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Sujet lancé par Lilyeth
Le 13-12-1507 à 23h49
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Posté par Lilyeth,
Le 21-12-1507 à 17h23
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Lilyeth

Le Julung 13 Dasawar 1507 à 23h49

 
J'ai reçu ce jour un message des plus urgents de la part d'un Tchaë nommé Finghin . Je n'en connais absolument pas l'expéditeur et je ne sais pas du tout de qui il tient mon nom. Je vous le retranscris en totalité :
Citation :

J'ai appris par les services de Diplomatie de la Confrérie des Six, que vous étiez une diplomate de la Fraternité du Désordre.

Dans ce cas veuillez pardonnez mon défaut de Tchaë, je ne suis pas né sur les Terres de la Fraternité mon père cependant est né à Oriandre et ma mère s'occupe d'un Fundeq à Farnya.

Je suis un Tchaë spécialisé dans la Sorcellerie, je suis actuellement Capitaine d'une escouade de Sécurité équivalent au rang de Mage de Bataille, voire même de Mage Psychopompes d'après mon niveau d'essencialis.
Malheureusement si mon statut social est bon à Arameth, je ne suis plus des appréciés par les habitants, mon sens du devoir énerve les fonctionnaires corrompus et seuls quelques uns de mes tydales me soutiennent.
Comme je risque de me retrouver dans de gros ennuis je cherche par tous les moyens ouvrir une porte avec la Fraternité, la famille de mon père.
Si vous êtes d'accord, je vais tenter de m'approprier une obsession et vous la ramener. Les Chambellans verreux vont tenter de vous la vendre n'acceptez pas !
La Confrérie est un rammassis de poivrots et d'abrutis sans noms se complaisant dans la luxure.
Je ne recherche qu'une nouvelle vie plus près de ma famille, un travail et sachez qu'a présent je voue une haine sans nom envers la Confrérie qui m'a trahis alors que je les ai sauvé nombre de fois. Je suis prêt à tout vous dire sur la confrérie ayant pour ma part connu des secrets importants comme l'emplacement de la mine de Sel. Demandez et je ferai tout pour devenir un Frère.


Je n'ai bien entendu rien répondu à ce message pour l'instant, j'attends votre avis et la décision de notre Roi concernant cette demande. Ne connaissant pas l'expéditeur, je ne sais absolument pas si sa parole et fiable ni même si ce qu'il y dit de son passé et de sa famille est vrai. Cela est-il un piège ? Il serait très grossier mais rien n'est impossible.

Je pense qu'il est urgent de lui faire une réponse et que, si ce qu'il dit est pour moitié la vérité il me semble plus que nécessaire d'en tirer partie.

Pour mon avis sur la question.

Concernant l'artéfact, nous pourrions effectivement tirer grand bénéfice d'un deuxième artéfact mais nous avons déjà bien du mal à décider pour un premier alors un second ? De plus nous sommes déjà en conflit avec l'un de nos voisins, est-il nécessaire de nous attirer les foudres du second ?

Concernant sa demande d'asile et les informations qu'il pourrait nous livrer, j'avoue être nettement plus intéressée. Peut-être pourrions nous lui offrir un asile temporaire, en quarantaine afin de déterminer la valeur de ses informations et de la confiance que nous pouvons lui accorder. Confiance qui sera pour ma part plus que relative aux vues des enjeux. Il me parait en effet plus probable qu'il s'agisse là d'un espion que d'un quelconque allié ou alors les Dieux sont désormais tout avec nous et nous avons une chance bien étrange ces derniers temps !

Récupérer ainsi deux artéfacts me semblent plus une malédiction qu'un bienfait, mais je vous laisse la parole. Que dis-je à cette homme providentiel ?


 
Thosen Noril

Le Vayang 14 Dasawar 1507 à 01h15

 
Votre analyse me semble empruntée de bon sens, j'y ajouterais d'ailleurs encore une bonne dose de suspicion.
Un espion, c'est très probable, un test de confiance de la Confrérie envers notre faction, encore plus probable, un dérobeur de technologie fraternelle peut être même.

Je suis donc de votre avis ma soeur, nous ne devons pas accepter cette obsession. Elle serait synonyme de mésentente entre nos factions, en avons nous besoins ? De même, je pense que ses informations peuvent être intéressantes, mais pas suffisament pour risquer de nous compromettre avec un agent probablement double.
Laissons le à l'extérieure d'Oriandre, interrogeons le longuement, et si il y a le moindre soupçon d'un possible soupçon... direction les témoins ou l'équilibrium.

