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Le Sukra 14 Nohanur 1509 à 18h54
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Sur le chemin, le Cumulos n'avait pas soufflé mot. C'est lorsqu'ils passèrent sur une passerelle, en jetant un œil au dessus de lui et en apercevant les autres plateformes qu'il se mit à réfléchir sur quelque chose de tout à fait abstrait. Si l'on pouvait dire de totalement inutile et faible d'importance. Même si cette petite pensée qu'il éprouva n'était qu'une minuscule particule élémentaire de sa poussière salement infime dans le grand cosmos de l'univers profond et sans fin, il jugea bon d'en faire part à son compagnon de route. Le doigt sur les lèvres, il tapota à plusieurs reprises comme si il cherchait à faire sortir un mot. Lorsqu'il trouva, ses yeux s'écarquillèrent.
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Oui ! Oui ! Écoutez un peu voire. Oui, donc, nous avons les nemens. jusque là, me suivez vous... Bon, ce n'est pas compliqué... Enfin bon. Hi ! Hi ! De l'autre côté, il y a nous. Et on ne prendra pas en compte les créatures du S'Sarkh. Oui. Donc. Regardez les Nemens. Ils ont vécu sur cette terre depuis des... Pfiouuu ! Longtemps ! Et donc ! Donc ! Cela veut dire que si ils sont là aujourd'hui, c'est qu'il y a eut un changement. Oh je ne vous parle pas du changement historique ! je vous parle du changement dans la mentalité de construction.
Enfin c'est vrai quoi ! Citez moi une seule cité en dehors d'Ulmendya bâtie dans une grotte gigantesque ! Gigantesque ! Gi-gan-tè-queuh ! Et nous. Nous; Vous et mois... Et les poussiéreux ! Oui, les poussiéreux sont maintenant dans les cités, oui, ils vivent à la surface, oui... Oui ? Et donc si les ancêtres vivent sous terre, et que les poussiéreux vivent à la surface. Cela veut dire quoi ? Quoi ? L'ami ? Eh bien écoutez ! Je vais vous le dire ! (Mais laisse le chercher un peu avant de lui donner la réponse !)
Cela veut dire que lorsque l'on va vers le haut, ou si vous préférez, lorsque l'on construit en s'aidant du sol comme base, l'on est inférieur ! Et si l'on construit sous la terre, l'on est supérieur ! Les faibles, en haut, et les forts, au dessus ! Ha ! Ha ! Ha ! N'est ce point là un paradoxe indéniable ? Hein ? Non ? Ne trouvez vous pas ? Enfin je veux dire par là, si on applique cette règle dans, par exemple... allez... La chaîne alimentaire ! Et bien tout serait déréglé. Comme Syfaria ! Syfaria est déréglée car les faibles sont en haut et les forts en bas. Non ? Ne trouvez vous pas mon raisonnement fascinant ! Oh ? Hein ? Vous m'écoutez ?
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Ils arrivèrent devant un arbre qui s'élevait dans la grotte comme un chef d'œuvre délaissé par le temps. La vie semblait l'avoir quitté depuis des millénaires, et pourtant, cet arbre avait l'écorce dure et tenait debout. En fait, plus il regardait l'arbre, plus il lui trouvait un air vivant. Et ça... ces choses là, c'était des feuilles ? Il n'était déjà pas de nature botaniste, mais alors là, cet arbre le rendait vraiment répulsif envers cette science qu'il trouvait... Dérisoire. Un regard vers son confrère Linoë. Il y avait dans ce regard autant de fascination que de complicité. Le voilà qu'il repartait en enfance, l'envie lui passa de grimper dessus, mais il se retint. Il se contenta simplement de pousser un rire niais et primitif.
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Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout. | |
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Le Julung 19 Nohanur 1509 à 16h53
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Le chercheur avait toujours un regard fermé suite à l'altercation avec ses semblables. Mais petit petit c'est une expression de réflexion qui prit place sur son visage accompagné d'un petit sourire en écoutant l'idée de son confrères.
Tout en marchant il lui répondit d'un voix plus détendu.
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Oui voilà une idée très intéressante, qui montre bien le déséquilibre et le paradoxe qui règne sur Syfaria.
