui semblait se mouvoir au niveau de son cou, était-ce une de ces légendaires amures de cuir liquide ? Celui qui n'avait toujours que peu possédé en restait presque estomaqué.

Puis percutant les paroles de celui qu'il cherchait, il répondit avec grand calme et une once de déférence :


Sieur Noril,
C'est également avec grand plaisir que je me retrouve en ce jour face à vous et je ne puis que regretter les motifs qui m'y ont poussé.
Vous avez l'air particulièrement occupé donc je ne souhaite nullement vous déranger trop longtemps. Je vous avais dit que je vous aiderais quelque soit le choix que vous entreprendriez face à l'ultimatum des natifs de Syfaria, je vous demande donc que puis-je faire pour cela ? Je vois la ville en ébullition mais ne comprends ce que vous êtes en train de préparer, guerre ou départ précipité ?
Dites moi comment pourrais-je œuvrer et je le ferais, peut-être que m'associer avec les Témoins, s'ils sont sur une tache utile, serait une bonne idée ? Je pourrais au moins avec eux communiquer.
Ou alors pourrais-je assister un de vos pédagogues qui en profiterait pour compléter mon enseignement de la langue Tchaë car je n'ai que des bases rudimentaires pour celle-ci.


Le libertaire avait entreprit se chemin vers Oriandre pour un peu échapper à son passé mais cela l'avait droit conduit vers le destin de Syfaria, il ne voulait donc nullement rester là à attendre que les choses s'enchainent sans qu'il n'ai eu le temps d'aider. Il pouvait le faire de nombreuses façons mais était lourdement handicapé par son incapacité à communiquer, l'idée de rejoindre les Témoins, dont Nelle qu'il savait en ville en ses instants, venait non innocemment de traverser son esprit mais la réelle envie d'être plongé au cœur de ce peuple dont il ignorait quasiment tout était une opportunité qui peut-être ne se reproduirait.

Après avoir fait une petite révérence en guise de remerciement à Aedrenith, Syin se retourna vers Thosen.


Ma venue ici ne serait être une coïncidence, il me faut trouver ma place pour Syfaria œuvrer.

 
Thosen Noril

Le Dhiwara 11 Astawir 1510 à 17h13

 
Et bien... maître Lothar, je ne veux pas vous demander ce que vous pourriez accepter d'accomplir à contre cœur.
En cette heure la Fraternité se prépare à l'évacuation et à la guerre, les civils vont être emmenés en dehors de la ville tandis que nous autre militaires entendons mettre en place sa défense. Sa Majesté Elchior n'a pas encore tranché à ce sujet, mais à la demande des nemens, nous désirons gagner le plus de temps possible et nous battre s'il le faut.


Le jeune diplomate détailla un instant le tydale émacié. Cela faisait une paire d'année qu'il ne l'avait plus revu et celles-ci semblaient avoir pesées sur les traits du visage de Syin.

Je n'ai rien demandé à nos ami Témoin du S'sarkh présent à Oriandre, et il en sera de même pour vous.
Mais je peux peut être vous proposer des pistes...

Dame Istreen est je crois une excellente pédagogue,elle aura éventuellement le temps de compléter certaines de vos bases avant ce soir ? Vous pouvez peut être la contacter à ce propos...
Autrement, nous organisons l'évacuation de nos frères et sœurs civils pour demain matin, et ceux ci seront en danger sur les routes... je crois que vous avez une connaissance peut être sans pareille des menaces qui pèsent sur un poussiéreux en dehors des villes dans Syfaria... je vous assignerais un traducteur, mais vous pourriez éventuellement discuter de cela avec nos chef caravaniers ? Voir les accompagner jusqu'à Farnya ?


C'était bien cela, l'ancien équilibrien lui faisait penser à un loup. Il en avait d'ailleurs le même regard, solitaire et fière, la même allure, efflanquée et souple.

Vous sauveriez probablement des vies poussiéreuses par vos conseils.
Malheureusement, je ne sais pas ce que font nos amis Témoins à cette heure, mais peut être pouvez vous les contacter eux aussi et leur proposer votre assistance ?

Je ne souhaite pas vous proposer de vous battre ici, à Oriandre, si la décision du Roi penche dans ce sens. A moins que vous pensez sincèrement que ce soit une voie qui ne heurterait pas vos croyances.


 
Syin Lothar

Le Dhiwara 11 Astawir 1510 à 18h40

 
La lutte est un chemin qu'il faut prendre parfois et il m'arrive de l'emprunter avec conviction et foi. Pour autant je vous l'ai dit mon cœur penche plus vers la préservation des poussiéreux en ce présent cas. J'aiderais vos chefs caravaniers au mieux à se préparer.

Syin venait de prendre un air grave en ces instants, il se sentait une utilité enfin dévoilé et voulait réellement apporter au peuple Tchaë. Il hésitait néanmoins à accompagner sur le trajet les civils de la cité, il préférait attendre les premiers contacts avec les organisateurs pour évaluer le potentiel qu'il pourrait apporter.

Dois-je voir avec Dame Istreen pour échanger avec les Chefs Caravanier ? Ou un autre traducteur serait plus approprié ?
Je vais dans tous les cas prendre contact avec cette dame pour voir si les mots basiques peuvent m'être rappelés cela sera de toute façon d'une grande utilité.


Le libertaire songeant alors à la lutte que Thosen semblait lui préparer voulut exprimer un élan d'amitié. Il s'approcha d'un pas, posa une main sur l'épaule du Tchaë et déclara d'une voix plus basse :

Nous savons à quoi vos guerriers vont être confronté, nous savons que le sang et les pleurs vont couler mais il ne faut oublier les raisons de cela et ne jamais parjurer notre combat.
Que la Dame protège votre peuple et vous, frère du désarroi.


Syin Lothar recula alors d'un pas et prit le temps de contacter la pédagogue Istreen.

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