Les pensées sombres
Horloge Générale

Nouveaux Symbiosés

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Sujet lancé par Umbre
Le 20-02-1508 à 19h08
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Posté par Larak,
Le 06-07-1512 à 12h09
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Achara Edaregord

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 17h53

 
Par les Six, mais cessez donc de nous rebattre les pensées avec ce principe désuet issu d’une moralité stérile.

L'Honneur ? Je vous en prie… Cela fait bien longtemps que nous l’avons monnayé.
C'est trop lourd, trop encombrant et surtout, beaucoup trop ennuyeux.

Préférez-y le Panache.
Parce que c'est bien plus beau lorsque c'est inutile.


Voudriez-vous me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici ?
- Cela dépend de l’endroit où tu veux aller, répondit le chat.
- Peu importe l’endroit… dit Alice.
- Dans ce cas peu importe la route que tu prendras.

 
Jemori Colcook

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 18h37

 
Triste ?
Vous trouvez cela triste ?
Dans ce cas. Cela sera triste.

Quant à cette seconde chance.
Une fois que vous aurez perdu votre temps avec d'autres Horloges.
Par exemple le Vitrail. Qui n'a pas de véritable raison d'exister étant donné qu'il s'agit d'une Horloge de marchands, dans une Faction de marchands où nous sommes tous des marchands. Ou le Limonaire, qui annonce la couleur d'emblée de part son appellation "Limonaire". Ou les autres.

Eh bien une fois votre temps gaspillé à ces jeux futiles, alors peut être reparlerons-nous de cette seconde chance.
En attendant, amusez-vous bien. Vous avez l'air aussi joueuse qu'habile, et cela vous aidera grandement à vous faire une place.


Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.

 
Nay Saniden

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 18h39

 
C'est normal qu'un diplomate, un marchand ou un artiste voit les choses ainsi. Mais si personne ne respectait un minimum de principes, ce serait le chaos et l'efficacité de nos confrères en serait elle-même diminuée. Je suppose qu'il faut aussi des confrères qui tiennent à ce genre de choses et à les faire respecter, d'après ce que le Grand Chambellan m'a expliqué de la fonction du Poinçon. Honneur ou loi... Chacun met son honneur où il veut de toute façon.

Mais je ne suis symbiosé et confrère à la fois que depuis peu, j'ai encore beaucoup à découvrir en effet sur l'âme de la Confrérie.

Notre nouvelle symbiosée aura au moins une autre possibilité dans celles qui lui sont offertes.


 
Marei

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 19h02

 
Ne me dites pas que l'apparence de moralité et d'honneur ne facilite pas l'échange avec certaines contrées plus puristes et droites?!

Et puis, le panache n'exclut pas l'honneur... enfin, il y a de nombreuses définition à ce qu'est l'honneur. Sauver la veuve et l'orphelin n'est pas de mon apanage. Pas plus que d'aller à l'abattoir sous prétexte de respecte quelque principe ou quelque promesse.

Il y a honneur et intelligence. Il ne faut pas sombrer dans la sottise!

Mais accepter immédiatement un pot de vin envoie le mauvais message.

Tout a un prix. Mais tout prix n'est pas monétaire.


Une offre, ici, m'a paru bien intéressante. Mais j'attends de voir si d'autres sauront me gagner.


 
Takeon Cumulos

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 22h09

 
« Oui, oui...
J'aurais bel et bien une offre pour vous :
Taisez vous et entrez dans le rang.
Hihihi ! Hem...

Ces bande de chiens galeux veulent souiller votre chaire Marei.
Et cela semble vous amuser.
Beaucoup.
Moi pas.

Alors... Chut !

Teeeeeup !
J'ai dit : Chut !
»



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Marei

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 22h55

 
...

Cher confrère, sauf votre respect, j'ai peu de leçons à recevoir de qui refuse de s'engager à servir une horloge.


 
Osaï

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 23h36

 
Il a au moins l'honneur d'acheter une liberté de parole...

Mais vous... Oui Vous....vous offrez votre "futur discours" policé et endoctriné à qui? A quoi?

Confrères et consoeurs ... Admirez la... Car la voilà, celle que vous attendez tous...

...Une consoeur monnayable...



Enluminure - Alchimie - Enchatement - Sortilège d'arkan et Anarkan

"Faire chou blanc" voilà l'expression de ma naissance.

 
Edoar Edaregord

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 23h37

 
Ma chère, je ne suis pas devin mais si j'étais vous, j'empocherai ma mise avant que l'intérêt ne retombe... J'ai d'autant plus de liberté à en parler que le Limonaire ne participe pas à l'enchère.

