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Le Centre de Judication

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Sujet lancé par Narrateur
Le 28-10-1508 à 20h26
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Posté par Nemès,
Le 02-08-1511 à 16h59
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Nuruhuinë

Le Matal 13 Julantir 1510 à 15h22

 
*** J'acquiesce d'un signe de la tête, étant malgré tout un peu déçue. Je réfléchis à toutes les pensées qui m'ont été confiées et l'une d'elle refait surface. ***


Je comprends .... J'ai toutefois une dernière question qui a aussi son importance.
Nombreux sont ceux qui se retrouvent sans abris, symbiosés ou non, ils seront pour la plupart recueillis par les Cités encore debout. Mais qu'adviendra-t-il de tous les Poussiéreux si toutes les Cités tombent ?
Est-ce qu'Ulmendya serait prêtre à les accueillir en son sein ?


*** Je la regarde droit dans les yeux, attendant sans sourciller sa réponse. ***




 
Narrateur

Le Matal 13 Julantir 1510 à 15h37

 
*** Le Nemen resta stoïque devant l'énervement de Minak Arkhor et répliqua sur un ton calme et légèrement moralisateur : ***

Vous énerver ne fera pas changer le fait que je ne peux rien pour vous à part, comme je vous l'ai déjà proposé, de rencontrer la Judicatrice pour lui exposer vos découvertes.

*** Puis sur un ton péremptoire et qui n'invite pas à la discussion : ***


Je n'ai pas d'autres solutions à vous proposer. Soit vous choisissez cette option, soit vous repartez sans faire de vagues.Je vous assure que vous n'apprécieriez pas une démonstration de force, Minak Arkhor, explorateur de la Confrérie des Six.


*** Le fonctionnaire se désintéressa du Nelda en concentrant son intention sur les papiers posés sur son guichet et griffonna quelques notes sur certains, en tamponna d'autres en silence, laissant le poussiéreux à ses réflexions. ***


 
Inanna Ereshkigal

Le Matal 13 Julantir 1510 à 18h13

 
***
Ha ce n'était pas tout en un ? Si on gâche le plaisir autant le faire bien. Mais non,
Mais non, tout faire mal, très mal. Voilà une devise fort indigne d'une Liadha.
Certe la danse était mal partie, mais de là à la tuer dans l'oeuf, très dommage.
Tout mettre dans le premier tiroir, mettre le doigt et du sel dans la plaie, joli !
Ce manque de perception est tragique, mais bien excusé par la folle jeunesse.
***
Inanna ne peut se retenir de marmonner son approbation, si loin du coeur.
Le visage frétillant, pas de joie, moue passable contrarié, il est discret.
Évidemment vu l'intérêt qu'on lui porte, cela ne lui demande pas d'effort.
***
Et vas-y que je te déballe tout mon fardeau. Plus vite c'est fini, mieux c'est ?
Au revoir les questions . . . bon séjour chez les nemens, et faites attention,
À la poussière. Comme ça on est certaines qu'elle les ignores, magnifique.
C'est La Judicatrice, une nemen et on lui facilite la tâche à nous esquiver.
Une lettre aurait fait l'affaire. Si c'était que ça. Juste une béante ouverture.
Pas de feinte, pas de rythme, pas de botte, pas de coup, rien, rient du tout.
***

Hum, je sais que ça remonte à loin, mais la construction des cités n'a pas du être simplement une accumulation de pierre taillée . . . les architectes actuelles, ou historiennes, pourraient-elles en savoir plus que vous sur leur construction ?

***
Il va de soit qu'elle sait pas tout, c'est une chef. Mais elle devrait savoir distribuer,
ou comment accéder, ou se faire obéir. Enfin, rien à perdre à essayer encore une fois,
Juste d'être persuader d'un inutilité et d'éprouver encore la patience des deux Dames.
***




Rayon de bonheur.

