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Le Dhiwara 1 Manhur 1511 à 14h55
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 | Excellente idée !
A ce propos, quand aux armes, il semble essentiel de bien insister sur un point : ne pas se disperser, choisir un type d'arme et si tenir, au moins dans un premier temps. Je me rappelle de certaines nouvelles symbiosées qui prétendaient manier toute d'arme. La symbiose permet de prendre plus de risques et donc d'acquérir plus d'expérience en un temps court. Et cela permet d’accéder à une maitrise des lames que l'on ne rencontre que chez les faucheuses non symbiosées de légende. La symiose rend une telle maîtrise accessible à tous mais cela prend du temps, même pour une fille du déclin qui servait déjà la Fatalisme avant sa symbiose.
Enfin, pour les protections, cela me semble très utile, il en existe bien des sortes, et je sais pour ma part que j'ignore l'existence de beaucoup d'entre elles.
Je terminerai par deux choses : je peux aider pour ce qui est des épées et des doubles lames. Je pense aussi qu'une toute nouvelle lame doit aussi savoir rester mesurée, et ne pas se tourner dans un premier temps vers les équipement les plus ardus à confectionner pour nos artisans : la mort arrive vite, surtout lorsque l'on est inexpérimentées. Et les armures s'abiment vite, aussi un passage par un pilier a vite fait de les détruire. Cela ne veut pas dire qu'elle doivent être mal équipée, mais qu'une seconde peau suffit parfois au début et qu'il faut parfois savoir patienter.
Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. » (Pascal)
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Le Luang 27 Fambir 1512 à 09h51
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| Soeurs du Fatalisme,
Je profite de ce sujet, excellente initiative de Seoane et trop longtemps délaissé, pour solliciter votre avis et vos commentaires éventuels sur mes propositions.
Mon propos s'articulera au moins en deux tomes : Les pas de la survie et Les enchaînements de mort. Chaque partie se verra accompagner d'éléments théoriques et de conseils pratiques afin que chaque liadha puisse y trouver du savoir.
Propos liminaires :
Danseuse sache que tu suis les pas tracés des générations innombrables de tes ainées. Si certaines choses ne peuvent s'apprendre et doivent se vivre, n'insulte pas leur héritage et ouvre toi à leur enseignement.
Si nous, les dignes filles du Matriarcat, sommes les plus fières et les plus puissantes guerrières de Syfaria, il nous faut apprendre à appuyer nos forces et minimiser nos défauts. Car nous sommes telles des lames : mortelles mais fragiles.
Et si une lame sert en étant aiguiser, elle n'est que gâchis si elle vient à rompre.
Gâchis pour l'artisan qui aura passer du temps et du savoir à la forger,
Gâchis pour notre faction qui ne pourra plus rien faire d'un bout de métal tordu.
Alors retiens ces paroles, qu'elles te guident tout au long de ta Danse :
1) Évite ce qui t'es opposé
2) Protège ce que tu n'as pu éviter
3) Endure ce qui n'a pu être protégé
4) Soigne ce qui a été enduré
1) Évite ce qui t'es opposé
On trouve deux moyens pour faire en sorte que le coup qui t'est destiné soit évité : l'esquive et la parade.
Si l'art de la parade m'est inconnu, tu pourras peut être obtenir des informations auprès de nos frères Les Gardiens malgré eux parmi lesquels certains mâles libres profitent de leur taille pour manier des armes de longue taille qui offre une protection supérieure et suivent plus souvent la voie du Protecteur.
L'art de l'esquive est lui inséparable de nos meilleures danseuses et fait corps avec la voie de l'Exécutrice.
Cet art est exigeant car comme la Danse, il ne pardonne pas l’approximation. Il te faudra souffrir beaucoup pour le maîtriser et le moindre objet de ton équipement mal arrimé pourra ruiner tous tes efforts. Cela peut être d’autant plus problématique que notre endurance est faible.
Il existe deux sacs qui pourront t’aider dans cet équilibre précaire entre équipement nécessaire et liberté de mouvement. N'oublie pas que ces deux sacs peuvent se combiner.
Sac
 Le plus petit des deux. Sa légèreté et son prix en font un achat indispensable très rapidement.
Grand sac de voyage
 Le plus grand, il permet de ranger un maximum d'objets pour un minimum d'encombrement.
Liadha, tu pourras attendre beaucoup de cet art puissant, mais sache qu’au final même ses plus parfaites maîtresses auront grande peine à éviter beaucoup plus qu’un coup sur deux. Il te faudra alors te remettre au deuxième adage.
Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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Le Luang 5 Marigar 1512 à 16h02
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| 2) Protège ce que tu n'as pu éviter
Liadha, il te faudra endurer car tout ne pourra être évité. Pour cela, tu chercheras à protéger ton corps, souple mais fragile, tout en préservant ton agilité naturelle. Ta tête aussi devra préservée de sorte à conserver en chaque instant ta capacité d’analyse et de réaction.
