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Le Matal 10 Fambir 1509 à 23h48
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 | Ahh l'ivresse, extase ultime des sensäts, chercheurs de la satiété sensorielle. Fradagok, arriva dans l'auberge de l'améthyste puis pris son escarcelle pour voir combien de girasol il y restait après qu'il eut dépensé tout son maigre pecul dans l'achat de sort d'entropie.Ce qu'il vis le fit se lamenter
Ô Désespoir, je suis sans le sous incapable de m'adonner aux plaisirs de l'ambroisie avec autre chose que le cul de bouteille des plus grands cru tournés à l'aigre...Quelle décadence.
*** Il se dirigea cela dit vers le comptoir et tint à peu prés ce langage au tavernier qui ne pipa mot ***
Enchanté gardien du liquide venté par tant de Haut pratiquant de l'anarkan. de la vinasse la plus imbuvable à la meilleur des liqueur...vous en êtes le détenteur.
*** Pour toute réponse le tavernier haussa un sourcil, approcha son nez prudemment, s'attendant à dejà être assomé par une odeur d'alcool ***
"snif snif"
Pas d'odeur. Bizarre.
"snif snif"
*** Haussant les épaules il dit, devinant confusément qu ce Tchaë était un client ***
J'vous sert quoi?
*** Ce a quoi Fradagok répondit sur un ton des plus désolé ***
ce que vous avez de moins cher...je crains que ma bourse ne supporte trop d'effort aujourd'hui...
*** Réfléchissant une seconde avant de répondre, le Tavernier finis par se dire "oh voilà une occasion en or de se débarrasser de Cette bouteille..." ***
T'nez, vous m'avez l'air sympathique, voilà une bouteille complète d'une cuvée spéciale, c'est du ...euh...Vin Aigre de S'sarkh 1500, une très bonne cuvée...Si l'on excepte la peste de la vigne qui a pourris tout le raisin bien sûr...
*** Visiblement enchanté, il regarda l'aubergiste d'un regard étrange et dérangeant avant de dire, tout en s'installant sur une chaise proche ***
Une cuvée tournée pour un prix détournée...goutons au pire...le meilleur n'en sera que mieux.
*** Le Tchaë déboucha la bouteille d'ou il se dégagea une forte odeur rance qui cependant ne sembla nullement gêner son futur(?) consommateur qui en bu une gorgée... ***
dit : Nous interrompons ce programme pour signaler que l'effet de l'alcool sur un Tchaë de sa sorte (quelqu'elle soit) est inconnu jusqu'à présent.
Je ferais mieux d'aller me cacher moi...
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Le Sukra 14 Fambir 1509 à 16h17
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| *** Slida et Zina entrèrent dans la taverne.
Voilà plusieurs jours qu'ils faisaient la tourné des tavernes, patientant en attendant le jour où Jeaneudon sera prêt pour les amener à Farnya pour y rejoindre une Mestre des Arts, Solereï.
Les siamois prenaient une auberge au hasard et s'y installer pour la journée. Utilisant leur maigres possession avec parcimonie, ils s'entrainèrent dans les arts qui allaient faire d'eux leurs réputation.
Slida était en pleine écriture d'une pièce de théâtre. Il noircissait parchemin sur parchemin et Zina peinait à lui faire quitter des yeux la surface de son œuvre. Elle avait beau se retenir, elle ne pouvait qu'admirer la beauté de son travail et la dévotion qu'il donnait.
Pour sa part, Zina notait des chansons et apprenaient à jouer du violon. Chose assez difficile quand l'autre main s'agite à écrire.
D'un commun accord, les siamois avaient partagé le temps en séance de dix minutes où, chacun leur tour, ils utiliseraient leurs deux mains dans l'un ou l'autre de leur travail.
Ainsi, leur travail progressait lentement, mais surement.
Entrant dans l'auberge de l'améthyste, les siamois trouvèrent une table près du comptoir et d'un autre table ou buvait un tchaë assez étrange.
Les siamois s'installèrent à cette table, sortant violon et parchemin.
Zina annonça la couleur. ***
Tavernier ! une bière pour nous autre !
Et toi Slida, je te laisse commencer en premier.
*** Slida commença à écrire. Zina observa le tchaë à coté et l'interpella. ***
Et vous ! Vous avez l'air un peu malade, sa va pas ?
