|
|
|
|
Le Luang 26 Otalir 1509 à 23h26
 |
|
 |
 | Étant finalement seul et unique représentant de notre faction à être rester jusqu'à la fin de cet événement, je m'essaye à vous dire ce qui c'est passé, ce qu'il en est sorti.
Après l'ouverture par un banquet, bon accueil et bonne disposition pour l'ensemble des "invitées", le texte ( traduit ) a été distribué. Je le relis pas, je vous l'épargne ( à moi aussi ).
Après réception grand moment de solitude: peu de personnes intéressées. Au mieux à cause du manque de matière du texte, pas de nouveau sort, de bouleversement ou autre. L'incompréhension et la révélation -pour certaine- que le sujet est complètement sur la magie, surtout que c'est pointu.
Pour accentuer le train, Kysall en profite pour sonner l'alerte.
Bref le temps que la discussion commence, les rangs étaient donc épurés.
S'en suit une analyse, ou il ressort qu'on a perdu pas mal de connaissances -sur le domaine de l'arkan- mais qu'avec le texte comme base on pourrait peut-être les retrouver.
Avec en vue la possibilité de création ou modification de sort de manière sûr, en gros.
Bien évidement avec notre savoir actuelle la compréhension du texte n'a pas beaucoup avancer. ( Pour les intéressées j'ai noté la paraphrase quand même. )
Là où ça devient intéressant, où des fruits peuvent se cueillir, c'est quand vient la question de coopération.
Bien évidement évidement il s'agit d'apporter plus ou moins équitablement sa pierre à l'édifice. Ne pas y participer pourrait nous faire passer à coté de belles découvertes. Mais surtout c'est une porte ouverte à la perfection de notre sorcellerie.
De plus Actuellement il y a pas grande activité du coté des Érudites ( bien évidement je m'y adresse pas qu'à elles ) .
Il y a plusieurs domaines ou pistes à explorer ( auxquelles on a pensé ), je reprend un synthèse:
1. Recensement glyphique: il s'agit là d'un travail -purement quantitatif- de recoupement des glyphes en analysant et comparant les formules de tous les sorts. Le travail est astronomique, mais avec la matrice de Varetelas ( recensement des différentes glyphes connues ) et plusieurs chercheurs dévoués, ça pourrait le faire.
2. Compréhension de la mécanique glyphique : fortement lié au travail de recensement, ce travail doit justement tester, expérimenter, comprendre vraiment le fonction du théorème que nous expose le texte. Nous avons là une formule mais nous n'en percevons pas la portée. Et ce travail de compréhension doit nous permettre à la fois de mieux maîtriser l'arkan et peut être, plutard d'extrapoler son utilisation vers du modelage de sort. Voir de la création. Mais sur tous ces points la prudence sera de rigueur.
3. Pistes externes : ce travail doit être aussi fait en relation direct avec le précédent mais de par sa nature "externe", il nécessitera que d'autres personnes s'en charge. En effet, il s'agit là de recouper et rassembler le maximum d'information sur les domaines et les matières liés à la formule. Que ce soit les éléments -et ce mystérieux Zeugme-, l'astronomie -mécanique Stellaire-, et de chacun des domaines qui forment les 10 groupes de glyphes. Il faudra sans doute aller chercher ces informations au sein des différentes factions. Mais d'autres facteurs sont liés aux glyphes, notamment les Astres ( là on est particulièrement visé ).
4. Fouilles historiques : Cette piste là est peut être à subdiviser en plusieurs autres pistes plus petites. Quoiqu'il en soit, il faut réussir à rétablir un ordre chronologique des événements. Voir simplement logique. Et contrairement à ce que l'on peut penser, ce travail là peut mener à des réponses "fondamentales" sur notre situation actuelle. Des réponses qui nous permettront d'anticiper les événements à venir. Si il fallait lister les questions principales, les deux grandes lignes:
=> Au sujet du texte en lui même: son origine, son auteur, ses autres annexes, pages, parties manquantes?