Toutefois j'ai rencontrés un jour un enfant qui avait une vision différente pour expliquer ces faits. Vision que certains trouveront simpliste mais personnellement j'ai toujours adoré le regard des enfants sur notre monde. Il faut savoir ramener ce qui nous entoure à la plus simple apparences pour comprendre la complexité de l'ensemble.
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Il adressa un sourire malicieux à Takeon Cumulos.
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Pour lui les Nemens, c'étaient élevés lorsqu'ils avaient construit les cités où nous vivons mais qu'Ulmendya n'était que le fait de leur régression. Ils sont passé sous terre comme pour mieux montrer que leur place n'était plus sur Syfaria.
Alors vous me direz, et beaucoup le lui ont dit, qu'il n'y avait nul régression. Linoë ouvrit les bars pour montrer tout ce qui les entouraient.
En voici la preuve regardez l'avancée de leur pensée et de leur technologies. N'est elles pas à l'opposée de notre fragilité de poussièreux.
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Il laissa un petit temps mort.
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Et vous savez ce qu'il répondait à cela ce fameux enfants.
Une civilisation meurt quand plus aucun livre ou plus aucun représentant n'est là pour en parler ou pratiquer ses coutume. Montrez moi un Symbiosé qui n'est pas revenue de la mort après avoir rencontré une aberrations et alors oui je voudrais bien reconnaître la fragilité des poussièreux.
*** La voie de Linoë se fit plus mélancolique. ***
J'adorais cette enfant
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Sur ces paroles les deux confrères arrivèrent à l'arbre.
Le chercheur en fit le tour posant la main sur l'écorce, observant cette curieuse plante. Il jeta un regard sur la plate forme où il se trouvait. En même temps il s'adressa à son confrère.
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Vous connaissez cette plante ?
Ce qui m'interpelle le plus c'est le fait de la voire pousser au milieu d'eau chaude ?
Soit elle en a besoin et alors c'est un cas unique à ma connaissances sur Syfaria, soit il y a un système assez complexe d'irrigations pour lui apporter de l'eau plus saines pour elle.
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Linoë mit un genoux à terre posa la main au sol, prés des racines il cherchait à sentir la température du sol au niveaux du pied de l'arbre.
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Le Julung 19 Nohanur 1509 à 20h54
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Le Cumulos n'avait prêter attention à la petite histoire de son confrère Linoë que d'une oreille assez distraite. Lorsque Linoë s'intéressa plus à l'arbre, Takeon fit le tour et se mit à la recherche d'autres indices de l'autre côté. Quels genre d'indices ? Il n'en savait rien, mais mieux valait se départager les choses, ou encore faire semblant de faire quelque chose. C'était déjà assez frustrant d'être derrière un chercheur, il n'allait pas non plu acquiescer aux moindres remarques de Linoë sans ne rien comprendre à son vocabulaire de botaniste.
Un sourire sournois se déroba de son visage lorsque son ami se brûla au contact de l'écorce. Et pour cacher cette grimace mortifiante, il fit mine de regarder en l'air. Ainsi, de cet angle de vu, Linoë en bas et Cumulos en haut, avec un arbre entre les deux, cela ne paraîtrait pas être un sourire, mais une mou dubitative due à l'étirement de ses muscles faciaux. Lorsque sa gaminerie cessa, il baissa la tête et, le sourire mordant à petit feux ses joues, il décida de jaspiner un peu sur quelque chose de complètement insolite et enfantin.
Cet arbre n'est peut être pas un être vivant.
Peut être qu'un levier se cache dans les branchages !
Hi ! Hi !
Aussitôt, il se mit en quête de secouer quelques branches de ci de là, en prenant soin de ne pas les toucher avec ses mains, mais avec ses manches. Au bout de quatre essais, les brûlures étaient telles que son manteau se mit à évacuer une douce évaporation, nuage soyeux aux airs d'opium, nuage dangereux au goût de la braise. Quant à ses mains, elles lui provoquaient d'insupportables remontées de chaleur intense, il cacha sa douleur en se retournant, déclarant, les lèvres crispés :
Hmm... Mmmh !
Je vois que je suis parti sur une fausse pissste...
Mmmh... Mmmh... !
La mascarade terminée, il se pencha sur les bestioles d'un air intéressé.
Oh ! les jolies petites bêtes. Pensez vous qu'elles se mangent ?
