Les pensées sombres
Journaux de missions

Artéfact : le Poinçon

Page [1]
Détails
Sujet lancé par Takamaka
Le 20-03-1512 à 22h23
1 message posté
Dernier message
Posté par Takamaka,
Le 20-03-1512 à 22h23
Voir
 
Takamaka

Le Matal 20 Marigar 1512 à 22h23

 
Il est temps de vous tenir informer de mes recherches sur l'Artéfact le Poinçon.

Inutile de me demander qu'elle est ma source concernant les informations que je vais vous dévoiler ci-après.

"Ces évènements se sont produits dans la plus grande discrétion. Nous étions loin de nous douter que se soient des confrères qui aient agit ainsi, et ils avaient le bénéfice du doute jusqu’à ce que l'un d'eux se pavane avec l'épée en comptant sur le fait qu'elle nous soit invisible pour ne pas réveiller nos soupçons et les confirmer. Seulement, une symbiosée a pu la voir cette arme, et l’identifier alors qu'ils étaient au pied du mur face au Tark'nal !

Ces... confrères... se sont alliés aux pires ennemis de Syfaria pour qu'ils détournent notre attention en s'en prenant à notre bien le plus précieux, nos enfants !

Il y a plus de deux ans, ont eu lieu l'attaque d'Utrynia et l'enlèvement de deux anja's au cœur même de la Ruche. L’attaque de koprocles et d’assulters aux portes de la cité se révéla n’être en fait qu’une diversion destinée à détourner l’attention des gardes. Pendant ce temps, les deux enfants se faisaient enlevés par un Furyan et des tydales grands, vieux et mâles selon la description des enfants. D’après les enfants, le Furyan et le chef des tydales se parlaient dans une langue étrangère comme deux amis, et ils avaient également enlevés un tchaë du Matriarcat avec eux.

On retrouvera plus tard sur le lieu de l’enlèvement alors incendié, des sardoines… la monnaie de la confrérie, et nous en retrouverons également dans la bourse du commandant koprocles. Nous avions par ailleurs observé à peine quelques jours avant les enlèvements la présence d'un vieux tydale mâle portant les emblèmes de la confrérie des Six, une horloge stylisée en l'occurrence, sur son armure, rôdant en Utrynia, comme en repérage.

Ces preuves nous permirent de faire le lien entre l’attaque et la confrérie. Mais le pire reste à venir, car tout ça n’était en fait qu’une autre diversion pour leur laisser le loisir d’enlever ce qui les intéressait vraiment : L’arme personnelle d’Ylimidian le Garde des Morts tchaë symbiosé. Il avait déjà été interrogé par le passé sur cette arme, mais se contentait de dire que c’était une œuvre d’art et que jamais elle ne servirait à trancher…

Quand nous libérâmes les enfants, nous comprîmes que le Tchaë du Matriarcat enlevé n’était autre qu’Ylimidian. La traque commença pour le retrouver. Comme par hasard une caravane confrère venait de prendre le large à bord d’un transport Nemen et étrangement avec une lourde caisse selon les danses lames. Cinq tydales mâles portaient cette caisse. En parallèle, les visions astrologiques de Shyama nous apprîmes qu’un tydale qu’elle appelait "Yeux de Mer", au service de la Confrérie des Six, avait enlevé Ylimidian ainsi que son épée, qui n’était autre qu’un artefact convoité par la confrérie. Dans la vision de Shyama, Ylimidian aurait été dans l'obscurité, comme enfermé dans une lourde caisse.

Plus tard, la nemen symbiosée Varoga reconnue l’épée comme étant le Poinçon, artefact légendaire, lorsqu’on lui a eu décrit. « Yeux de mer » se révéla selon la vision de Shyama être un chuchoteur, ces assassins qui cherchent les six artefacts.

Kaliss apprit du Furyan avant se mise à mort, lorsqu’elle lui présenta une des bourses contenant les sardoines, que nous savions désormais qui était notre véritable ennemi et que c’est par la monnaie qu’ils communiquaient avec les ravisseurs, cette révélation semblait l’amuser. Nous comprenions désormais pourquoi les sardoines étaient utiles aux rejetons.

Ni une, ni deux, nous envoyons une expédition chez les Confrères pour enquêter. A notre arrivée à la station d’arameth, les gardes nemens en faction nous apprennent qu’ils ont eu vent d’une alliance entre poussiéreux et rejetons. Ils reconnaissent les tydales décrit mais dit qu’ils se sont éloignés de la route principale en s’enfonçant dans le désert. Ils étaient pressés mais la caisse était légère à la façon dont ils l’a portaient. Nuls doutes qu’ils s’étaient débarrassés du Tchae et qu’ils camouflaient l’épée dans la caisse.

Après une enquête plus approfondie à la station Nemen, nous apprenons que l’une des cabines de bain a été retrouvée défectueuse et que de l'acide, ou un produit fort corrosif, aurait été employé dans cette baignoire...
Nous comprenons alors que le corps du garde des morts a été liquéfié. Les autorités confrères nous refusent l’accès à la cité, notre commission d’enquête se trouve face à un mur qui ne donne ni réponse, ni soutien, ni même la simple opportunité de pouvoir enquêter ou poser quelques questions aux citoyens d’Arameth.

L’histoire s’arrête là, jusqu’au jour où ironiquement les confrères nous ouvrent leur porte pour combattre le Tark’nal et où Aliundil se sert de l’épée et que l’artefact est identifié et ce, aux yeux de tout Syfaria.

Non seulement les assassins étaient donc bien des confrères mais il s’agissait également des hautes instances confrères !

Voilà pour la première partie de cette histoire.




L'Exploratrice.

Page [1]
Vous pouvez juste lire ce sujet...