SYFARIA, La rédemption : Jeu de rôle en ligne multijoueurs gratuit

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Sujet lancé par Ellana
Le 09-01-1508 à 00h38
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Posté par Saahar Aalrek,
Le 17-02-1508 à 20h59
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Ellana

Le Merakih 9 Jangur 1508 à 00h38


	*Voici un ou deux jours qu'Ellana avait quitté son pilier de Poussière, en quête de sa ville natale. Elle ne s'en rappelait plus le chemin, comme si ce passage obligé avait altéré sa mémoire et sa perception des choses. Apercevant des remparts et après avoir demandé son chemin dans une auberge, elle franchit enfin les portes de la cité. Elle regardait les rues et les habitations d'un oeil neuf, même si certaines scènes lui semblaient curieusement familières. Elle s'approcha de la Mairie pour signaler son arrivée, comme il lui avait été signifié à l'entrée de la ville. Une fois la porte passée, elle se dirigea vers l'employé qui se trouvait au comptoir de réception.* Bien le bonjour! Mon nom est Ellana, et voici mon mou Prin'cess. Nous venons d'arriver en ville et je viens vous en informer, comme la loi le demande. Je suis magicienne, et je crois me rappeler qu'autrefois, je faisais partie de la milice de défense de la ville... Mais mon séjour dans ce pilier m'a rendue comme amnésique... La seule chose dont je me souvienne assez clairement est l'ennemi contre lequel nous faisons tous front, et après tout n'est-ce point là le principal ? Je recherche des compagnons d'armes auxquels m'allier afin de m'aguerrir. Connaîtriez-vous des Neldas intéressés par un tel projet ?

Penthésilée

Le Dhiwara 3 Fambir 1508 à 13h34


	* Notant l'annonce, Penthésilée s'interroge : cette disciple est-elle toujours en ville et si oui, a-t-elle trouvé ce qu'elle cherche ? La jeune nelda, perturbée par le contrecoup de sa toute récente symbiose, marche à pas vifs dans les rues de Korsyne, balayant l'espace de sa queue fournie au grand amusement des passants qui la croisent. Elle finit par tomber sur l'armurerie. Usant de son maigre pécule, elle s'équipe à minima : bâton ferré, armure de cuir bouilli, de quoi évoluer sans trop paraitre démunie ou inutile. Si elle entend défendre la communauté des hauts-rêvants, comme elle l'a toujours souhaité, elle doit désormais apprendre et s'entrainer ; mais où, et avec qui ? Sur ces pensées, elle repart en direction de la Shamesha. Un attroupement de puissants neldas l'intrigue, elle s'approche... Et le miracle de la symbiose se produit : elle perçoit leurs identités alors même qu'ils n'ont encore rien dit ! Parmi eux, Penthésilée voit Ellana... pourquoi ne pas lui parler ? L'apprentie combattante s'approche doucement, les oreilles dressées et la queue en panache, comme un écureuil : * Bonjour ! Tu es Ellana, n'est-ce pas ? J'ai lu ton annonce à la mairie... cherches-tu toujours un compagnon - ou une compagne - d'entrainement ? Penthésilée Vigie du Rêve Chroniques

Ellana

Le Dhiwara 3 Fambir 1508 à 14h12


	* Enfin une réponse! Ellana esquissa un sourire * Bonjour à toi! En fait, pas mal de temps a passé depuis ma présentation, et si je souhaite toujours m'entraîner, j'ai eu l'immense honneur d'être choisie comme disciple rêvant par Maître Shaël. Mais mon problème à présent est double: me rendre à Jypska où je dois le retrouver, et pour cela m'adjoindre des compagnons de route en nombre suffisant, le chemin étant très périlleux, et une fois arrivée là-bas, tenter de d'aider mon Maître de quelque façon que ce soit, car je ne perçois plus ses pensées, et on le dit perdu dans un rêve -un cauchemar devrais-je plutôt dire- dont personne ne parvient à le faire émerger. Souhaiterais-tu être des nôtres? dit : Elle veut peut-être rester une guerrière Ellana... L'un n'empêche pas l'autre Prin'cess! Et une guerrière nous serait fort utile si nous devons en découdre avec les créatures du désert!