En Italique => Slida. Rien du tout => Zina
Loi de Murphy : Si un système vivant ou non peut déconner, il le fera.... | |
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Le Dhiwara 15 Fambir 1509 à 02h00
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| *** C'est sur un air affreusement (et douteusement diraient ceux qui le connaissent ) que Fradagok émergea de ses pensée avinée pour répondre sans les fioritures habituelles après avoir regardé attentivement le tchaë ***
Mes aïeux....je vois double...décidément le vin ne me réussit pas finalement. Adieu les décorations du langage et bonjour la normalité...atterrant...
*** L'air quelque peu déprimé il continua ***
Mes perceptions me jouent des tours...donc ça ne va pas du tout effectivement...Oh excusez moi, j'oublie la plus élémentaire des politesse, à qui ai-je l'honneur?
dit :Aïe Aïe Aïe...il se met à se comporter normalement...sauve qui peut...
*** Le mou de Fradagok partit se réfugier derrière un pieds de table, peu certain de la suite des évènements... ***
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Le Dhiwara 15 Fambir 1509 à 16h02
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| *** Fradagok ecarquilla les yeux, se les frotta, puis répondit confortant les propos du Tchaë (de quelle partie il n'aurait sut le dire ***
Oui, l'alcool me donne l'impression d'être sain d'esprit. Affreusement troublant. Enfin bref...siamois..donc je ne voyais pas double mais simple...simple double si j'ai bien compris...
dit :Amal pensa quand a lui, vérifiant tout les angles : bon pas d'explosion, pas de chose étrange à plus de quatre bras ni d'autre à deux tête...Ah...euh si mais normale...bon retournons à nos positions.
*** Amal retourna se jucher sur l'épaule de son symbiote pour avoir un meilleur aperçu de la situation. ***
*** Réfléchissant quelques instant ses yeux tombèrent sur les écrits sur la table des siamois ***
J'expérimente les effets de l'alcool...par anticipation. Voyez vous mes collègues de la magie funeste se sont mis en tête de me faire boire. Un Tchaë avertit en vaux deux...ou quatre selon les cas. Et je suis sensé les attendre ici...et vous que faites vous ici? Vous êtes écrivains? | |
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Le Dhiwara 15 Fambir 1509 à 16h16
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| *** Zina observa avec amusement le mou du Tchaë faire le pitre. Le leur était confortablement installer dans une poche de leur tuniques, dormant ; sans savoir si les mous pouvaient dormir. ***
Silda essaye lui aussi de boire pour faire croire qu'il sait boire. Un truc de Tchaë à mon avis.
*** Slida souffla pour la forme mais admit d'un sourire qu'elle avait raison.
***
Vous êtes donc magicien ? On est pas très habitué à tout ce qui est magique. On a vécu loin de ces sphères là. On était plus dans la basse ville et notre ... Père était forgeron.
*** A la question de Fradagok, Zina jeta un coup d'œil à son frère qui continuait à écrire. ***
Hum ... Pas exactement.
Nous apprenons à pratiquer les arts. Nous allons bientôt rejoindre Sœur Solereï à Farnya, qui Mestre Compositeur et rare musicienne de notre fraternité.
On peut nous considérer comme des apprentis bardes si on veut. Mon frère travaille actuellement sur une pièce de théâtre mais il préfère la garder secret.
En Italique => Slida. Rien du tout => Zina
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Le Dhiwara 15 Fambir 1509 à 22h28
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| *** Visiblement intéressé par les mots bardes et pièce de théâtre Fradagok répondit sur un ton guilleret ***
La magie...L'anarkan, rien de tel pour casser la fabrique de la réalité.
En bas en haut et en haut en bas. Intérieur à l'extérieur et extérieur à l'intérieur.
*** Fronçant les sourcils comme troublé il termina sa réflexion sur une interrogation lancée plus à lui même qu'a ceux qui l'écoutaient ***
Les vivants supportent mal tout ça je me demande pourquoi...
*** Il écarta ses interrogations d'un revers de main, qui fit tomber sa choppe par terre sans que le concerné en soit émut outre mesure avant de continuer ***
Quelle bonne surprise! Bardes! Mages des mots, qui tel des esthète ajustent les lettres pour rechercher le beaux.