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Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout. | |
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Le Vayang 20 Nohanur 1509 à 19h04
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Linoë se mordit les lèvres pour réprimer un juron quand sa main se retira de l'arbre. Il adressant toutefois un regard noir à son confrères qui était visiblement amuser par cette petit mésaventure.
il secoua sa main pour calmer la douleur. La blessure était superficiel, mais c'était un bon rappelle à l'ordre.
Le chercheur observa quelques seconde l'animal, puis tourna la tête vers les Nemens qui se promenait sur la plate forme.
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Le sol est chaud, Il est aussi très dure. A mon avis il nous serait impossible de creuser.
Enfin même si nous avions un moyen efficaces de nous protéger des brûlures.
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Tout en parlant son regard allait des installations hydrauliques de la plate forme, aux fontaines, puis à l'arbre, et enfin à l'oiseau. Comme si il cherchait un lien entre tous ça.
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Aucun Nemen, ne semble vouloir se poser des questions sur nos agissements autour de cette arbre.
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Linoë sortit un morceau de pain de son sac et l'écrasa entre ses mains. Il déposa les miettes entre les racines. Pas trop loin du Khouli-Khouli, mais suffisamment pour que ce dernier ne puisse lui donner un coup de bec. L'expérience de l'arbre lui avait servit de leçon.
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Tiens c'est pour toi, ne t'inquiète pas on veut pas te manger.
*** Il se tourna vers son confrères. ***
Bon vous avez une autre idée pour explorer les niveaux inférieures ?
Non que l'étude de cette plante et de ce volatiles ne me ......
*** Il s'arrêta brusquement et observa à nouveaux le Khouli- khouli.
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Comment est tu arrivée ici toi ?
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Il parlait à haute voix comme si il espérait une réponse de l'animal, mais c'était plus un réflexe quand son esprit cherchait des réponses a son propre questionnement.
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Tu ne semble pas en mesure de voler, et je n'ais pas vue d'autres annimaux se promener dans la cité ?
Où sont tes parents ?
*** Il s'adressa à nouveaux à Takeon Cumulos ***
C'est par les aires que nous pourrions nous promener à notre guise ?
Ils nous faudrait un moyen de voler comme on le souhaite et ainsi toutes la cités nous serait accessible | |
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Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 15h55
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Sans attendre la réponse de son confrères, Linoë énuméra à haute voix les possibilités évidentes qui s'offraient à eux.
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Bon si on veut utiliser les aires, ils nous faudrait emprunter un de leur Gondolfières. Enfin quand je dis emprunter, je suis pas persuadé que les Nemens aurait la même vision des choses.
Ça ferait un sacré incident diplomatique. Je suis pas persuadé que nos confrères serait très clément à notre égards.
De plus je pense qu'aucun de nous deux sait comment manœuvrer de tels engins, non ?
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Il adressa un petit regard interrogatif à son compagnon. Dans l'espoir de l'entendre affirmer que si il avait de tel connaissances.
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On peut envisager de descendre à l'aide d'une corde depuis cette passerelle, mais comme on connait pas à qu'elle hauteur est le niveau inférieur on pourrait avoir quelque surprise, et je pense pas que cette fois les Nemens resteraient imperturbable.
Il y a le lac que vous avez dessiner sur la carte. On pourrait suivre le courant, il descend forcément mais de nouveau il y a une sacré chute....elle nous serait certainement fatal.
Il nous faut faire ça le plus discrètement possible. Contrairement à ce que beaucoup pense je n'ai nul envie de créer un incident diplomatique entre notre faction ou les poussièreux en général et les Nemens. Surtout si cela ne nous fais rien gagner.....
On peut tenter de discuter ou de charmer les gardes du portail que nous avons vu prés du centre de juridiction. Mais je pense qu'il serait plus facile d'embrasser un Furyan...
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Le chercheur du suaire émit un petit rire puis il tourna son regards vers le puits central.
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Que peut il bien se passer en dessous. Tous les Nemens ne vivent pas sur ces trois niveaux, cela me paraît un peu petit pour une tel population.
Ils doivent bien avoir des besoins qu'ils ne trouvent pas dans les niveaux inférieurs. Ils doivent forcément utilisée certaine Gondolfières pour transporter des marchandises.
