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Le Dhiwara 31 Agur 1508 à 19h17
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| Encore une voix ! Encore une autre ! Machin, arrête un peu ton cinéma !
*** Le ton est de plus en plus tremblant, presque effrayé. Pendant un instant, le Nelda en oublie même de maltraiter son Mou, tant la pression qui lui est imposée est au-dessus de ce dont il se sait capable de supporter. ***
J'entends des voix, je deviens fou... C'est une maladie de la tête... Je sais que ça existe... Une boule, et tout se dérègle dans le crane. Saloperie de boule ! Tu m'as contaminé.. Aaarrrgg ! Pourquoi ? Pourquoi ?
dit :Mais ferme là, bon sang, ferme là ! Je t'ai déjà expliqué cent fois.. CENT FOIS !
SILENCE !
*** La voix est cassée, rompue, désespérée. ***
...alors... c'est donc vrai ? | |
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Le Vayang 19 Saptawarar 1508 à 09h29
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| dit :Ceci est un appel à l’aide ! Au secours sauvez-moi ! C’est pas permis de traiter un Mou comme ça !
En plus elle ne comprend absolument rien à rien quand j’lui cause ! Elle me tire dans tout les sens, m’écrase, me malaxe, me jette, me mort, et tout ça en souriant sans le moindre regret ni complexe !
Offrez-moi l’asile ! Venez me cherchez ! J’suis Mainte et Mou lié à elle, j’peux pas partir de moi-même !
Arrrrrrrggggggghhhhh
*** De longues minutes s’écoule, rapide pour vous mais sans doute interminable pour le Mou, avant que celui-ci ne refasse apparition. ***
dit :Pitiiiiiiiiiiiééééééééé !
Je demande votre clémence, ayez-pitié d’un pauvre Mou qui viens de se symbioser pour le pire et pire que le pire.
Je ferais tout ce que vous voulez ! Tout !
Mais venez la cherchez et empêchez la de me faire du mal ! J’peux même pas lui en vouloir ! Elle ne semble même pas comprendre ses actes !
*** Le Mou aurait presque pleuré s’il n’avait pas déjà pleuré toutes les larmes qu’il avait en stock. C’est alors qu’il passait des brides de conversation en deux jeunes filles, qui ne semblait même pas savoir qu’elles étaient écoutées. ***
Marrant […] s’truc […] n’importe quoi avec […] il a rien […] le brûler ?
dit :Ahhh venez viteeeee | |
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Le Luang 22 Saptawarar 1508 à 15h40
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| *** Le Mou toussota un instant, se racla la gorge, et repris la parole. ***
dit :Je suis actuellement sain et sauf, au fond d'un sac à dos ... c'est un sort plus enviable que le précédent sauf si je prend en compte qu'elle souhaite toujours me faire tester la morsure du feu, n'en n'ayant pas eu sous la main pour faire son expérience plus tôt.
Toutefois je ne désespère pas .... totalement ...
C'est vrai qu'elle ignore toute mes tentatives de discussion télépathique, je ne sais d'ailleurs même pas comment elle arrive à faire fit de mes nombreuse jérémiades comme si elle était en plein silence.
C'est vrai aussi qu'à la moindre sensation d'ennui elle en reviens à me torturer innocemment comme si j'étais un jouet incassable.
Je ne parle même pas de l'odeur de sandwich avarié qui accompagne mon voyage au fond du sac et qui me ferait recracher mes poumons si j'en avait.
Je ne parle pas non plus du fait qu'il pleut et que l'eau faute de ne pas me noyer me trempe totalement.
Si je rajoutait en plus le fait qu'elle tombe plusieurs fois sur son sac m'écrasant sans même se soucier de mon existence et de mes plaintes.
Je dirais que la seule nouvelle positive de ma journée est que la jeune Tchaë se dirige vers votre ville ou j'ai bon espoir d'être sauvé par l'un d'entre vous. | |
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Le Vayang 17 Otalir 1508 à 21h55
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| *** Une pensée...emplie d'émotion cherche à se manifester. Quand elle parvient enfin à s'imposer, c'est une voix douce et suave qui se fait entendre. ***
Chers Symbiosés de Notre belle Faction,
C'est non sans un trouble certain que je m'hasarde à communiquer avec vous pour la première fois. Cette symbiose me fut bénéfique, je le sais, car à présent, je pourrai rester en contact avec vous, membres éminents de Notre sublimissime Faction ou simples libertaires...
Ne sommes nous pas réunis sous l'égide de Son amour? De Sa dévotion?
*** Une petite pause. ***
Ne le niez pas et je vous en prie, ne me jugez pas. Je sens en vous un ébranlement constant et tangible. Oh non, cela n'est pas négatif, bien au contraire...
*** Calmant visiblement son emportement, l'individu reprend de manière plus platonique. ***
Je me nomme Jeylan Dascoll et je suis votre serviteur...dans la mesure du raisonnable tout de même. Un jour, un tydale merveilleux, fantastique...non, je m'arrêterai là, je ne trouve mes mots pour le décrire, m'a transmi la bonne parole, la vraie parole.
Autant ne pas tourner autour du pot, je souhaite en faire de même.
Bien tendrement... | |
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