Les pensées sombres
Horloge Générale

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Sujet lancé par Umbre
Le 20-02-1508 à 19h08
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Posté par Larak,
Le 06-07-1512 à 12h09
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Petrorius

Le Sukra 14 Nohanur 1509 à 19h31

 
Monsieur, je suis votre obligé serviteur.

Vous êtes le bienvenu, en tant qu'homme de lettres, en tant qu'artiste, ou que patient.
Je reçois d'ordinaire à mon cabinet, mais ce dernier est un écrin trop quelconque pour un esprit fin. Aussi serait-il plus judicieux de vous inviter au Châtelet. Exercer dans un cadre agréable ne gâte rien.

J'ai choisi le contexte, vous choisirez l'heure.
Ma rationalité implacable, votre indomptable folie...

Cela promet.


Docteur Petrorius.
Médecin. Arracheur de dents. Aliéniste.
Sur rendez-vous.

 
Aliundil

Le Dhiwara 15 Nohanur 1509 à 03h42

 
On rêve déjà de toucher le zizi qui se cache derrière le Masque à ce que je vois - enfin, ce que je pense.
Hé bien, ça, ça promet. Je dis ça bien sûr, je dis rien.


Se suffire, c'est être puissant.

 
Petrorius

Le Dhiwara 15 Nohanur 1509 à 20h28

 
Un zizi derrière le masque ?
Vous êtes sûr ?


Pause

Par exemple.

Pause, toujours

Tout s'explique.

Docteur Petrorius.
Médecin. Arracheur de dents. Aliéniste.
Sur rendez-vous.

 
Jhereg

Le Matal 17 Nohanur 1509 à 22h11

 
Dire que certains osent me reprocher de ne pas prêter assez attention au Consensus..

JHEREG ADELAÏ

Si "loi" s'écrivait au masculin, plus personne n'aurait envie de la violer.

*burp*

 
Antiorn

Le Matal 17 Nohanur 1509 à 22h20

 
Si si ! L'histoire s'y joue prévôt ! L'histoire s'y joue !

N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Agliacci

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 05h32

 

Cette pensée anonyme possède des accents suaves, rauques, précipités.

Oh, ma très chère confrérie, que ne m’as-tu conté plus tôt la joie que l’on ressent en faisant face à cet être au nom ingrat, que nous autres nommes mous ! Sa nature entière ne fait qu’attiser ma curiosité...

…Mais je m’égare ; excusez mes pensées vagabondes, et permettez-moi de vous soutirer quelques précieux instants afin de me présenter.

Le ton se fait plus modéré.

Mon nom est Agliacci LeFol. Certains, disons, saumâtres personnages ou vieilles connaissances (dont j’ose espérer que vous ne feriez pas partie), vous diront que je suis, ou étais, femme de ménage, modèle de peintre, cuisinière, serveuse, et vous parleront encore de travaux moins seyants que j’ai pu accomplir. Les rumeurs ne parlent que lorsque leur centre d'intérêt se tait. A vous, je peux le dire : mon unique maître est le théâtre, et plus précisément, la Tragédie, et tous les sacrifices que j’ai pu consentir pour le pratiquer en toute liberté ne sont que d’autant plus d’inspirations à mon humble psyché.

Je…disons qu’il me serait difficile de m’expliquer sur mes motivations. Il y a, pour moi, comme une sorte de lien indissociable entre cet art de la vie et les réponses que je cherche, un lien qu’il serait possible de remonter, de comprendre, en peignant l’individu à sa source, dans sa vérité la plus nue...au creux de son âme, là où les artifices ne sont plus. Folie, me direz-vous ? Je vous répondrai que nous sommes tous un peu fous.

Mais je vois que je m’égare encore, pardonnez mes déambulations psychiques, sûrement causés par ma toute récente symbiose.

Il y a une pause aux arrière-goûts de réflexion.

J’ai rejoint la belle cité de sel il y a peu, à la fin d’un bien long voyage, en ne pensant qu’à une chose : vous autres, confrères. Je souhaite rejoindre vos rangs et m’intégrer dans un de ces dispositifs…les Horloges. J’avoue être restée indécise, car si le Luth m’intrigue de toutes les fibres de mon corps, j’apprécie de chercher mon inspiration au plus près de sa source : débauche, ivresse, folie, beauté, voyage, paradoxe m’attirent, et les nombreuses questions que je tente de résoudre ne peuvent se dénouer sans voyages et recherches, qui sont plus propres du Suaire.

