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« Oui, oui !
Nous sommes morts, nous sommes décédés, finis, et trompés. Oui ! Oui ! La Confrérie se lâche aux réparations du massacre. Elle se libère du joug des infâmes envahisseurs. Aujourd'hui, nous avons remporté une victoire sur les dangers de Syfaria. J'ai entendu dire que les étoiles étaient tombées. En sortant de l'hôpital, à ce jour, je me sens... Vivant ! Et peu m'importent les étoiles ! Peu m'importent ! Car oui. J'ai mourut ! Et j'ai aidé. Et cette aide, futile soit-elle, fut celle d'une arme. J'étais là, je peux le dire ! Oui ! Je peux dire que j'étais là à aider la Confrérie. Et je déplore les drames qui me ressemblent.
Je remercie également le Maire, qui a sut gérer avec efficacité tout nôtre attirail dans le sens positif de la chose. L'Ennemi Amical, Edoar Edaregord, fut de la scène également et il se trouve qu'il permit la victoire de son côté. Bravo ! Bravo ! Je vous aime ! Mais les choses ne sont pas finies. Nous sommes sur l'étude, sur la quête d'informations. Oui nous y sommes ! Nous nous étions engagé dans ce combat, empli de questions, et nous en sortons rempli comme jamais d'interrogations. Un mal pour un mal. Mais ce fil n'est pas là pour pleurer les morts et signer le glas de nos ennemis. Ni même pour établir la situation actuelle des choses actuellement en discussion. Non !
Je suis ici pour réclamer notre dû, à nous, qui sommes tombés. A nous, que vous délaissez. Je suis venu proposer ma candidature au titre de... JUGE ! »
Le Consensus se vide tout à coup.
« Mais... Ne partez pas nom de nom ! La Confrérie a besoin de moi ! Je suis une pièce nécessaire à son engrenage. Car avec la destruction des Faubourgs, ce sont les réfugiés qui s'étaleront dans les rues. Et nous savons tous que la population des Faubourgs n'est pas à désirer pour la Perle. La ville croulera sous la criminalité d'ici demain si personne ne s'occupe des affaires. Surtout lorsque j'apprends que le Poinçon retourne toujours dans ses dossiers passés, délaissant l'avenir de notre Confrérie.
Je peux faire mes excuses à celles et ceux que j'ai blessé. A celles et ceux que j'ai indigné dans mes actions précédentes. Ha ! Vous voilà bien fiers ! Les excuses du Cumulos. Mais je suis piètre. Je suis votre serviteur et mes intentions n'étaient jamais plus que celles de vous servir, Poinçon, Confrérie, Confrères, Consoeurs. Je tiendrais compte des leçons du passé. Et j'espère qu'il en sera de même pour vous !
Le maillet me manque, triple sot !
Je suis faible avec ce marteau. »
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