=> Au sujet du contexte historique correspondant à ce texte: l'époque, la situation entre chaque faction, l'état d'esprit, les relations vis à vis des Nemens.
Et c'est cette deuxième ligne de recherche qui peut mener à des réponses cruciales sur le "pourquoi" du retrait des Nemens de notre apprentissage de la sorcellerie. Il se cache donc derrière une pensée politique, une vision globale de notre monde, qui n'est plus si inaccessible. D'autre part nous avons la chance qu'il existe ceux qu'on appelle "les premiers sortis" et qui pourront sans doute apporter leur aide sur l'histoire.
5. Pistes annexes : où l'on peut mettre à peu près tout et n'importe quoi, mais dans un souci d'effort collectif et constructif, il faut que cela reste lié à l'ensemble. C'est ainsi que fonctionne une machine. Même le plus petit rouage a son importance. Et je pense notamment ici à des travaux tels que celui que j'ai effectué -rapidement certes et sans concertation- sur l'Anarkan. Ce travail n'est pas prioritaire, mais il est utile. D'autres part, ces pistes annexes tendront à grossir au fur et à mesure que les 4 autres "travaux" avanceront. Car de nouvelles pistes s'offriront à nous.
Voilà, voilà.
Donc si certaines sont intéressées faites signe. Évidement personnes avec un minimum de bon sens et de capacité à travailler avec autrui ( et autre faction surtout ) .
Les tchaës sont les plus investies dans ce projet, pour ceux que j'ai rencontrées sont compétentes et intéressées, donc je ne doute pas que ça puisse donner quelque chose.
( Y a une première action vers la grotte dite de "Kysall", une visite je ne sais plus pour quoi, vous les avez peut-être croisées, mais la responsable est ouverte à toute volontaire pour les accompagnée, bonne mise en bain - que je ne peux malheureusement pas faire ) .
Rayon de bonheur. | |
 |
|
 |
|
|
|
|
|
|
Le Vayang 30 Otalir 1509 à 16h38
|
|
|
| Le texte traitant exclusivement de l'Arkan il était un peu difficile de dévier sur l'Anarkan.
Les ressemblances sont évidentes, mais la mécanique différente, ou plutôt pas utilisé de la même manière.
L'utilisation de l'Anarkan va de paire avec une sensibilité et une compréhension du "modelage" du flux. Malheureusement le texte retrouvé parlait d'une mécanique à un autre niveau, plus bas. Pour nos diverses opération nous utilisons le même matériel, et doit donc suivre une logique semblable, mais on a perdu toutes traces sur ce sujet.
Une compréhension profonde du fonctionnement des glyphes nous aiderait à découvrir la manière dont les entropistes traitent le flux.
Cette compréhension ne peut actuellement se faire que sur l'Arkan, car on a dorénavant des pistes plus précises sur l'usage des glyphes et la fonction de certains assemblage.
Pour faire une image grossière une sorcière "conventionnelle" va avoir un gros moule, alors que l'utilisateur de l'Anarkan en aura plusieurs petit. La première donne une figure précise, l'autre un assemblage plus ou moins réussi, mais aucune ne savait jusqu'à maintenant ce qui se passe à l'intérieur des moules.
Pour en revenir au sujet principale, content que ça vous parle un peu.
Ceci n'est plus vraiment le symposium, faudra trouver un nom à ce projet, mais il n'est toujours pas question d'apprendre à qui que ce soit l'exécution. Au mieux elle pourra servir à confirmer un ou deux hypothèses sur la Trame, mais cela s'éloigne un peu du sujet de départ je crains. Je n'ai rien étudier sur le sujet mais si les Nemens ne l'apprécie pas, c'est qu'elle doit avoir un fonctionnement moins "doux" que les les autres sphères, et donc différent.
Sur le reste je pense que nous avons intérêt à partager, enfin il y a peut-être quelques trucs qu'on pourra garder en réserve, on en discutera en route, une fois lancées.
Rayon de bonheur. | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
