Bourgloff visiblement énervé et éméché prit une pelle se trouvant pas loin d'un étal, bu une rasade, puis se dirigea au centre du marché...là il se mit à creuser, à boire et encore à creuser.
dit :

Bourgloff ne répondit pas et continua son trou....et continua de boire.
Quand son trou fut de bonne taille, il se mit dedans et à l'aide de ses bras il se mit à faire glisser le sable dans le trou............et bizarrement il réussit à s'ensabler tout seul.

dit :

 
En fait de "gentils", ce sont les veilleuses de la cité qui sortent Bourgloff de son trou. Une patrouille de nuit manque buter dessus dans sa ronde nocturne, et le premier instant de surprise passé, le Libertaire est extrait du sol manu militari. La responsable, une certaine Tachine, le tance plus ou moins en ces termes :

Ca ne va pas, Rhon ? Vous êtes fatigué de vivre ? Il y a des méthodes de suicide plus rapides !
Si vous ne savez pas quoi faire de votre temps, allez donc le passer à la taverne... ou rentrez chez vous, tout simplement.

Ah ils sont beaux, les symbiosés...

Sur ce, les veilleuses s'éloignent en bougonnant, laissant Bourgloff libre de ses mouvements.

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(note MJ : il te faut choisir un avatar, une image qui te servira de portrait)

 
dit :

*** Bourgloff ne répondit pas à son mou, il se mit à courir vers la patrouille et se jeta dans leurs pieds. ***

« Emmenez moi avec vous....je ne sais pas quoi faire.............je n'ai point d'amis...aidez moi......je n'ai pas de maison......je ne sais pas où aller.....................;sortez moi de la misère........j'ai besoin de vous.......vous m'avez sauvé la vie, vous devez donc maintenant prendre soin de moi. »

dit :

Mais qui m'a fichu un imbécile pareil, faut que je me désymbiose, je vais pas passer des années avec cet imbécile.

 
Poursuivie par les assiduités éthyliques de Bourgloff, la patrouille essaye tant bien que mal de le semer mais n'y parvient pas. Quelque peu interdites, les veilleuses entourent à nouveau le jeune symbiosé, palabrent quelques instants, puis Tachine soupire et reprend :

Mais qu'est-ce que vous voulez que l'on fasse de vous, Rhon ? Nous sommes des gardiennes, et vous... un... Rhon ! Pourquoi ne parlez-vous pas à vos, euh... comment dit-on, déjà ?

Aux symbiosés, souffle une collègue.

Oui c'est ça : pourquoi ne parlez-vous pas à vos pairs symbiosés ? Il y a une sorte d'agora mentale ou télépathique, quelque chose qui s'appelle le consensus de pensées, si j'ai bonne mémoire, où vous pouvez communiquer avec tous ceux qui possèdent un mou... vous devriez faire ça, ils pourraient vous conseiller et vous orienter !

Vous voulez qu'on vous raccompagne quelque part ?

 
Bourgloff les regarda tous un par un en titubant légérement.

« Ben...le problème c'est que les symbiosés m'aiment pas trop en général, pourtant je leur joue de la belle musique. »

dit :

« Mais bon, vous avez raison, je vais essayer de trouver des compatriotes qui vont pouvoir me sortir de ma misère...je vais essayer de joindre des personnes sensibles et respectables, ça doit bien exister en ce bas monde... »

dit :

« Dites....vous auriez pas une petite pièce? »

 
Toutes les veilleuses se regardent en haussant les sourcils : une pièce, elles ? En pleine patrouille ?
Même Tachine fouille dans ses poches, sans succès évidemment. Elle dit finalement avec un sourire en coin :

Vous savez, Rhon, la paie de gardienne n'est pas bien mirobolante, et nous avons toutes un ou plusieurs mâles sur qui veiller. Mais comme vous avez ceci... (elle pointe Jean-Jacques du bout du museau), vous gagnerez bien plus de sous en travaillant que nous autres. Encore faut-il vous trouver une activité, ou un métier ?

Pour cette raison aussi, vous devez contacter vos pairs. Ils sauront vous orienter...

Sur ce, nous devons poursuivre.
A une prochaine fois, peut-être ? Et gare aux trous !

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Edit MJ : attention à bien utiliser les balises.
(langue=nelda) et (/langue) doivent entourer tes paroles, tandis que le texte de narration (la description de ce que tu fais) n'a pas besoin de balises, ou peut être entouré de (action) et (/action).
Dans mon exemple, les parenthèses sont à remplacer par des crochets.

 

« Je vous remercie, je me sens déjà mieux, je vais de ce pas contacter les miens. »

« Quelles radines... »

dit :