 
Minak Arkhor

Le Matal 13 Julantir 1510 à 18h57

 
*** Petit pas en arrière en me grattant la tête en signe d'incompréhension, toute tension effacée, pour peu que j'ai déjà était énervé. Fallait croire que nous avions tous un mode de fonctionnement différent, et que le nemen en face de moi avait traduit ça par une volonté d'en arriver aux mains, Mouarf !
Pour sur, il avait pas l'habitude de discussions viriles et bien échauffées, mais pas grave, j'avais pas l'habitude d'être devant une vitrine d'indifférence, fallait dire qu'il campait bien le personnage. Lisse, responsable, bien élevé et tout et tout et tout ...
Pour finir il me terminait avec une petite pointe, histoire de bien me faire comprendre de pas trop me la ramener dans le coin.
Finalement je m'y étais pris comme une grosse truffe que je suis, j'avais ce don aussi ! être honnête avec moi même ! ***

*** Je haussais les épaules en soupirant en signe d'apaisement ***


Bon sans déconner, j'ai jamais eu l'intention de jouer à chamboule-tout ici, quoique ...bref ...
***
Je me grattais la tête en imaginant une suite hypothétique, mais y'a rien qui venait ...
Foutre en l'air son bureau et ses papiers, bof.. trop simple et puéril ...
Un coup de barbiche pour fendre son guichet en deux, non trop extrême ...
Partir la queue ente les jambes sans demander son reste, trop brillant ....
Lui donner une sardoine pour le remercier de sa patience, pas mal ...
Demander une simple audience avec la judicatrice, finalement ... ***


Bon ! avant tout je voulais te dire, t'es super bon dans ce que tu fais, bravo, vous foutez vraiment la crème de la crème au guichet pour accueillir les étrangers, patient, calme, professionnel ....

*** Puis en baissant un peu les yeux...
***


Mmmm.... tu peux me dégoter un petit rendez-vous avec la judicatrice dans pas trop longtemps, si je te promets d'être sage ?
***
Je posais un coude sur le guichet en lui faisant un clin d'oeil amical. ***










Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Narrateur

Le Julung 15 Julantir 1510 à 11h07

 
*** L'administrateur reporta son attention sur le Nelda et lui répondit après avoir brièvement consulté son registre : ***


Je pense qu'elle pourra vous recevoir à la suite de son rendez vous actuel. Je vous propose de patienter un peu.
Un secrétaire viendra vous chercher pour votre rendez vous.
Je vous souhaite un agréable séjour à Ulmendya, Poussiéreux.


 
Minak Arkhor

Le Julung 15 Julantir 1510 à 13h54

 
Bien merci à toi Nemen, j'attendrai le secrétaire.

Et bonne journée !



*** Je posais mon lourd sac par terre, en me prenant une chaise dans le hall pour patienter.
Mouep la patience, un trait de caractère fort chez eux à priori... ***


Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys

Le Julung 15 Julantir 1510 à 14h58

 
*** La Judicatrice soutint le regard de Nuruhuinë et répondit sans hésiter : ***


Dans l'éventualité où toutes les cités tombaient aux mains de l'Ennemi. Le Peuple Nemen vous accueillera dans la Cité Puits. Mais ne soyons pas trop pessimiste tout de même, ce combat n'aura surement pas une fin aussi tragique. Vos compatriotes et tous les poussiéreux trouveront comment sortir de ce guêpier. J'ai confiance en vos capacités.

*** Puis se tournant vers le tydale, elle lui répondit dans un soupir résigné : ***


Il est certain que les architectes et bâtisseurs de l'époque en savaient plus sur tout cela. mais avez vous vraiment conscience que ces constructions sont plusieurs fois millénaires et que la mémoire Nemen ne remonte pas aussi loin.
Comme je vous l'ai déjà dit, seul les Vahandras qui sont la mémoire universelle de notre Peuple peuvent vous aider sur ce point.

Ne vous affolez pas et soyez patient, la Vahandra Syrtaï'Nimurtayag Varoga viendra à vous lorsqu'elle jugera que le moment est venu. Annoncez-le à tous les poussiéreux.