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Le Tydale se rapprocha du bords de la plate forme pour mieux observer les navires volant, cherchant du regard si certains transportaient autres choses que des passagers.
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Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 17h03
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| Le Cumulos n'avait pas beaucoup parlé durant la longue réflexion de son confrère. Non, en fait il n'avait pas parlé du tout. Il n'avait fait que réfléchir à une façon de procéder. Lorsque son confrère énuméra la liste des choses à faire, il classa dans son esprit l'ordre de danger que tout cela représentait. Il y avait les actions suicidaires, les actions qui ne serviraient à rien, et les actions qui entraîneraient des incidents diplomatiques. Il leur faudrait donc user de mensonges et de tromperie pour pouvoir passer outre cette forme de duperie concrète et glisser dans un simulacre inoffensif.
Il s'avéra que le seul moyen de rejoindre les niveaux inférieurs était de, justement, les rejoindre physiquement. le portail qui faisait disparaître les Nemen dans les eaux troubles des textures mystiques était si bien gardé que la force ou la diplomatie étaient des considérations à mettre au feu. Physiquement, comment ? La cascade ? La corde ? Et pourquoi ne pas se mettre sur le dos d’un Filanfor et se laisser guider par la créature tant qu’ils y étaient ? Non, non, et non, le seul moyen était de commencer par une chose tout à fait anodine. Une demande innocente qui n'aurait certainement aucune répercussion sur les jugement des Nemens.
Je pense que votre idée d'emprunter une gondolfière est la plus envisageable pour le moment. En effet, cela est tout à fait anodin et les Nemens ne se douteront de rien. Si par la suite cela n'aboutit pas, et bien nous tenterons quelque chose de plus... épique. Je vous propose de nous rendre immédiatement à la plateforme des... Euhm... Des gondolfières. Et pendant que l'un de nous ira discuter avec un Nemen pour savoir comment fonctionnent les engins, l'autre ira demander la location de l'un de ces appareils volants.
Vous êtes chercheur, m'est avis que vous iriez bien dans la première tâche. Quant à moi, je suis ici pour visiter et en apprendre plus sur la ville. J'ai déjà quelques cahiers qui présentent en détail quelques niveaux de la cité. je pourrais dire à un Nemen que je recherche un appareil volant, pas trop imposant, pouvant supporter deux personnes - là je lui ferrais croire qu'il s'agirait de moi et de mon paquetage - et ce dans le but d'explorer de haut la cité, afin d'établir des croquis et dessins un peu plus élaborés.
Êtes vous avec moi ?
Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout. | |
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Le Matal 24 Nohanur 1509 à 21h35
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Linoë écouta son confrère tout en observant les Gondolfières., mais il n'en repéra aucune servant aux transports des marchandises.
Il jeta un dernier coup d'oeil vers le fond du puits central puis se tourna vers le Tydale un petit sourire au lèvres.
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Vous ne voulez pas essayer la cascade ou la corde ......
*** Son ton était ironique mais sans aucune méchanceté. ***
Je vous suit, utilisez un de leur engin volant est sans aucun doute la solution la plus évidente.......peut être même trop.
*** Il suivie le bailli en direction du hangar, tout en marchand il lui posa une autre question.
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Il faudra qu'ils nous laisse emprunter un de leur engins sans eux......dans l'hypothése ou cela ne les dérange pas, vous savez les piloter ?
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Le Julung 26 Nohanur 1509 à 22h03
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Les deux confrères étaient remontés jusqu'aux premier niveau là où se trouvait la plate forme des conques.
Un joyeux balais de Gondolfières s'offrit à eux. Certaines arrivaient d'autres repartaient. Il y avait rassembler sur cette gigantesque plate forme tous les modèles que les Nemens savait faire. Ceux pour la guerre, ceux pour voyager sur l'île et ceux pour la cité.
Il y avait le choix....mais il y avait aussi un grand choix de garde Nemen.
Le chercheur du suaire, se gratta la tête quelque secondes, en observant l'agitation qui régnait dans ce lieux.
Par où commencer pensa t il.
Avec un petit ton ironique il s'adressa à son confrères .
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Vous avez une préférences, sur le modèle...la couleur, la forme des sièges..?