Nous pouvons aussi tenter de l'intégrer de manière amicale à notre faction, lui prouver l'importance des liens qui nous unissent et lui permettre d'y prendre part, mais la chance que cela ne fonctionne pas ne vaut pas le jeu.
Et puis, ce Finghin joue trop sur les archétypes pour nous faire croire à son discour, la Fraternité qu'il sait accueillante envers ses frères, véritablement fraternelle, et la Confrérie, ramassis de corrompus, de laches et de traitres, temple de la glorification personnelle.
Vrai mais distillé, certains doivent bien être suffisament intelligent ou sorti de leurs conspirations pour reconnaitre la valeur d'un soldat loyal.
Enfin ! s'ils pensent que l'on ne possède pas d'obsession, quoi de mieux que cette annonce pour faire entrer un espion ?


Donc, que lui dire ? A titre de proposition personnel,
Que la Fraternité ne saurait laisser un tchaë si pleins de bon sentiments dans le désarroi, et que nous l'accueillerons parmis nous après quelques petites formalités administratives, mais qu'il n'est pas nécessaire qu'ils nous disent ni n'amène quoique ce soit. Sa seule parole nous suffira.

Je crois que l'on fait suffisament niais la n'est ce pas ?
Pendant ce temps, un de nous, plutôt moi ou Aarkin, enverra à Antiorn, Teklook ou à Jemori Colcook, chambellans respectifs des caravanes, d'Arameth et de la diplomatie, le message suivant:


*** Rire ***

J'ai peur que votre espion ne mette jamais un pied en Oriandre mon ami.


Sommes nous alors suffisamment niais pour réveler nos plans ? Cela faussera pas mal leurs calculs, une foultitude de données entre en jeu, mais la c'est nous qui en sommes maitres.
La balle sera alors dans leurs camps, leurs réactions nous permettra de connaitre un peu mieux la situation.


 
Elchior

Le Vayang 14 Dasawar 1507 à 02h16

 
Dame Lilyeth, vous avez bien fait de nous faire parvenir ce message.
Il s’agit, à l’évidence, d’un complot. Non contre la Confrérie des Six, mais contre nous.

C’est ainsi que je le reçois, et c’est ainsi que je vais le traiter.

J'ai bien pris note de votre proposition de réponse ironique, Diplomate Noril, mais je suggère quelque chose de plus... radical.

Permettez-moi d’abord de faire un petit commentaire de texte, en particulier des passages que j’ai souligné : j’espère n’avoir point trop perdu des leçons de rhétorique qui m’ont été dispensées il y a fort longtemps ? Si c’est le cas, notre Erudite me corrigera :


Citation :
(…) je ne suis pas né sur les Terres de la Fraternité mon père cependant est né à Oriandre et ma mère s'occupe d'un Fundeq à Farnya
.

Ceci peut être vérifié. Je vais demander aux services appropriés de s’en charger. C’est très certainement vrai, car cette information distillée « en passant », l’air de rien, est l’appât du pêcheur à la ligne : les meilleurs mensonges sont toujours enrobés d’une vérité destinée, vous l’aurez compris, à baisser votre garde.

Citation :
Malheureusement si mon statut social est bon à Arameth, je ne suis plus des appréciés par les habitants, mon sens du devoir énerve les fonctionnaires corrompus et seuls quelques-uns de mes tydales me soutiennent.


Nul doute qu’un traître en puissance est idéalement qualifié pour nous expliquer ce qu’est le devoir, et pour s’insurger contre la corruption… Suis-je le seul à voir ici un paradoxe, que dis-je, un non-sens absolu ?

Citation :
Comme je risque de me retrouver dans de gros ennuis je cherche par tous les moyens ouvrir une porte avec la Fraternité, la famille de mon père
.

Il craint les ennuis. Il agit donc par peur, et prétend cependant avoir le courage de voler une obsession aux siens ? Et depuis quand les Capitaines ou les Mages de bataille font de bons voleurs ? Ce tchae est décidément plein de contradictions !

Citation :
Si vous êtes d'accord, je vais tenter de m'approprier une obsession et vous la ramener. Les Chambellans verreux vont tenter de vous la vendre n'acceptez pas !


Alors là, on touche le fond de l’absurde :

J’ai déjà du mal à me convaincre qu’obtenir une obsession était si nécessaire qu’on a bien voulu le dire, puisque l’analyse de notre Erudite m’a finalement permis de comprendre que tous les poussiéreux, quoi qu’il advienne, étaient invités au Concile... et voilà qu’un trublion voisin prétend nous appâter avec un second jouet ? Un second jouet que nous aurions, dit-il, eu l’intention d’acheter ?

Mais par Stentor, d’où peut lui venir une idée aussi invraisemblable ?

Par cet aveu imbécile, notre homme se trahit. Réfléchissez :

Si les chambellans se proposent de vendre une de leurs obsessions, c’est qu’ils en ont déjà obtenu ce qu’ils voulaient, en clair : qu’ils n’en ont plus besoin. Donc, ils peuvent se permettre de la perdre...