 
Nuruhuinë

Le Luang 19 Julantir 1510 à 12h27

 
*** Je laisse apparaître l'esquisse d'un sourire. ***


Aka's Dhanya de vos réponses sans détours et de votre soutien.
J'espère que vos chercheurs trouveront des pistes afin de nous aider dans cette terrible guerre.
Souhaitons que vous ayez raison et que survivent quelques Cités pour le bien de tous.
Nous allons maintenant prendre congé.
Aka's Kenara.


*** Avant de quitter le bureau de la Judicatrice, je me tourne vers Inanna, mon sourire ayant subitement disparu. ***


Bon!
Tu viens!


*** Et sans attendre sa réponse, je salue de la tête encore une fois Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys et sors. ***




 
Minak Arkhor

Le Luang 19 Julantir 1510 à 12h45

 
*** Je sortais de mon sac une bouteille de kiarbat, déroulé un saucisson de son torchon, brisé un morceau de pain, et sorti un coutelas. Faute de grives on mange des merles comme on dit par chez plus où ...

Mouep autant casser une graine, la fin des cités de poussière pouvait bien attendre, je relevais la tête pour croiser mon administrateur, il avait peux être faim le bougre !!

Il semblait pas tiquer, pas grave , me servais un gorgeaillon, un morceau de sauss, un croc dans le pain, puis je sortais quelques dattes sèches en guise de dessert.

Pfff ça me tordait un peu le boyau, j'tais pas loin de la zone de vérité, j'aimais bien quand ça commençait à vibrer. ***


Beurrrp...

*** petit rot, petit signe de la main, j'tais désolé c'tait sortie tout seul... ***


Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Inanna Ereshkigal

Le Luang 19 Julantir 1510 à 17h09

 
*** " Sans détour " , qu'il est bon de se sentir accompagné. ***

Entendu.
Aka's Hajar pour toute votre attention et votre admirable patience.

C'est ravis que nous nous retirons.
Et que votre peuple courir aussi longtemps sous terre que les étoiles le font dehors.

***
Petite révérence avec un sourire très franc.
Fier de son souhait, content de cette approche.
Même si tout n'est pas lumineux ici profond.
La nouveauté et protection l'emballe, le grise.
Et puis l'avenir s'annonce pas si terrible.
Peut-être plaisant d'ici peu, puisse-t-il se tenir.
C'est léger qu'Inanna s'en va, passe au suivant.
Pour toute les lourdeurs et entraves, courage.
Il suit la Liadha, grande attente, pertinente ?
***




Rayon de bonheur.

 
Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys

Le Merakih 21 Julantir 1510 à 22h25

 
*** Un Nemen vint chercher Minak Arkhor, l'invita à le suivre et le guida jusqu'au bureau de la Judicatrice.
Celle ci l'accueille avec un sourire et ces quelques mots : ***


Salutations, Poussiéreux,
Je suis Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys et l'on m'a informé que vous aviez des informations à me donner ainsi que quelques questions à me poser. Vous avez toute mon attention.


 
Minak Arkhor

Le Julung 22 Julantir 1510 à 11h00

 
*** Je suivais le nemen jusqu'au bureau de la judicatrice, finalement c'tait plutôt rapide, je ne devais pas en avoir pour très longtemps.j'entrai à la suite, les épaules en arrière le buste droit, et un sourire franc comme à mon habitude. ***

Salutations, Judicatrice.
Je suis Minak Arkhor, explorateur à la confrérie des six, et effectivement j'ai quelques nouvelles à vous apporter, qui j'espère vous réchaufferons le coeur un court instant.

Je peux m'assoir ou vous préférez que je reste debout ?

Remarquez, je vais rester debout je n'en ai pas pour longtemps, et je ne vais pas abuser de votre temps.


*** Je marquais une courte pause regardant bien dans les yeux mon interlocutrice. ***


Allons à l'essentiel, nous avons trouver un moyen magique de combattre le Tark'nal à Arameth, histoire de remporter une bataille mais pas la guerre.