Après je me garderais bien de vous dire comment diriger vos affaires mais à trop vouloir empocher on en a vu beaucoup tout perdre.

Au fait Antiorn, comment êtes vous au courant pour les Tchaes ?


~Edoar Edaregord œil du poinçon~
Frère de la superbe nelda célibataire qui a gagné le concours de poésie d'Arameth


 
Marei

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 23h40

 
Je n'ai aucune crainte, Chambellan du Calligramme. Ma décision tombera demain.

Vous conclurez, Chambellan de l'Arcane, lorsque vous connaîtrez ma décision. Car avant cela, je trouve votre discours prématuré.


 
Osaï

Le Merakih 16 Fambir 1511 à 23h45

 
Ma conclusion? Vous m'ennuyez!

Enluminure - Alchimie - Enchatement - Sortilège d'arkan et Anarkan

"Faire chou blanc" voilà l'expression de ma naissance.

 
Cydine

Le Julung 17 Fambir 1511 à 00h26

 
Que de belles pensées, que de brillants esprits...
Se déchirant pour engager une Jolie. Potentielle talentueuse. Assurément aventureuse...

Vous voulez des enchères : je m'y lance de la plus triviale des façons. De celle qui fonde notre Faction...
L'argent. Car où que vous vous engagiez, les sardoines seront finalement votre Religion.
Comme pour nous tous, faux incroyants et vrais rapaces...
Décriez mes méthodes, ignorez le Vitrail. Où que vous signerez, vous en reviendrez au Commerce.
Car le beau Jemori a raison. Nous sommes tous des marchands.
Comme nous sommes tous des artistes.
Tous des juges et des chercheurs...
A notre façon.
Laide et incessante...

Je suis le Fondement.
Triste et condamnée.
Sans guère de prétention..
Mais eux ? Fioritures !
A peine plus qu'une cloche dorée sur une Flamme rageuse...

Alors, ma Belle, jetons ces mots en l'air et regardons les choses en face.
Vous finirez couchée. A courir après une réussite qui n'aura de concret que l'or que vous pourrez amasser.
Ou la renommée que vous arriverez à empocher. Savoir bien chanter ou connaître le mélange des plantes ?
Peu d'importance. Vous serez forniquée par votre ambition ou mangée par vos charmes.
Votre avenir ? Sur le dos, assurément.

Vous reniez le Vitrail ? Vous reviendrez au Vitrail.
Que vous finissiez Diplomate ou Jongleuse, Bijoutière ou Exploratrice, vous êtes de toute façon foutue.
Regardez : vous vous prostituez déjà.

N'y voyez pas d'insulte. Je n'ai cure de votre bonheur, de votre honneur et seul le défi de vous noyer de mes petites mains blanches dans nos tréfonds obscurs me grise ici.
En cela, ne considérez ma précédente intervention que comme un juteux raccourci.


 
Marei

Le Julung 17 Fambir 1511 à 04h16

 
*** Marei sourit. Et cela transparaît dans sa pensée. ***


Ah, voilà que je reconnais mieux la voie marchande!

Cependant, il est trop tard. L'aurore commence à poindre. J'ai annoncé demain. Le levé imminent de Maelia annonce un nouveau jour.

Nous sommes tous commerçants, certes. Certes. Je l'ai même démontré, car ce jeu était du commerce. Et il constituait également un test. Pour mieux connaître les représentants que chaque branche, ce qui me permet du même coup de trouver la mienne.


*** La voix devient plus sérieuse. ***


Cydine, vous m'avez démontré que la voie du Vitrail est trop claire, trop crue, trop prévisible. Elle manque de subtilité, de finesse. Elle ne m'intéresse donc pas.

Chambellans de l'horloge du Limonaire, vous n'avez pas tenté de me convaincre. Néanmoins, j'ai des intérêts pour les arts mystiques. Inavoués, il est vrai. Mais je ne m'y sens point compétente. Je crois que vous auriez perdu votre temps à m'enseigner l'art des arcanes. Cela ne coule certainement pas dans mon sang. Mais je puis me tromper.

Représentants de l'horloge du Suaire, vous ne vous êtes pas manifestés. Ainsi soit-il.

Représentants de l'horloge du Poinçon, votre rigidité m'étouffe. Je puis apprécier le défi, mais celui là me révulse.

Achara, Antiorn, je pense que le Luth doit être fier de vous. Originalité et symbolisme. Voilà qui est très intéressant. Je suis très tentée par vos offres respectives (quoique la première est plus alléchante que la seconde). Cependant, je me la garde en réserve.

