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Le Merakih 18 Fambir 1509 à 23h14
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**Le lieutenant Bagnus entrat a nouveau a l'auberge, cette foi en compagnie de Kal'Ash...Avant de repartir au combat, il avait besoin de faire réparer son équipement, et pourquoi pas, par la méme occasion, discuter un peu avec l'artisan chargé de ce travail.
A leur arrivée a l'auberge, ils prirent donc la direction du comptoir, ou il s'instalèrent.**
Deux pintes, et vite, on a soif!
**Connaissant le caractère bouru du soldat, le serveur s'empressat de servir les deux boissons dans d'énormes pintes.
Après quelques minutes a discuter de tout et de rien, Kal' s'isolat, c'était l'heure d'enchanter et il lui fallait pur cela beaucoup de calme et de concentration.
Ce n'est que 5pintes et demies pour le lieutenant que la dépaneuse revint, le visage marqué par l'effort...il faisait soif, la pinte a moitié tiède qui était la depuis un moment fut donc rapidement vidée par la "rouge".**
Alors Kal', t'as l'air fétigué, mes armes sont dures a enchanter?...au fait, je peux t'appeler Kal'?
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Le Merakih 18 Fambir 1509 à 23h37
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| *** Depuis peu la jeune fille avait décidé de ne plus accepter n'importe quel travail. L'excitation de son premier job avait laissé la place à une certaine lassitude. Les chaises cassées, le puzzle du vase de l'arrière grand mère, les charnières grinçantes... Tout cela faisait partie d'une période, une époque révolue, car même si elle n'avait pas réussit à trouver de remplaçant, Kal' avait d'autres projets en ligne de mire.
Cela étant, le lieutenant Bagnus l'avait approché pour lui demander un travail particulier. Un peu d'entretien sur sa tunique, mais surtout une séance "d'enchantement". Une pratique souvent incomprise, étrange, difficile, mais passionnante et qui plus est bien mieux payée que le changement d'un joint de plomberie.
Elle avait accepté et tous deux s'était rendu à l'auberge, au calme.
D'un geste elle salua la taulière, pensant qu'il faudrait que cette bonne-femme s'occupe de sa moustache, cela éviterait que l'on la prenne pour un homme...
Après avoir prit ses marques, dans la chambre qu'elle louait, elle descendit rejoindre le militaire. Elle avait soif, l'Esprit de la Machine ne se laissait pas manipuler facilement, et les efforts de concentration était considérables, elle bu promptement la pinte que Bagnus lui avait commandé avant de lui répondre.
***
Et bien... j'dirais que chaque séance est unique, pas forcément plus difficiles, mais les chemins sont rar'ment les mêmes.
C'est un peu comme si devait rallier un bled mais qu'la route change à chaque voyage...
Enfin...
Tu peux m'appeler Kal' ouais, c'est aussi bien. Y a quasiment personne que utilise la fin d'mon prénom de toute façon
*** une gorgée plus tard ***
Alors tu chasse en c'moment ?
Punaise, l'autre fois on est tombé face à un Gambol, j'étais avec trois Frères noirauds, mais heureus'ment qu'ils étaient là. J'ai bien cru qu'j'allais y rester.
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Le Julung 19 Fambir 1509 à 10h31
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Un gambol? a pas mal héhé j'en ait vu un seul, je venait de rentrer dasn la bulle, et c'est l'commandant Abel qui lui a fait manger sa masse haha!
**Raconter ses souvenirs, le lieutenant adorait cela. Il été un peu égocentrique...plus il parlait de lui et plus il se sentait bien.**
Mais en ce moment ca bouge pas trop hélas. Les autres sont au Nord il me semble, mais depuis les problèmes sur la place du marché, tu sais, avec les tondus...bin j'ai pas sorti mon arc une seule fois...
**On sentait bien une pointe de regret dans cette phrase. Bagnus n'était pas fait pour les villes, lui il avait besoin de grand air, de danger, et pas d'une vie citadine ou chaque jour se ressemble.
Il finit sont verre d'un trait puis en repris un...**
J'ai eu ma solde, je te repaye un coup?
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Le Vayang 20 Fambir 1509 à 10h24
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| Ouais... la place du marché
*** A ces mots, les évènements revinrent à l'esprit de Kal'. Cet épisode avait beau avoir été circoncit, il allait encore faire parler de lui pendant un moment.
Ce qui été devenu l'histoire racontée sous le titre des "évènements de la place du marché" était raconté dans les tavernes, chez l'artisan du coin, ou entre deux voisins se rencontrant chez le primeur. Bien des questions que cette mésaventure avait soulevé étaient encore en attente d'une vraie réponse.
La jeune fille soupçonnait que cette discussion avait trop d'importance pour être discutée accoudé à un comptoir.
Elle embraya donc sur un sujet moins polémique. ***
Quand j'aurai finit l'boulot, tu pourra retourner en dehors des murs d'la ville. A c'que m'ont dit tes collègues, ils ont beau tuer des bestioles sauvages il en arrive toujours, parfois même jusqu'aux portes d'Oriandre.
*** elle termine sa pinte ***
Tien j'voulais te demander : t'a déjà été dans d'autres villes, j'veux dire autre que Farnya et Oriandre. Moi j'suis jamais sortie d'la Fraternité, mais j'suis curieuse de savoir à quoi ça ressemble.
*** S'allumant l'une de ses fameuses Klop' à l'aide d'un vieux briquet, elle tire dessus avant de souffler un nuage de brume ***
Hum... une dernière alors, après j'retourne travailler. J'aurai bientôt terminé l'amélioration de ton matos.
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Le Vayang 20 Fambir 1509 à 15h05
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**Pendant que Kal' allumait sa "klop' ",le lieutenant l'imitat mais avec sa bonne vielle pipe, un peu de tabac, une flamme...c'était le meilleur moyen de se détendre.**
C'est sur, ya du boulot dehors...et ca fait un moment que je suis en ville,si je traine trop, je vais me faire engueuler!
**Après un moment, le soldat repris**
Oh non, je ne suis jamais partit de la fraternité, du moins pas que je sache...j'ai vu farnya, j'ai vu Oriandre mais j'aimerais découvrir un peut le reste du monde...parait que plus au Nord, on produit un exellent vin! Mais hélas, mon boulot m'empèche de partir, j'ai préter serment de toujours défendre nos terres et tant que je serait noiraud, je devrais obéir aux ordres... mais peut etre un jour...
...Si une expédition s'organise je te préviendrais peut etre que tu pouras nous accompager!
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Le Dhiwara 22 Fambir 1509 à 20h52
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| *** Quelques heures plus tard, Kal' redescendait les marches menant à la salle commune, un arc à la main, et une tunique cloutée soigneusement pliée sur son avant-bras.
Son sourire malicieux trahissait toute la fierté quelle avait mit dans son travail.
***
Hey mec ! Ça y est, tout est prèt !
*** Déposant l'arc sur le comptoir, au grand désarroi de la patronne qui venait de le nettoyer. ***
C'est une belle arme hein, et maint'nant quand tu tirera une flèche avec ça, ça f'ra pas du bien au destinataire.
*** Puis, juxtaposant la tunique sur le torse du lieutenant, comme pour en vérifier la taille et la finition ***
Et ça, ça t'ira comme un gant, enfin comme une tunique qui aurait le confort d'un gant...
... bref, j'ai rajouté quelques plaques de métal, rien de très lourd, tu devrais pas tellement les sentir, mais ça s'ra toujours un plus contre les crocs, les têtes de flèches ou je n'sais trop quoi d'autre.
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