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Le Matal 13 Julantir 1510 à 15h37
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| *** Le Nemen resta stoïque devant l'énervement de Minak Arkhor et répliqua sur un ton calme et légèrement moralisateur : ***
Vous énerver ne fera pas changer le fait que je ne peux rien pour vous à part, comme je vous l'ai déjà proposé, de rencontrer la Judicatrice pour lui exposer vos découvertes.
*** Puis sur un ton péremptoire et qui n'invite pas à la discussion : ***
Je n'ai pas d'autres solutions à vous proposer. Soit vous choisissez cette option, soit vous repartez sans faire de vagues.Je vous assure que vous n'apprécieriez pas une démonstration de force, Minak Arkhor, explorateur de la Confrérie des Six.
*** Le fonctionnaire se désintéressa du Nelda en concentrant son intention sur les papiers posés sur son guichet et griffonna quelques notes sur certains, en tamponna d'autres en silence, laissant le poussiéreux à ses réflexions. *** | |
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Le Matal 13 Julantir 1510 à 18h13
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Ha ce n'était pas tout en un ? Si on gâche le plaisir autant le faire bien. Mais non,
Mais non, tout faire mal, très mal. Voilà une devise fort indigne d'une Liadha.
Certe la danse était mal partie, mais de là à la tuer dans l'oeuf, très dommage.
Tout mettre dans le premier tiroir, mettre le doigt et du sel dans la plaie, joli !
Ce manque de perception est tragique, mais bien excusé par la folle jeunesse.
***
Inanna ne peut se retenir de marmonner son approbation, si loin du coeur.
Le visage frétillant, pas de joie, moue passable contrarié, il est discret.
Évidemment vu l'intérêt qu'on lui porte, cela ne lui demande pas d'effort.
***
Et vas-y que je te déballe tout mon fardeau. Plus vite c'est fini, mieux c'est ?
Au revoir les questions . . . bon séjour chez les nemens, et faites attention,
À la poussière. Comme ça on est certaines qu'elle les ignores, magnifique.
C'est La Judicatrice, une nemen et on lui facilite la tâche à nous esquiver.
Une lettre aurait fait l'affaire. Si c'était que ça. Juste une béante ouverture.
Pas de feinte, pas de rythme, pas de botte, pas de coup, rien, rient du tout.
***
Hum, je sais que ça remonte à loin, mais la construction des cités n'a pas du être simplement une accumulation de pierre taillée . . . les architectes actuelles, ou historiennes, pourraient-elles en savoir plus que vous sur leur construction ?
***
Il va de soit qu'elle sait pas tout, c'est une chef. Mais elle devrait savoir distribuer,
ou comment accéder, ou se faire obéir. Enfin, rien à perdre à essayer encore une fois,
Juste d'être persuader d'un inutilité et d'éprouver encore la patience des deux Dames.
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Rayon de bonheur. | |
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Le Matal 13 Julantir 1510 à 18h57
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| *** Petit pas en arrière en me grattant la tête en signe d'incompréhension, toute tension effacée, pour peu que j'ai déjà était énervé. Fallait croire que nous avions tous un mode de fonctionnement différent, et que le nemen en face de moi avait traduit ça par une volonté d'en arriver aux mains, Mouarf !
Pour sur, il avait pas l'habitude de discussions viriles et bien échauffées, mais pas grave, j'avais pas l'habitude d'être devant une vitrine d'indifférence, fallait dire qu'il campait bien le personnage. Lisse, responsable, bien élevé et tout et tout et tout ...
Pour finir il me terminait avec une petite pointe, histoire de bien me faire comprendre de pas trop me la ramener dans le coin.
Finalement je m'y étais pris comme une grosse truffe que je suis, j'avais ce don aussi ! être honnête avec moi même ! ***
*** Je haussais les épaules en soupirant en signe d'apaisement ***
Bon sans déconner, j'ai jamais eu l'intention de jouer à chamboule-tout ici, quoique ...bref ...
***
Je me grattais la tête en imaginant une suite hypothétique, mais y'a rien qui venait ...
Foutre en l'air son bureau et ses papiers, bof.. trop simple et puéril ...