Pour se faire nous avons besoins de contacter la nemen symbiosé Syrtaï'Nhymurtayag Varoga, et nous n'arrivons pas à avoir de ses nouvelles, et nous en sommes très attristés. Car nous avons besoins de sa présence en Arameth pour pouvoir utiliser pleinement le potentiel de notre rituel.
Est-ce vous savez si Syrtaï'Nhymurtayag Varoga va bien ? et Est-ce que vous savez si je pourrai la rencontrer ou bien si elle pourrait se rendre à Arameth dans le mois qui vient ?


*** Je haussais les épaules, que j'accompagnais d'un léger soupir, je savais que les nemens étaient pas très causant, j'espérai avoir fait court.... ***


Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys

Le Sukra 24 Julantir 1510 à 20h13

 
*** La Judicatrice écouta avec intérêt le discours du Confrère puis lui répondit : ***


Je suis enchanté d'entendre cette nouvelle, nous avions raison de vous faire confiance. Les Poussiéreux ont les ressources nécessaires pour être une force qui compte dans cette guerre. Nous allons espérer que votre technique fonctionne et nous débarrasse de cette abomination qui met en danger le Peuple Nemen.

Et je comprends vos inquiétudes au sujet de la Vahandra, mais comme je l'ai annoncé à d'autres poussiéreux. Elle viendra pour vous assister. Malheureusement je ne sais quand elle décidera de le faire. Les Vahandras sont des êtres à part dans notre Peuple et je n'ai pas plus d'informations que vous. Vous ne pourrez pas la rencontrer à Ulmendya ni avoir de ses nouvelles. Je n'en ai moi même que très rarement. Toutefois je peux vous assurer qu'elle marchera à vos côtés pour cette bataille. Normalement elle arrivera à temps, c'est une des qualités des Vahandras.

Avez vous d'autres interrogations auxquels je pourrais répondre ?


 
Minak Arkhor

Le Sukra 24 Julantir 1510 à 22h09

 
*** Bizarrement je m'attendais à quelque chose dans le genre comme réponse, mi figue mi raisin, mais bon dans l'absolu ... ***


Non pas d'autres questions, enfin si, environ 8 000 autres pour être exact mais j'ai pas le temps et vous encore moins, donc on remettra ça à l'occasion, hein ? pourquoi pas !

si vous me dites que la Vahandra se pointera quand il faut, et bien que dire de plus ! on croise les doigts.

En attendant je vous souhaite une bonne journée et vous remercie d'avoir pris le temps de me recevoir.

***
Petit signe de tête pour la saluer et je pris la direction de la sortie, j'avais pris trop de retard avec mes compagnons et il m'attendait .... ***


Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Antiorn

Le Julung 3 Fambir 1511 à 00h19

 
Quelques mois plus tard, suite à l'annonce du retrait des Nemens des affaires de ce monde...

Deux neldas arpentent la plateforme des archives. Complices d'un demi-silence cordial, ils cherchent presque malgré eux un signe du trouble qui devrait agiter la Cité-Puit dans ce qui les entoure. Et pourtant rien ne semble transparaître.

On dirait Arameth avant la venue du Tark'Nal, sauf que les Nemens semblent surpasser même les confrères dans l'Art du Déni. Les trois niveaux accessibles à la Poussière ne semblent pas avoir changé. Et si les Nemens de surface ont vent de ce qui se trame dans le gouffre sans fond, ils jouent admirablement la carte du bluff.

Tout semble aller pour le mieux...
Et pourtant les fileuses de trames ont été forcées de se retirer du monde.
Et Syrtaï n'a donné signe de vie depuis la fin de son coma marqué pas le décès de son corps.

Les deux neldas marchent ensemble, solidaires, ne pipant mot.
Jusqu'à ce que le confrère brise le silence.

Nous y voici.

Ils y sont. Le centre de Judication semble n'attendre qu'eux. Deux sentinelles montent la garde devant une double porte béante.

