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Le Luang 6 Otalir 1508 à 21h02
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 | *** Adwëis se dirigea d'un pas vif vers la réception du bâtiment administratif. Elle avait enfin reçu l'autorisation de fouillé les registre familiaux de la cité d'Oriande.Ses recherche sur ce sieur Flymeur énigmatique allait enfin pouvoir commencer. ***
Bonjour, je suis venue hier pour déposer une demande d'audience afin de consulter les registres familliaux de la cité dans le but de retrouver un parent. J'ai reçu dans la journé l'autaurisation du maire de ville de mener mes recherche dans les registres.
*** La réceptionniste la dévisagea quelques instants, ce qui tendu imperceptiblement Adwëis. Était anormal qu'une jeune Tchaë recherche un "parent éloigné qu'elle n'avait pas vu depuis plus d'une décennie " ? ***
Très bien mon enfant, suis moi. je vais te conduire jusqu'à la salle des registres.
*** Ainsi Adwëis suivie la receptioniste à travers les froids couloirs vides de l'imposant édifice. Seules les pas des deux Tchaë martelant le dallage de marbre troubler le silence régnant dans ces couloirs donnant sur les salles remplies de l'histoire de la cité Noire. Elle aperçu furtivement dans une salle un vieil archiviste complétant elle ne savait quel document, sa plume grattant le papier usé surement centenaire. ***
Entre, c'est dans cette pièce.
***
Adwëis entra dans la salle qui devait faire la moitié de la superficie du hall, ce qui n'était pas rien. La lumière diffusait par les vitraux, à trois mettre du sol collé au plafond de pierre, éclairé les allés de bibliothèques dans lesquels se tenait les registres familiaux de la cité. Certains registres semblait ne jamais avoir bougé de leur places, la poussière recouvrant leur reliures de cuire couvrant presque totalement les inscriptions le concernant. ***
Ce que tu cherche dans ce trouvez sur cette rangé de livre. Je ne peux pas t'être plus précise, désolé. Préviens moi que tu sortiras.
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Sur ces paroles, la réceptionniste laissa une Adwëis médusé devant les tomes composant la rangé. ***
*** Après un léger soupir, elle pris son courage à deux mains et commencer à faire parcourir ses yeux sur les pages du premier. *** | |
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Le Vayang 10 Otalir 1508 à 00h35
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Après un nombre incalculable d'heures, de répétés sentiments de découragement face à l'ampleur de la tache qu'elle s'est elle-même confiée, la jeune tchaë tombe, enfin, sur quelque chose d'intéressant : dans les registres de naissance, en parcourant celui de l'année 1421 -après s'être usée les yeux sur ceux des années précédentes- elle trouve le nom de Flymeur, à la date du 04 Astawir.
Né de Klerman, forgeron syndiqué, et Aliazée, sans profession déclarée -autrement dit une femme au foyer.
Le registre ne leur mentionne aucun autre enfant antérieur, et indique seulement une adresse dans le quartier Est d'Oriandre.
La profession de Klerman l'aiguillant, la jeune tchaë finit par recueillir de nouvelles informations, quelques heures plus tard, dans les archives de la bulle rouge : manifestement, Flymeur a repris la forge de son père et son appartenance au Syndicat de la Forge, en 1448.
Les archives municipales n'ayant bien évidemment rien d'un recueil de biographies, Adwëis ne trouve pas grand chose de plus concernant l'objet de sa recherche, si ce n'est la mention d'états de services réguliers au sein de l'armée, comme le veut la coutume, sans qu'aucun commentaire. Flymeur n'a manifestement jamais fait de vagues.
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Le Dhiwara 19 Otalir 1508 à 13h47
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| Bonjour, je souhaitai avoir des renseignement sur un ancien élève, un très ancien élève...il a étudié chez vous il y a bien 60 ans. Serait il possible de rencontré le directeur de cette établissement afin de savoir si vous avez des informations à son sujet ?
Il se nomme Flymeur.
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L'enseignante fronça les sourcils avec de répondre aimablement : ***
Je crains fort que vous ne puissiez consulté son dossier scolaire si c'est ce que vous souhaitez. Ils sont tous rendus aux familles une fois que leurs protiaitaire à quitté cette établissement...
Quand à rencontré le professeur chargé de cet elève, je doute fort qu'il soit encore en contact avec cette école mais si vous le souhaitez, vous pouvez toujours en parlé avec l'actuel directeur. Peu etre pourra t il vous aidez.
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Alors que Adwëis allait suivre l'institutrice, une boule bleue lui sauta aux visage. Apres un cours moment les yeux dans le lointain, Adwëis s'adressa à l'enseignante : ***
Je suis désolé, mais je dois partir pour Farnya dans les heures qui viennent, mon oncle a parait il fait des siennes, en laissant une grande piste pour le retrouvé.Désolé encore une fois de ce soudain revirement de situation. Je reviendrais vous voir dès que je le pourrais, si cela ne vous ennui pas.
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Apres une courte inclinaison en guise de salutation, la jeune Tchaë se précipita vers la porte Ouest d'Oriande. *** | |
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