Un coup de barbiche pour fendre son guichet en deux, non trop extrême ...
Partir la queue ente les jambes sans demander son reste, trop brillant ....
Lui donner une sardoine pour le remercier de sa patience, pas mal ...
Demander une simple audience avec la judicatrice, finalement ... ***
Bon ! avant tout je voulais te dire, t'es super bon dans ce que tu fais, bravo, vous foutez vraiment la crème de la crème au guichet pour accueillir les étrangers, patient, calme, professionnel ....
*** Puis en baissant un peu les yeux...
***
Mmmm.... tu peux me dégoter un petit rendez-vous avec la judicatrice dans pas trop longtemps, si je te promets d'être sage ?
***
Je posais un coude sur le guichet en lui faisant un clin d'oeil amical. ***
Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas. | |
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Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys
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Le Luang 19 Julantir 1510 à 12h27
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| *** Je laisse apparaître l'esquisse d'un sourire. ***
Aka's Dhanya de vos réponses sans détours et de votre soutien.
J'espère que vos chercheurs trouveront des pistes afin de nous aider dans cette terrible guerre.
Souhaitons que vous ayez raison et que survivent quelques Cités pour le bien de tous.
Nous allons maintenant prendre congé.
Aka's Kenara.
*** Avant de quitter le bureau de la Judicatrice, je me tourne vers Inanna, mon sourire ayant subitement disparu. ***
Bon!
Tu viens!
*** Et sans attendre sa réponse, je salue de la tête encore une fois Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys et sors. ***
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Le Luang 19 Julantir 1510 à 12h45
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| *** Je sortais de mon sac une bouteille de kiarbat, déroulé un saucisson de son torchon, brisé un morceau de pain, et sorti un coutelas. Faute de grives on mange des merles comme on dit par chez plus où ...
Mouep autant casser une graine, la fin des cités de poussière pouvait bien attendre, je relevais la tête pour croiser mon administrateur, il avait peux être faim le bougre !!
Il semblait pas tiquer, pas grave , me servais un gorgeaillon, un morceau de sauss, un croc dans le pain, puis je sortais quelques dattes sèches en guise de dessert.
Pfff ça me tordait un peu le boyau, j'tais pas loin de la zone de vérité, j'aimais bien quand ça commençait à vibrer. ***
Beurrrp...
*** petit rot, petit signe de la main, j'tais désolé c'tait sortie tout seul... ***
Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas. | |
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Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys
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Le Julung 22 Julantir 1510 à 11h00
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| *** Je suivais le nemen jusqu'au bureau de la judicatrice, finalement c'tait plutôt rapide, je ne devais pas en avoir pour très longtemps.j'entrai à la suite, les épaules en arrière le buste droit, et un sourire franc comme à mon habitude. ***
Salutations, Judicatrice.
Je suis Minak Arkhor, explorateur à la confrérie des six, et effectivement j'ai quelques nouvelles à vous apporter, qui j'espère vous réchaufferons le coeur un court instant.
Je peux m'assoir ou vous préférez que je reste debout ?
Remarquez, je vais rester debout je n'en ai pas pour longtemps, et je ne vais pas abuser de votre temps.
*** Je marquais une courte pause regardant bien dans les yeux mon interlocutrice. ***
Allons à l'essentiel, nous avons trouver un moyen magique de combattre le Tark'nal à Arameth, histoire de remporter une bataille mais pas la guerre.
Pour se faire nous avons besoins de contacter la nemen symbiosé Syrtaï'Nhymurtayag Varoga, et nous n'arrivons pas à avoir de ses nouvelles, et nous en sommes très attristés. Car nous avons besoins de sa présence en Arameth pour pouvoir utiliser pleinement le potentiel de notre rituel.
Est-ce vous savez si Syrtaï'Nhymurtayag Varoga va bien ? et Est-ce que vous savez si je pourrai la rencontrer ou bien si elle pourrait se rendre à Arameth dans le mois qui vient ?
*** Je haussais les épaules, que j'accompagnais d'un léger soupir, je savais que les nemens étaient pas très causant, j'espérai avoir fait court.... ***
Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas. | |
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Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys
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