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Un engin servant à relier les plates forme entre elles vient se poser non loin d'eux. Le pilote en descendit, échangea quelques mots avec un Nemen qui fit le tour du vaisseau. Le pilote remonta dans une autre Gondolfières laissant son compatriotes s'occuper du premier vaisseau. Il devait sans doute s'agir d'un mécanicien.
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Je vous laisse vous renseigner si jamais il peuvent nous laisser un de leur engin, pendant que je vais demander un peu plus d'information sur leur mode de fonctionnement.
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Il désigna d'un signe du menton le mécanicien qui s'occupait du vaisseau.
Linoë s'approcha du vaisseau prenant une attitude d'admiration dans son regard, ce qu'il n'eut aucun mal à faire. Très vite sa curiosité scientifique prenait le dessus.
Il posa une main sur la coque comme pour mieux sentir la nature du bois utilisé. Il la laissa glisser le long de la coque, scrutant le finition de l'ouvrage. Son regard suivie ainsi les lignes du bateaux et fini par se poser sur le Nemen qui travaillait dessus .
Il retira immédiatement sa main comme un enfant pris en faute, et une expression confuse s'afficha sur son visage. ***
Pardon je vous avais pas vue.....
*** il se tut quelque seconde ***
Je ne voulais pas l'abimer n'ayez crainte...je suis juste admiratif de ces Gondolfières.
*** Le Tydale marqua un temps d'arrêt, un bref instant il se demanda si son interlocuteur maitrisait le Rabäan. ***
Je suis navré je ne parle pas votre langue....Me comprenez vous ? | |
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Le Sukra 28 Nohanur 1509 à 21h32
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Douche froide.....
Linoë se pinça la lèvre inférieur pour retenir un juron, mais il le pensa très fort. Comment avait il été aussi stupide.
Ce n'est pas parce que ce peuple a des millions d'années d'avance sur les poussièreux qu'ils parlaient tous forcément toutes les langues de Syfaria.
Première difficulté et de taille.
Il ne comprenait absolument pas ce que le mécanicien lui disait. Ses rudiments de Nemen appris durant son enfance à la ruche lui permit de reconnaître la langue mais pas de la comprendre.
De plus il n'avait jamais été très attentif durant les cours de langue et à part « je m'appelle Linoë » et « je parle pas Nemen » Il ne serait pas en mesure de dialoguer d'avantage. Et encore une erreur était possible....
Il afficha un air gêné pour faire comprendre au mécanicien qu'il n'avait absolument rien compris.
Le chercheur tenta une nouvelle langue.
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Excusez moi je ne comprend pas très bien le Nemen, comprenez vous le Tydale ?
*** Sans attendre de réaction il continua essayant de joindre les geste au paroles. ***
Je m'appelle Linoë il posa sa main sur son torse.
Vos Gondolfières sont des engins fascinant. Il posa sa main sur la coque une expression émerveiller sur le visage
Je souhaiterais essayer de comprendre un peu le fonctionnement Il désigna la trappe ouvert et souleva les épaules en signe d'ignorances.
*** Scylla lui envoya un message télépathique ***
Scylla dit :Et bien toi qui répugne à les voire comme des êtres supérieur permet moi de te dire que là celui qui passe pour un crétin c'est toi.
*** Le tydale préféra ignorer la réfléxion mental de son symbiote ne lui envoyant qu'une pique télépathique. *** | |
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Le Matal 1 Dasawar 1509 à 22h51
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Nouvelle échec.
Décidément la barrière de la langue allait être un obstacle infranchissable..ou du moins avec ce mécanicien.
Linoë recula observant le travail du Nemen avec un mélange de curiosité et de colère après lui même.
Son regard se tourna vers son confrère qui semblait avoir un peu plus de réussite que lui. Mais à quoi cela servirait si lui n'obtenait pas d'information sur le maniement ou le fonctionnement de ces Gondolfières.
Le chercheur se rapprocha à nouveaux du mécanicien.
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Connaissez vous quelqu'un qui parle ma langue ?
*** Il désigna d'autre Nemen qui semblaient avoir la même tenue que se dernier. ***
Quelqu'un qui puisse m'aider.
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Au ton qu'avait utilisé soninterlocuteur lors de ces dernières phrases, il y avait fort à parier que sa patience arrivait à bout. Mais il ne pouvait se permettre de s'arrêter à ce genre de considération.
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