Voilà l’exposition, pâle et sobre, de mon indécision. Ah, ma prose est bien longue ; peut être que je pense trop. J’espère ne pas vous avoir ennuyé et demande vos conseils, chers amis,

Agliacci et Svev.



Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Minak Arkhor

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 05h35

 
Mouep bienvenue parmi nous pour faire court...

tu vas trouver ton bonheur c'est certain.


Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas.

 
Elyane

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 07h35

 
Ayashin consœur,
Félicitation pour votre symbiose. Mes pensées sont toujours ouvertes aux interrogations de tout poils. Votre pensée semble bien arrêté, je ne vous proposerais donc pas de rejoindre les rangs du Vitrail. Toutefois si la beauté, le plaisir et l'éveil des sens trouvent grâce à vos yeux, peut être me laisserez vous vous suggérer une visite de la Boite de Pandore. Vous pourriez sans doute trouver une source d'inspiration si ce n'est même une vocation.




 
Umbre

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 10h48

 
Agliacci LeFol ? Votre nom me dit quelque chose, mais j'ignore pourquoi.
Peu surprenant, en vérité, si le théâtre est votre vie car c'est la mienne également.
Peut-être ai-je lu votre nom, vous ai-je même croisé, du temps où j'officiais à la chancellerie de l'Art.
Peu probable, cependant, si vous venez fraîchement de nous rejoindre.

Quoiqu'il en soit : Ordinant Umbre, pour vous servir, dramaturge et comédien... Entre autre.
L'actuelle Chambellan de l'Art, Achara Edaregord, saura vous renseigner sur le Luth et contredire votre pensée :
Notre Horloge n'est pas exempte de voyages et de recherches; ce n'est pas là la chasse gardée du seul Suaire.



Un visage est-il un masque de comédie posé sur la tragédie de l'âme ?

 
Edoar Edaregord

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 12h50

 
*** Une pensée vient tournoyer et est visiblement agacée d'arriver si tard.... ***


Bienvenue chère consoeur.

Je vois qu'une fois n'est pas coutume, j'arrive un peu tard sur le consensus pour vous saluer. Je laisserai ma soeur vous parler du Luth et de ses méandres, mais je ne peux que rejoindre notre estimé ordinant, quand il vous recommande de ne pas sousestimer la capacité du Luth à venir empiéter sur les centres d'intêret du Suaire...

Nombre de quêtes épiques ont commencés par une balade ou un poème....


Enfin, si un jour, vous aspirez à une vie plus sérieuse et studieuse la porte de notre manoir est toujours ouverte.

Amicalement


~Edoar Edaregord œil du poinçon~
Frère de la superbe nelda célibataire qui a gagné le concours de poésie d'Arameth


 
Petrorius

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 14h13

 
Mes hommages, Consoeur Agliacci

Je découvre le plaisir trouble d'accueillir aimablement une nouvelle personne en cette Agora, comme je le fus moi-même il y a peu.
C'est avec le sentiment du devoir accompli que je vous instruirai de mes premiers pas en ce lieu étrange, si vous souhaitez bénéficier de ma maigre expérience.
Quant à la folie qui, dites-vous, forge votre quotidien... n'hésitez pas à venir m'en parler.
Mon cabinet vous est ouvert.


Docteur Petrorius.
Médecin. Arracheur de dents. Aliéniste.
Sur rendez-vous.

 
Aliundil

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 14h18

 
Huummm...
Toutes ces nouvelles symbiosées à la voix suave...
Ça m'donne envie de rentrer au bercail, tiens !
Quoique... l'Chamb' Archess Ney est loin d'être dégueu' à mater.

Mais bref.

'Pas entendu chanter une mignonne pareil depuis notre regrettée Achara nationale et ça, ça fait plaisir.
Ouep, avec l'autre taré de Pterodactus... Retroprusse... Pitsburgus... bref, le Doc' quoi, chcrois que les Mous se décident enfin à taper dans le haut du panier.

Bienvenu en tout cas, ma biche.
J'espère juste que t'es pas la coco d'une Edhelle, d'une Lyth ou d'une Khadue.
Ça serait dommage. J'pourrais plus fantasmer.


Se suffire, c'est être puissant.

 
Achara Edaregord

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 16h48

 
La pensée est mutine.

Regrettée ? Comme vous y allez, Enquêteur ! Je n’ai pas encore rejoint l’Horloger, que je sache. Je suis toujours chantante, cher Œil, ne vous déplaise… Mais suis ravie de savoir que je peux vous manquer. J’avoue de mon côté ressentir parfois quelque nostalgie à votre exaspérante présence. Heureusement que vos pensées… lacunaires nous parviennent toujours, nous nous sentirions sinon fort abandonnés. Si, si, je vous assure.

