Les pensées sombres
Horloge du Luth

Pensées inutiles

exorciser le rien
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Sujet lancé par Umbre
Le 25-11-1507 à 06h56
421 messages postés
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Posté par Agliacci,
Le 30-05-1512 à 15h54
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Fontanas

Le Merakih 6 Astawir 1511 à 14h03

 
Un nez sain dans un corps sain!

Fontanas, marchand de comptoir d'Arameth, Forgerêve invétéré maître en armes, armures, bijoux et autres merveilles

La vie, on est toujours à pester contre elle et quand elle nous quitte, on râle.

 
Takeon Cumulos

Le Merakih 6 Astawir 1511 à 14h58

 
« Un corps sain n'est pas corset. »



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Takamaka

Le Merakih 6 Astawir 1511 à 15h01

 
Et un esprit sain n'est pas un sim-ple d'esprit.


L'Exploratrice.

 
Agliacci

Le Julung 21 Astawir 1511 à 00h55

 
Il est passé par ici, il repassera par-là...

Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Agliacci

Le Matal 3 Manhur 1511 à 22h39

 
Pourquoi ces airs si sérieux ?

Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Antiorn

Le Merakih 4 Manhur 1511 à 15h47

 
À cause du silence de pierre tombale, pardis !
Si c'est pas sérieux, ça !

Et puis comme dirait l'autre:

" La parole est d'argent et le silence il dort. "

N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Agliacci

Le Sukra 7 Manhur 1511 à 19h36

 
Il lui était impossible de ne pas déranger les mots dans la propriété de leur sens.

Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Kalistara

Le Sukra 7 Manhur 1511 à 21h50

 
La pensée se veut vagabonde et inutile....le futile n'est certes pas une fin en soi mais ils est des moments où cela est un passage nécessaire!

Mage au Limonaire

 
Cydine

Le Sukra 14 Manhur 1511 à 14h01

 
Mon coeur s'écoule au fur et à mesure que mes larmes sèches s'insinuent.

 
Antiorn

Le Luang 16 Manhur 1511 à 18h28

 
Assécher la mer morte.

N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Takeon Cumulos

Le Luang 16 Manhur 1511 à 21h03

 
« Je vais lui faire cracher du sang à cette sale... Ooooh ! Peuh ! »



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Elyane

Le Matal 17 Manhur 1511 à 00h48

 
*** Enjouee ***


Oui?


 
Agliacci

Le Merakih 18 Manhur 1511 à 18h12

 
Trois allumettes, une à une allumées dans la nuit
La première pour voir ton visage tout entier
La seconde pour voir tes yeux
La dernière pour voir ta bouche
et l'obscurité toute entière pour me rappeler tout cela
en te serrant dans mes bras.


Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Antiorn

Le Julung 2 Jayar 1511 à 22h40

 
Et si une simple pensée, une simple note vagabonde, un simple sourire, pouvait influencer le Destin d'un monde entier ?

N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Takeon Cumulos

Le Vayang 3 Jayar 1511 à 08h16

 
« Alors je dirais... Quarante-deux. »



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Osaï

Le Vayang 3 Jayar 1511 à 09h09

 
"Et Un blanc !"

Enluminure - Alchimie - Enchatement - Sortilège d'arkan et Anarkan

"Faire chou blanc" voilà l'expression de ma naissance.

 
Marei

Le Luang 6 Jayar 1511 à 02h15

 
La Serviette, la Serviette!

 
Takeon Cumulos

Le Luang 6 Jayar 1511 à 15h42

 
« Oh ! Vous me déprimez de toutes façons... »



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Marei

Le Merakih 15 Jayar 1511 à 05h58

 
Une main froide sur mon crâne glacial.
Voilà que s'ouvre la cage, dévoilant l'horreur.
Une gélatineuse bouillie qui aurait mieux servi.
De repas aux indigestes que de pensées aux poètes.

Une pensée exclue et fanée qui n'a plus de nom.
Que celui de son auteure profanée.
Qui d'hier ou de demain ne sait plus rien.
Distinguer ou reléguer. Oublier ou relarguer.

Profanée, désuète.

Telle est la mort pour l'oublié.


 
Agliacci

Le Julung 16 Jayar 1511 à 17h27

 
Les lunes étaient sereines et jouaient sur les flots.

Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

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