Penthésilée

Le Dhiwara 3 Fambir 1508 à 15h09


	Oui, je suis allée consulter les pensées de la communauté... c'est inquiétant et décourageant. Les rêveurs ne peuvent plus sortir de leur songe, et les combattants sont partis en mission : à peine arrivée, je ne peux ni recevoir de cours, ni m'entrainer en compagnie d'un maître d'arme. Ton annonce est ancienne, c'est vrai, mais elle a le mérite d'exister... quand on débarque de nulle part, comme moi, elle réchauffe le cœur ! Je t'accompagnerai avec plaisir, mais tu sais, je ne suis pas du tout aguerrie : ma rencontre avec Achille date d'hier ! Mon bâton et mon armure sont flambant neufs, je doute même de pouvoir les réparer si je les abime, je ne sais pas soigner... en fait, j'ai bien peur d'être parfaitement inutile... Et toi, qu'as-tu appris, en tant que disciple ? Que sais-tu faire ? Et qui voyagera avec nous ? Penthésilée Vigie du Rêve Chroniques

Ellana

Le Dhiwara 3 Fambir 1508 à 15h28


	En tant que disciple pas grand chose, puisque les seuls contacts que j'ai eus avec mon Maître n'ont été que télépathiques. Je me suis un peu entraînée à soigner, à jouer de la musique, et d'autres petites choses encore, mais le pourcentage de réussite reste assez faible; je suppose que cela viendra avec le temps... Quant à nos compagnons de voyage, ils ne sont guère expérimentés non plus! Altar et Hieronymus, disciples rêvants comme moi, et peut-être aussi Ghwerig, compagnon d'inforture rencontré alors que sévissait en ville un immonde Assulter, et que j'ai réussi à soigner à force d'archarnement. Il m'en est à ce point reconnaissant qu'il est prêt à nous escorter, même s'il n'a pas plus d'expérience que nous! * Ellana soupira, résignée * Mais je me dis que, selon l'adage, l'union fait la force, et que si les Quatre le veulent bien, nous pourrons rejoindre Jypska sans avoir à déplorer de trop lourdes pertes...

Saahar Aalrek

Le Dhiwara 17 Fambir 1508 à 02h25


	Une vision, trouble certes, mais quelque chose prenait forme à l'horizon... Depuis tant de temps, Saahar Aalrek parcourait le désert. Sans aucune raison apparente, mis à part le mince espoir de rejoindre un mot : Korsyne, la cité des poussières de sables ardents. Cette nuit glacée était celle marquant la fin d'un long voyage dont les origines se perdaient dans les songes, celui du Nelda Saahar. Parvenu au titanesque portail ocre pointant ses tourelles vers l'obscure nuit, Saahar hésita un instant, était-ce réellement la fin de ce long voyage entouré de néant ? Les énergies de Syfaria allaient telles à nouveau insuffler la vie dans cette coquille vide ? dit : Wouaou ! Saahar, tu m'entends ? C'est Korsyne que tu vois là, la citée Neldas érigée au milieu du désert et de maintes régions arides. Ma foi, je ne suis pas déçu, Korsyne a bien l'allure que les contes Neldas lui donnent ! J'adore cette architecture traditionnelle Neldas ! Wouaouou !!! Cette cité a le chic de prendre en compte les conditions climatiques et, malgré des ressources naturelles réduites, elle ne manque pas d'intérêt, non mais tu as vu cette richesse artistique ? Ouvre les yeux bougre d'andouille !!! Tu as soif ? Ah la la, vous êtes soulant des fois, vous, les êtres de poussières... Non mais regarde moi toutes ces ruelles tortueuses !!! Quelles ambiances, toutes entourées de hauts murs d'adobe et de briques ! Wouaou ! Ya même des toits au dessus des ruelles par endroit ! Et tu sais pourquoi ? A cet instant, Saahar qui c'était rendu d'instinct à la première taverne venue, redécouvrit rapidement les us et coutumes pour se procurer vite fait bien fait un sacré bon verre d'Hydromel ! Et là, tout bascule, enfin sorti de sa torpeur, le visage de Saahar reprit vie pour laisser place à un sourire carnassier à se décrocher la machoire ! Ouiiiiiiiiiiiii, Kolomboo, c'est pour empêcher l'expansion du désert et les effets des tempêtes de sable, tout en créant des foutus espaces ombragés qui, sacré nom des Dieux ! Sont de purs merveilles pour mes poils cramés ! dit : Par ailleurs, cette architecture protège aussi le tissu urbain des températures hivernales. Et puis toutes ces hautes bâtisses sont autant de remparts à l'abris des invasions ennemis ! Et puis, çà c'est sûr ! Avec ce bazar; ces temples majestueux ! Humm, çà doit être la mairie au coeur de tout çà !! Désormais hors de lui, Saahar plongea littéralement à l'intérieur de l'établissement administratif, et dans ce lieu jusqu'à cet instant investi d'un sacro-saint silence, il clama haut et fort : Salut la compagnie, moi c'est Aalrek, Saahar Aalrek, et le timide derrière c'est Kolomboo, et morbleu je vous souhaite tous de me souhaiter le bienvenue ! C'est un minimum tout de même ! Je suis étonné que çà ne soit pas déjà fait ! J'aimerais bien tous vous inviter à boire un tonneau avec moi, ou bien partir à l'aventure vers l'infini et au-delà ! Mais je dois vous avouer une chose : Je suis un peu pommé et un ptit coup mort de fatigue.............. Sur ce, Saahar s'effondra comme une masse au milieu du vestibule. Saahar avait parlé, désormais il ronflé, et çà n'était que le commencement...