Un silence.

Mais me voici à nouveau manquer à mes devoirs que sont les présentations dans les règles de l’Art.

La pensée disparait brusquement pour revenir en tintinnabulant.

Aysh’hinassa, très chère, c’est un plaisir d’accueillir un nouvel esprit empli de Folie… Rassurez-vous, vous n’êtes plus seule : nos pensées sont démentes et nos âmes dansantes, n’en doutez jamais.

Je me présente : Achara Edaregord, Chambellan des Arts et des Lettres au sein de l’Horloge du Luth… mais je ne vous apprends rien, notre pantin masqué m’a déjà dévoilée, coupant court à toute dramatique entrée… J’en suis désolée.

Enfin…


La pensée semble soudain plus sérieuse.

Vous me parlez Théâtre, Tragédie, Liberté, Inspiration, Art, Vérité… Des mots qui résonnent, échos symphoniques d’un instrument d’harmonie : le Luth, je n’en doute pas.

Mais vous voici indécise…

Contactez-moi donc. Je me ferais un plaisir de vous raconter notre Horloge. C’est un récit qui devrait vous plaire…


Voudriez-vous me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici ?
- Cela dépend de l’endroit où tu veux aller, répondit le chat.
- Peu importe l’endroit… dit Alice.
- Dans ce cas peu importe la route que tu prendras.

 
Agliacci

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 21h50

 
Cette fois-ci, les échos sont clairement malicieux.

Ravie de faire connaissance avec une compagnie aussi charmante que la vôtre, confrères et consœurs, et encore plus d’apprendre que les cloisons qui séparent vos institutions ne sont pas aussi fermées que je le craignais ! Votre présence psychique m’amènerait presque un sourire aux lèvres, dommage que vous ne puissiez le voir. Je vous contacterai bientôt, tintinnabulante chambellan.

J’ai entendu parler de la Boîte de Pandore…chère consœur… ? S’il est sûr que j’y trouverai inspiration, je doute d’y porter vocation : comme le sable, je file entre les doigts de ceux qui croient me fixer. Excusez-moi donc si je me ris d’études ou d’universités studieuses, quoique la pensée ne manque pas de… sel. Peut être, un jour, y songerai-je ?


Pause. La pensée revient, quelque peu songeuse, puis mutine.

Ordinant Umbre, mon sobriquet vous dit quelque chose ? Vraiment ? C’est flatteur ; mais comme vous le dites, il est bien peu probable que cela vienne de ma personne. A part si vous m’apprenez que les chambellans aiment à parcourir les bas-fonds et tripots de nos régions ! Non, vous avez dû un jour, entendre parler, peut être lire, une pièce méconnue dont mon sobriquet dérive. Il y est question de clowns. Mais ils ne sont pas très sympathiques. Bien trop comme nous. Si vous ne l’avez fait, je ne saurai que vous la conseiller, si par hasard l'ironie est à votre goût.

Ah…à peine arrivée, qu’on me propose déjà de me soigner ! Vous êtes un médecin entreprenant, confrère Petrorius, j’apprécie cette qualité. Ne dit-on pas que les grands esprits se rencontrent ? Quoique, on dit aussi que tout médecin se tourne vers la spécialité pour laquelle il présente lui même plus de défaillances ; et qu’on meurt plus des remèdes que des maladies. Hmmm...ça laisse à réfléchir.

Oh, Aliundil, j’allais vous oublier ! Je suis on ne peut plus d’accord avec vous : les Aramethiennes sont de loin les plus belles demoiselles que l’on peut rencontrer, avec tous mes respects, consœurs. Leurs cheveux flottants, leurs corps dorés et épanouis…peut-être ces dames seraient-elles moins promptes à l’amour saphique si les hommes les satisfaisaient mieux ? On m’a dit qu’il n’y avait que deux catégories d’hommes, la falaise et le sable…la dame est toujours l’océan.

Allez savoir.




|HRP : hmmm, je viens de me dire qu'il serait peut être bon d'informer d'éventuels joueurs métropolitains que, me tentant à l'autre bout du monde, je subis un décalage horaire d'environ 13H. Votre jour est ma nuit. ]

Comme si c'était la dernière fois. La première fois.

 
Aliundil

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 22h49

 
La dame est toujours l'océan ? Hum...
C'est sûrement pour ça que vozigands êtes toutes mouillées quand se dresse une fichue montagne.

Allez savoir...


PS : je dédicace ces vers à nos amis pouètes.

Se suffire, c'est être puissant.