Chambellan Colcook, j'ai retrouvé dans vos pensées l'essence même de la diplomatie. L'essence de la rhétorique, du verbe. Et puis, si confiant que votre produit était le meilleur, celui répondant aux aspirations de votre acheteur que vous n'avez même pas tenté de le dissuader d'aller voir la concurrence. Et vous aviez raison. Car mon amour était avoué pour le Luth et, finalement, n'importe quelle offre n'aurait pu me faire aller ailleurs.

J'espère que vous avez capté mon message, car mon choix est fixé.
Et dans tous les cas, c'est bien le Luth que je rejoindrai.


 
Larak

Le Julung 17 Fambir 1511 à 10h38

 
*** Un éclat de rire résonne dans vos esprits ***


Voilà qui est fort amusant! Faites attention à vous car à trop tester les choses il arrive que l'on perde tout.

Ainsi votre manière de conclure la chose donne un pouvoir inestimable au Luth.

Citation :
Car mon amour était avoué pour le Luth et, finalement, n'importe quelle offre n'aurait pu me faire aller ailleurs.


Voilà de bien dangereuses paroles que le marchand que je suis se serait empréssé de retourner contre vous.

Je n'appartiendrais donc pas à votre horloge et libre à vous d'accepter la leçon suivante:
Mesurez vos paroles car tout le monde n'a pas la même préocupation que vous de son "honneur"!

Je m'en retourne à mon métier dénué de finesse mais pourtant si amusant! Bonne contination à vous consoeur!


Larak, Tailleur d'Arameth, à votre service!
Découvrez mes créations en suivant le fil des pensées dédiées au Vitrail!!

 
Fontanas

Le Julung 17 Fambir 1511 à 11h07

 
Contrairement à la pensée précédente, la pensée semble pour le point agacée!

Argh, mais qu'est ce que je perçois dans mon esprit! Tant de temps, de paroles et d'efforts consentis pour s'intéresser à une nouvelle venue et j'apprends comme mon chère confrère Larak que le choix était scellé avant même que le rideau ne s'ouvre !

A quoi bon négocier, s'échiner à faire valoir son horloge quand les dés sont jetés.

Entendez moi car je ne le dirais pas souvent mais cette fois ci, je suis presque d'accord avec avih Colcook... En vailiez vous vraiment la peine...


Fontanas, marchand de comptoir d'Arameth, Forgerêve invétéré maître en armes, armures, bijoux et autres merveilles

La vie, on est toujours à pester contre elle et quand elle nous quitte, on râle.

 
Minak Arkhor

Le Julung 17 Fambir 1511 à 11h41

 
Si si le Suaire c'est manifesté, mais on ne mélange pas les torchons et les serviettes, je vous voyais mal en extérieur vous faire poursuivre par un braxat en rut.

Bonne continuation !


Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Nay Saniden

Le Julung 17 Fambir 1511 à 15h14

 
Bonne continuation consœur Marei, je suis content que vous ayez confirmé votre intérêt pour une voie précise car on ne sert jamais mieux ce qu'on aime.

Mais je regrette en même temps que vous n'ayez pas vu en quoi consiste réellement notre travail. Dans la Confrérie, faire respecter la loi demande justement à mon humble avis peu de rigidité et beaucoup de subtilité. Avant de régir quelque chose, ou d'aider ses supérieurs à le régir, il faut déjà le comprendre. C'est sur ce point que votre candidature était intéressante, car vous avez l'air d'une personne ouverte.

Je suis sûr que vous comprendrez ce que je veux dire si vous devenez bien diplomate, une fonction qui plus que toute autre demande de la compréhension et de la finesse.


 
Takamaka

Le Julung 17 Fambir 1511 à 15h33

 
Bon courage Chambellan Colcook !!!



L'Exploratrice.

 
Edoar Edaregord

Le Julung 17 Fambir 1511 à 16h08

 
Répondant à la pensée sérieuse de la jeune tydale d’un ton tout aussi sérieux.

Bien après le réconfort, passons à l'effort.

Consœur Marei, je vous félicite, vous avez su percer à jour et résumer l’essentiel de la Confrérie en deux petites journées.

Saluons au moins cette prouesse.

Dire que certains dans Syfaria pensent que les Confrères sont des gens compliqués...

Mais peut-être que vos parents vous ont longuement parlé des principaux Confrères symbiosés et que vous arrivez en terrain connu. C’est toujours une possibilité…

Maintenant, puisque vous vous permettez de façon assez péremptoire de juger et cataloguer vos petits camarades et les Horloges associées, permettez-moi de vous retourner la pareille.