Certains les utilisent pour dire la vérité
D'autre le font pour la masquer.
La fin importe peu seul compte le moyen
Puisque tout deux ne font qu'un
dit :Sur un ton d'avertissement Amal lacha
Aïe Aië Aië...son niveau d'alcoolémie redescend...il recommence à parler normalement...enfin façon de parler
*** On pouvait observer des changements dans l'attitude de Fradagok: du Tchaë affreusement sérieux aux manières ternes et aux gestes cadré celui ci passait à l'être étrange et volubile qui semblait avoir un regard sur un autre monde et une logique bien à lui. ***
Et quelle est donc cette pièce que la partie mâle de ton être androgyne est en train de tisser avec les fils de son esprit? Quel est son sujet? Une aura de bonheur m'envahirais certainement si je pouvais donner une touche de ci de là ou du moins échanger dans des ébats de créations artistique pour que nous allions ensuite ensemble la présenter à la grand mestre poète dont la voix s'est éteinte faute de texte pour l'alimenter
*** Le Tchaë se tut, sa tête légèrement oblique, pensif *** | |
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Le Luang 16 Fambir 1509 à 12h42
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| *** Considérant la requête des plus étrange, et n'y prétant que peu attention Fradagok dit ***
Seul les sots s'attardent sur la forme sans regarder le fond quand celui ci est le plus important.
*** Haussant les épaules, il dit, autant pour les siamois que pour Cresius ***
Enfin on y peut rien quand l'un est noir de coeur autant que de cape.
*** Interrogateur et visiblement curieux il continua ***
Bien qu'en votre sombre humeur il y ait quelque chose qui m'échappe...l'abscence du Grave Tchaë en serait elle pour quelque chose? | |
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Le Matal 17 Fambir 1509 à 22h54
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*** A ces mots, Slida prit violemment la parole. ***
C'est secret ! Il n'y a que moi et ma soeur qui ont le droit de la lire !
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Il se rassit en continuant à fusiller le tchaë du regard. Zina semblait amusé. ***
Il est un peu jaloux. C'est pour sa. Et elle est pas encore au point
*** A Crésius, elle ne perdit pas son sourire. ***
Le pauvre. Il a l'air vraiment d'aimé sa. Il ne faut pas blamer un talent pareil !
*** Elle s'intérrogea sur les mots de Fradagok qui était assez étrange. ***
En Italique => Slida. Rien du tout => Zina
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Le Merakih 18 Fambir 1509 à 19h45
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| *** Zina voulut répondre à Crésuis mais Fradagok lui en empêcha. Elle finit par hocher de la tête. ***
On peut dire sa comme sa. C'est la vie qui nous a fait ainsi. Peut être que c'est le destin ou une autre bêtise du même genre. Pas la peine de s'apitoyer sur notre sort, il faut vivre comme on est.
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Slida s'arrêta un instant, jugeant la phrase joli, la nota dans un coin, et continua son écriture. ***
*** Zina dut lui donner un coup de coude pour qu'il réponde. ***
Que quoi ? Ah ! Ba ... quand elle sera fini et sa, je sais pas quand. Et puis, il faut que Sœur Solereï dise ce qu'elle en pense. Je suis encore amateur. Quand on commencera le recrutement, on te fera signe.
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Puis à sa sœur. ***
Tu peux contacter Jeaneudon ? Il avait prévenu qu'il fallait le contacter aujourd'hui pour le départ.
*** Zina approuva et entra en télépathie. ***
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Le Julung 19 Fambir 1509 à 17h23
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| *** Zina ouvrit les yeux après un temps. Elle fermait toujours les yeux pour la télépathie, c'était instinctif.
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Jeaneudon nous attends mais il y a quelque chose qui le dérange.
*** Slida s'arrêta puis rangea ces affaires. ***
Quand faut y aller, faut y aller.
*** Zina salua les deux tchaês. ***
Nous allons bientôt le savoir alors. Nous allons à Farnya et on dit la route dangereuse. Il semblerait que Jeaneudon, celui qui nous accompagne, attendez plusieurs de ces amis pour l'aider, mais personne n'est encore venu ...
Nous devons y aller. Je vous salue !
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Zina agita la main et Slida ajouta. ***
A la prochaine Fradagok ! On verra pour ma pièce !
*** Les siamois sortirent. ***
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