 
Jemori Colcook

Le Dhiwara 22 Nohanur 1509 à 22h53

 
Tsss...

Quand il est question d'Art dans le sens 'englobant' et 'obèse' du terme, je vous l'accorde qu'en prêtant un minimum de crédit à l'ennuyeux principe -et surtout, entre nous, erroné- du rasoir d’Ockham, il est communément admis -oh que voilà une vilaine expression- que l'on dirige tous les miasmes d'esprits éveillés vers ma chère homologue, j'ai nommé -pas tout à fait, mais presque- Achara.

Soit, cela me convient.
Et puis cela m'évite la paperasse.

Mais quand il est question de Théâtre et du Jeu de l'Existence, pourquoi, je vous le demande -rhétoriquement parlant, car il est évident que nous connaissons tous la réponse éhontée qui siège dans vos esprits malsains- excluez-vous toujours mon petit cadran. Oui, j'ai dit petit, car il faut bien se rendre à l'évidence.

Ah non vraiment... Si en plus je ne suis pas aidé...


Sur le sujet, je ne rajouterai qu'une chose :
Oui, ma chère, allez donc vous consumer lentement sur les planches, cela vaudra toujours mieux que d'aller vous carboniser derrière une caravane. Quoi que vous me direz... Cela vaut-il sans doute aussi mieux que de sombrer instantanément dans le grand oubli en vous planquant dans mon ombre.


Quant à la raison du comment et du pourquoi Arameth se pavane de tant de sublimes femmes, il est évident qu'étant donné la qualité des hommes que l'on y trouve -pour certains- si elles voulaient en charmer un, elles ne pourraient être autrement. Que sublime, j'entends.



Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.

 
Achara Edaregord

Le Luang 23 Nohanur 1509 à 00h08

 
La pensée est malicieuse.

Ho ho, ma chère, méfiez-vous ! Les Chambellans a-do-rent littéralement trainer dans les bas-fonds et se frotter à leur délicieuse fange. C’est d’ailleurs l’endroit rêvé pour les y croiser à l’improviste, je vous assure…

Je me permets d’ailleurs (pendant que j’y suis) de réagir à vos propos concernant la gente féminine de notre cité. Je vous accorde volontiers les cheveux flottants et les corps épanouis (pourquoi pas), mais émets quelques objections sur les peaux dorées qui peuvent exclure celles de ma race qui n’ont pas encore rejoint les cohortes du Glabre. Et je peux vous assurer qu’elles sont légions !

Quant à ce qui est des plaisirs saphiques, très chère, je ne peux que vous conseiller d’être prudente avec les femelles neldas : elles sont tout aussi dangereuses que les hommes quand leur bestialité les rattrape… Mais peut-être est-ce danger qui vous plaît ?!

Bref…

La pensée se fait faussement grondeuse.

Cher Dandy Chambelliné, cessez donc. Vous êtes un vilain jaloux, c’est tout. Et cela vous apprendra à disparaître régulièrement sans prévenir personne tout en abandonnant honteusement votre ombre chamarrée. Je l’ai d’ailleurs trouvée qui errait dans le grand hall de l’Amphithéâtre visiblement esseulée... Elle doit encore vous y attendre. Quand songerez-vous donc à venir l’y récupérer ?


Voudriez-vous me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici ?
- Cela dépend de l’endroit où tu veux aller, répondit le chat.
- Peu importe l’endroit… dit Alice.
- Dans ce cas peu importe la route que tu prendras.

 
Jemori Colcook

Le Luang 23 Nohanur 1509 à 00h25

 
Lorsque cette dernière m'aura présenté ses plus plates excuses. Pas avant.

'Disparaitre sans prévenir personne'... Je ne savais point que mes fonctions m'incombaient la tache de devoir vous tenir au courant des mes faits et gestes. A moins que se ne soit là la simple expression de vos propensions à la maternité -surtout lorsque l'on sait comment vous choyez vos petits-. Auquel cas, je vous le prédis, il me sera difficile de vous appeler Maman.


Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.

 
Jemori Colcook

Le Luang 23 Nohanur 1509 à 00h26

 
...Quoi que...

Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.

 
Antiorn

Le Luang 23 Nohanur 1509 à 00h47

 
Allons, allons.... vous allez finir par lui faire regretter sa symbiose...

Dame Agliacci, pour faire taire les voix dans votre tête ne serait-ce que quelques heures, je vous recommande quelques bouffées de carnine et trois doigts de liqueur de cactus frelaté. Le goût est infecte et les cauchemars garantis, mais des fois, cela peut sembler des vacances...


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

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