Ellana

Le Dhiwara 17 Fambir 1508 à 09h19


	* Ellana avait perçu comme un souffle dévastateur dans son esprit l'arrivée tumultueuse de Saahar. Ignorant que le voyageur s'était effondré pour goûter un repos légitime, elle tenta un bonjour télépathique. * Héjia à vous, valeureux voyageur! Et bienvenue dans ce que l'on a coutume d'appeler la Perle du Désert! * Hésitant à harceler le Nelda de questions, elle se risqua néanmoins à en poser une ou deux. * De quel côté venez-vous? Le désert est-il assez calme par là? dit : Parce que nous essayons de rejoindre les transports Nemens mais un monstre assoiffé de sang, un Gambol, nous en empêche, alors s'il y en a d'autres, nous aimerions bien le savoir... Ahem, bonjour à vous deux au fait...

Saahar Aalrek

Le Dhiwara 17 Fambir 1508 à 20h59


	* Tournent, et tombent les anges en feu, foudroyés par les éclairs d'Orcs. Tout se brouille dans l'esprit d'un être lorsque celui ci s'abandonne au rêve... Transcendé par la mort, le petit être se cache sous les corps abominés, mais se voit brandir les bras vers le ciel et défier le divin. * « Non, non ! Cà n'est pas moi !!!! Pourquoi ainsi faire le mal autour de soi ? Je ne suis pas le destructeur, et si le ciel saigne d'une obscurité imprégnant tout, çà n'est pas moi l'architecte ! » Une voie sortit de nul part, Citation : Le moi qui rêve n'est pas le même que le moi éveillé. « Cà n'est pas moi ! » Citation : Il existe entre les deux une relation de gémellité : ils sont les ombres l'un de l'autre. * Le ciel pleurait toujours plus son venin obscur, le petit être ne pouvait plus se cacher et l'obscurité le transperçait. Rapidement tout son corps en fut imprégné et il titubait, il titubait au milieu d'un tourbillon noir dépourvu de toute structure. * « Horreur, abomination, laissez moi quitter cet enfer et rejoindre le monde réel ! » Citation : Le moi qui rêve, imaginal, se mêle et se perd dans les images du rêve et sait qu'elles ne lui appartiennent pas. « Mais à qui alors ? A qui appartiennent-elles ? C'est pourtant bien mon rêve ! » Citation : Le moi n'est lui aussi qu'une image, tout est image, Saahar. Une figure complètement subjective, un fantôme, une ombre vidée du "Je" qui s'abandonne au sommeil. « Mais qui suis-je alors si tout n'est qu'image ? Qui est réel ! Qui est moi ! Où est le rêve !!! Dis moi !!! » * Tourne tourne... * AHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! * Un cauchemard... un de plus... * dit : Wouaou !!!! Quoi ? Hein ? Comment ? C'est déjà l'heure de se réveiller ! « Tu sais quoi Kolomboo ? Bah je vais te le dire » dit : Non non, c'est pas la peine je sais ! Je sais c'est pas drôle je sais tout ! Mais j'y peux rien !!! Hummm, quelque chose te turlupine, n'est-ce pas ? Rappelle toi Saahar : Nous sommes faits de la même substance que nos rêves, et notre petite vie est toute ceinte de sommeil. Tu ne peux échapper à tes rêves, car ils sont toi bien plus que toute autre chose.... « Moué... Je sais.... Soit ! Allez, hop ! C'est partie, on retourne à la mairie immédiatement ! Je suis d'attaque pour affronter toutes les administrations de Syfaria cu sec s'il le faut ! » * Et c'est ainsi que rapidemment Saahar fit la rencontre d'une ravissante jeune Nelda ne manquant pas de charme ! Commença les prémisses d'une longue amitié sans borne, et pour se faire Saahar feinta bien entendu d'être un Nelda cultivé : * « De quel côté je viens, ah ah ! Ma foi, si mes souvenirs sont bons... Je pense venir du côté de... Enfin, c'est certain, toute chose doit être le côté d'une autre... Enfin je pense, ce serait prétentieux d'admettre venir du centre ou bien d'autre chose... C'est un point de vue qui se défend ! Mais j'avoue ne savoir de quel côté de quoi je peux bien venir ! Ah ah ! C'est si relatif. Soit, ceci dit si par Gambol et bête assoiffé de sang vous entendez par là gros nounours poilu qui pleure, j'en ai bien vu un au Sud-Est, à part çà... Je ne puis rien affirmer. » Citation : tout vient à point à qui sait attendre ( euh... à point, peut être trop ! C'est même cramé à ce niveau ! )

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