Gallëa Artmyhn’Karn Arkhenys


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Syndal

Le Julung 3 Fambir 1511 à 11h37

 
*** Syndal avançait au côté du Confrère en s'intéressant à tout ce qui l'entourait.

Après tout c'était la première fois qu'il mettait les pieds dans la cité-puits alors autant en profiter.

Le centre de judication. En voilà un mot étrange. ***


-Nous y voici" déclara Antiorn.

-Avez-vous déjà rencontré la judicatrice, Rhon Antiorn?

Syndal
Songeur au service de Furm

 
Antiorn

Le Julung 3 Fambir 1511 à 16h10

 
Jamais en personne... , répond le confrère.

Mais on m'en a dit le plus grand mal.

On racconte que ses phrases nébuleuses peuvent embrumer les esprits les plus affutés,
Qu'elle ne révèle que si peu tout en extirpant des mondes entiers au moindre sourcillement,
Qu'elle représente à elle seule toute la condescendance et suffisance dont peuvent faire preuve son peuple,
Mais aussi toute la grâce, l'élégance qui font de sa mauvaise foi un miel dont on peut se délecter.

Sourire.

Mais il ne faut pas croire tout ce que l'on dit... et qui sait si la Judicatrice n'est pas elle-même dans les niveaux inférieurs, coupée du monde elle aussi ? Ce serait conjurer le mauvais sort que de médire sur les infortunés.

Ils franchissent la grande double porte de bois masssif sculptée de mille motifs abstraits d'une complexité époustouflante.
Antiorn sourcille et s'arrête net tout en poussant un sifflement garant de toute son admiration.
L'ouvrage est trop impressionnant pour ne pas s'y attarder un peu.

Voyez ce qu'il advient lorsque des immortels deviennent compulsifs.

Un ange passe.

Croyez-vous que c'est là l'avenir des symbiosés ?


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Syndal

Le Dhiwara 6 Fambir 1511 à 12h55

 
*** Un sourire étira les babines de Syndal à l'énoncé des nombreuses "qualités" de la judicatrice.

L'architecture nemen ne cessait d'impressionner le Songeur. Quelle civilisation tout de même, aussi douée dans l'art que dans la guerre, étrange paradoxe ou complémentarité incontournable? ***


-A qui doit-on s'adresser pour avoir un entretien?
***
Puis revenant aux derniers mots d'Antiorn. ***


-L'immortalité amène à appréhender les chose autrement mais nous ne sommes pas tous symbiosés loin s'en faut. Nous aurons toujours nos camarades ne connaissant pas la symbiose pour nous ramener aux réalités éphémères de la vie poussiéreuse. Du moins je l'espère...

Syndal
Songeur au service de Furm

 
Antiorn

Le Dhiwara 6 Fambir 1511 à 17h56

 
J'espère de tout coeur que vous avez raison, Arch'Rhon.

Mais le Blanc Nelda ne peut s'empêcher de penser qu'il y a du bon à ce que certains puissent e lancer corps et âme dans une seule chose, quitte à creuser sa tombre de malheur ce faisant. La postérité, elle, se souviendra du génie. Et les idées géniales changent le monde.

Ce doit être là.

Le confrère pointe un kosque qui détonne dans l'architecture grandiose de l'endroit. Là semble les attendre une Nemen typiquement légèrement vêtue.

Les deux neldas marchent vers elle est s'ennoncent.
Une courte discussion s'en suit.
La Judicatrice les recevra sur rendez-vous.
On les enverra chercher à leur auberge respective.

Légèrement déçu qu'on ne leur proppose une audience sur le champs malgré le fait qu'il ne l'aurait accepté sans la présence de ses compères, Antiorn dit d'un air débonnaire alors qu'ils quittent le centre.

Eh bien, ne nous reste plus qu'à retrouver les nôtres autour du repas communial promis.


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Syndal

Le Dhiwara 6 Fambir 1511 à 19h14

 
Syndal se doutait que les nemens les feraient attendre...

Il faudra sûrement du temps pour que les nemens apprennent de leur échec récent...


-Allons-y en ce cas.

Syndal
Songeur au service de Furm

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