Votre assurance initiale et votre introduction furent une grande réussite. Vous avez su intriguer et enthousiasmer. Hélas, la façon dont vous avez décrété et mené votre « enchère », me semble bien moins brillante… Et si je devais juger la prestation globale, je serais bien moins dithyrambique.

Rejoindre un consensus, une Horloge demande certes de l’assurance, mais également du doigté.

Ce n’est pas parce qu’un membre d’une Horloge, quel que soit son grade, vient gentiment vous faire de l’œil sur le Consensus pour marquer son intérêt qu’il attend le soir, désespéré, que Marei rejoigne son cadran en menaçant de s’ouvrir les veines.

Pour prendre le cas de mon estimé collègue de la Diplomatie, je peux vous dire qu’il règne sur la diplomatie de notre faction pratiquement seul, d’une main experte depuis des cycles et qu’il n’attend plus vraiment l’arrivé d’un quelconque messie hormis peut-être l’Horloger…

J’ai aussi particulièrement apprécié le chapitre dans lequel vous expliquez à ma sœur et à ce cher Antiorn que leur Horloge doit être fière d’eux… Je pense que votre avis est ce qui leur manquait pour qu’ils puissent enfin s’épanouir dans leurs arts respectifs.

Enfin, je peux vous dire que vous avez agacé au moins deux chambellans. Mon confrère Osaï qui l’a assez rapidement exprimé et moi-même qui finit par trouver que vous avez un melon de la taille de Maelia, pour reprendre une de vos références.

Quant à nos amis du Vitrail et du Poinçon, nous verrons combien viendront à la fête d’avihia l’ambassadeur.

Je ne sais si vous obtiendrez une place de Diplomate rapidement, mais avec une telle approche je ne serais pas surpris que vous deviez un peu patienter avant d’obtenir ce que vous semblez imaginer couler de source.

Bien entendu, je ne prétends pas parler à la place du chambellan Colcook et je peux me tromper… Mais sait-on jamais ?

Du coup, je vous renouvelle mes salutations les plus sincères car je pense que vous avez du talent, mais je vous incite aussi à une plus grande prudence. La Confrérie n’est pas un endroit sympathique où l'on fume de la carnine toute la journée. J’en veux pour preuve que la personne que vous avez si vertement rabrouée, Avih Cumulos, était il y a encore peu notre Juge…

Et qu’il n’est pas vraiment libertaire par choix à l’heure où nous parlons.


~Edoar Edaregord œil du poinçon~
Frère de la superbe nelda célibataire qui a gagné le concours de poésie d'Arameth


 
Agliacci

Le Julung 17 Fambir 1511 à 16h58

 
Cydine, sombre délice, quand m'épouserez-vous donc ?...

Sérieusement. Avihia Marei, avant que ces rapaces ne vous lacèrent pour de bon : Il m'arrive de verser dans la peinture. Et je suis toujours à la recherche de modèles.
Juste comme ça, en passant pour le plaisir de passer...


Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Marei

Le Julung 17 Fambir 1511 à 17h52

 
*** La pensée est posée. ***


J'ai dû mal m'exprimer.


Mes confrères, mes réflexions ont évolué au cours de ces échanges. Et si j'en conclus ce que j'en conclus aujourd'hui, c'est bien que j'ai songé à vos offres. Mais j'en ai compris, au final, que mon amour était là où je l'avais admis et non ailleurs. Les paroles du chambellan m'ont fait voir qu'en effet, si j'avais un intérêt pour le vitrail, le commerce était dans le sang de tous les Confrères et toutes les Consoeurs et que s'engager dans une voie ne m'empêcherait de poursuivre dans celle-là. Et certainement aussi que ses paroles m'ont fait prendre conscience qu'au final, je pourrais bien accepter une offre, mais qu'en ne suivant pas mes propres préférences, cela serait malhonnête et trompeur. Et si je ne rechigne généralement pas à user de tromperie lorsqu'il est question de commerce, je croyais devoir ce respect à mes semblables. C'est pourquoi j'ai préféré refuser vos offres plutôt que de vous voir déçus dans 2 mois que votre nouvelle protégée ne s'épanouisse et ne fournisse, finalement, les talents tant espérés.

C'est humblement que j'écoute vos pensées. Nous avons tous à apprendre et je suis la première à l'admettre. D'autant que le choix des mots est fondamental pour qui veut joindre les rangs de la diplomatie.

Je vous remercie tous de votre intérêt.


Aggliaci, cela me fera plaisir. Êtes-vous dans les environs d'Arameth?


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