Le Corps
La seconde peau Tydale
 Une armure légère et parfaitement équilibrée qui ne gênera en rien tes mouvements, voici ce qui pourrait résumer cette armure qui constitue la base parfaite de la protection d’une coupeuse.
L’armure de cuir d’évitement – armure naturellement du premier cercle
 L’armure de cuir d’évitement est surtout privilégiée par les liadhas du fatalisme privilégiant les attaques de loin : archères et danseuses privilégiant l’art magique de l’Exécution, notamment la Lumière du Déclin. En effet, l’armure de cuir d’évitement rend son porteur flou à la vision d'autres personnes, rendant toute riposte plus difficile à mesure que la portée s’accroit.
L’armure de cuir liquide – armure naturellement du second cercle
 Véritable trésor, cette armure nécessite un artisan grande maîtresse dans l’art de la confection des armures. Sa capacité la plus connue est sa capacité à régénérer les blessures les plus graves. De ce fait, elle contribue aussi activement à Soigner ce qui a été enduré. Elle est aussi légère tout en offrant une protection accrue.
La Tête
Casque de honte
 Léger et offrant une protection mineure qui peut être améliorée par l’ajout de cercles d’enchantement.
Casque de la Vierge – objet magique naturellement du second cercle
 Ce casque offre une protection mineure ne pouvant être améliorée tout en rendant légèrement plus résistante sa porteuse à la magie.
Masque de cristal – objet magique naturellement du quatrième cercle
 Véritable trésor, ce casque est habituellement celui des Faucheuses et des autres guerrières de haut rang. Son secret de fabrication est jalousement gardé par le Matriarcat du Déclin pour son enchantement particulièrement complexe qui permet de donner à l'ensemble du casque une transparence de cristal. Mis à part une légère altération des sens -qui tend à énerver-, il reste un casque presque idéal, sa solidité légendaire et son incroyable légèreté faisant oublier bien vite ses défauts.
Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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Le Dhiwara 18 Marigar 1512 à 22h06
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| Carias, Je m'y remets de suite !
3) Endure ce qui n'a pu être protégé
Liadha, les meilleures protections ne pourront te protéger complètement des dégâts reçus. Il te faudra endurer encore et encore... Car si le D'Hapu nous a cruellement affaibli, nos ennemis eux restent forts et massifs. Ainsi seuls les plus faibles céderont à notre première enchainement et il te faudra donc y revenir et t'exposer à des ripostes sanglantes.
Pour améliorer notre résistance et contrer partiellement les effets du Driandel, il te faudra recourir à des objets magiques, deux anneaux en particulier, qui puiseront dans ta concentration.
La Pierre de vie – objet magique du second cercle
 La plus petite des pierres de vie. Elle est pourtant appréciée pour l'énergie vitale qu'elle donne à son porteur, lui permettant d'être plus endurant, de mieux supporter la douleur....
La Pierre sublime – objet magique du quatrième cercle
Il s'agit à la base d'une pierre de Vie améliorée, aussi bien en tant que canal de flux qu'en possibilités et solidité. Elle accroit d'autant plus l'énergie vitale de son porteur, lui permettant de mourir... moins souvent.
Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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Le Matal 20 Marigar 1512 à 16h20
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| 4) Soigne ce qui a été enduré
Liadha, il te faudra ensuite te soigner, que ce soit en plein cœur du combat ou une fois celui-ci achevé. Tout d’abord en apprenant à refermer tes plaies, car une sœur soignante ne sera que rarement là pour te porter secours, mais aussi en t’appuyant sur la magie de certains bijoux.
Par ailleurs, le Driandel, cet alliage si précieux, tentera de te vider de tes forces lentement, progressivement, mais inlassablement. Il te faudra donc le contrer, d’une manière ou d’une autre.
Une Trousse de soin
 Parce qu'il te faudra toujours revenir sur ton corps. Il s'agit d'un ramassis de tous les instruments et bandages qu'une danseuse souhaiterait avoir auprès de soi, lorsqu'il s'agit de recoudre une coupure, désinfecter une plaie ou stopper un saignement abusif. Il t’apportera… parfois… une aide précieuse.
Anneau de perpétuation – objet magique du troisième cercle
 Cet anneau extrêmement puissant agit en permanence sur l'organisme de son porteur, guérissant les plaies à une vitesse ahurissante. Il ne vous aidera pas beaucoup au combat, mais pourra vous éviter de mourir en vous vidant de votre sang juste après...
L'Armille d'éternité – objet magique du quatrième cercle
 L'Armille d'éternité est ainsi nommé car elle a le don d'allonger la vie de son porteur. Principalement en lui permettant de ne pas mourir pour cause de morceaux de métal plantés dans le ventre.
Le Noeud d'Arkantarok – objet magique du sixième cercle
 Des notes laissées par Arkantarok, sans doute l'un des bijoutiers les plus talentueux de son temps, ont permis de créer ces anneaux. L'original, selon les rumeurs, apportait la vie éternelle a son porteur. Il permet non seulement de refermer les plaies de son porteur mais aussi de raffermir ses forces même aux abords de la mort.
Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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