Mais comment rentabiliser une telle perte ? Par l’argent ? Allons donc, il y a mieux à faire : infiltrons un agent chez les tchaes, un agent dont le billet d’entrée sera l’obsession elle-même ! Ils sont si désireux d’en obtenir !

Mais attention : ledit agent doit être de leur race, car ces petits êtres n’accepteront jamais quelqu’un qui n’est pas à leur image...

Voulez-vous que je vous dise ? S'ils ont une once de subtilité, ou s'ils sont à ce point cupides qu'ils veulent garder toutes leurs obsessions, Finghin échouera : dès lors, il sera banni et se croyant lavé de tout soupçon chez les nôtres, que pensez-vous qu'il fera ?

Il viendra frapper à notre porte.


Citation :
La Confrérie est un ramassis de poivrots et d'abrutis sans noms se complaisant dans la luxure.


Voilà ce que j’appelle une vile flatterie, à double sens : vile, parce qu’elle consiste à rabaisser les siens. Flatterie, parce que par contraste, nous en devenons grands.

Qui peut tomber dans un piège aussi grossier ?


Citation :
Je ne recherche qu'une nouvelle vie plus près de ma famille, un travail et sachez qu'a présent je voue une haine sans nom envers la Confrérie qui m'a trahis alors que je les ai sauvé nombre de fois.


Et moi, je vais vous dire ce que recherchent les confrères, par l’intermédiaire de leur espion d’operette : une entrée gratuite dans le grand manège de nos pensées collectives. Moi vivant, jamais la Fraternité n’adoptera qui que ce soit ! Le risque d’être espionné de l’intérieur est bien trop élevé.

Citation :
Je suis prêt à tout vous dire sur la confrérie ayant pour ma part connu des secrets importants comme l'emplacement de la mine de Sel.


La belle affaire : s’imagine-t-il que nous allons entrer en guerre et la conquérir par la force ?

Citation :
Demandez et je ferai tout pour devenir un Frère.


Nous allons effectivement demander quelque chose à ce... « frère ».
Nous allons lui demander quelque chose, parce que je ne veux pas que notre réplique soit ironique : je veux qu’elle soit cruelle.

Voici mon ordre :

Voix Lilyeth, vous allez signifier à votre correspondant que sa proposition est très intéressante, et que nous l’acceptons.

Comprenez bien que de son point de vue, l’essentiel est de devenir Frère, de sorte à avoir accès à notre pensée collective. C’est donc ce qu’il vous demandera de lui obtenir, très vite, si ce n’est en premier lieu.

Mais de notre point de vue, il doit d’abord trahir : nous devons le convaincre de nous remettre son obsession avant qu’il ne puisse devenir des nôtres.

Pourquoi ? Parce que dès qu’il aura commis sa « trahison », nous le dénoncerons immédiatement, officiellement, et rendrons le miroir Nemen à nos sournois voisins.

Ces derniers, confrontés à un crime aussi abominable, ne pourront qu’exécuter, voire bannir sur-le-champ le maudit cloporte ! Je vous avoue que le spectacle de la pendaison, ou de l’écartèlement, ou de l’immolation, qui s’ensuivra – et dont nous demanderons à être témoins, quoi de plus normal entre voisins aimants – me réjouit d’avance. Les comploteurs seront obligés de tourmenter leur propre agent...

Car s'ils ne le font pas, ils avoueront implicitement leur culpabilité.

Un juste retour de manivelle.


 
Aarkin

Le Vayang 14 Dasawar 1507 à 12h08

 
Mes pensées arrivent trop tard ô mon Roi mais il me semble qu'il ne faut pas négliger toute information que nous pourrions lui soutirer en sus. Comme vous le dites, nous n'allons pas nous emparer par la force de leur mines de sel. Cependant, la connaissance de leur emplacement ou d'informations sur le fonctionnement de la Confrérie ne peut qu'être bénéfique pour le futur. Si nous pouvons faire d'une pierre deux coups, pourquoi nous en priver?

 
Lilyeth

Le Vayang 14 Dasawar 1507 à 12h42

 
Je rejoins mon frère Aarkin, pourquoi ne pas en profiter pour en apprendre d'avantage et même au passage lui révéler quelques informations bien entendu fausses pour semer un peu d'avantage le trouble dans l'esprit des confrères.

Si vous n'y voyez pas d'inconvénients, je lui ferai part de votre message mais lui demanderai également de nous fournir "des informations importantes qui nous permettraient de lui faire confiance !". Cela paraitra également moins louche aux confrères que d'accepter ainsi sans y mettre davantage de conditions. Ils nous pensent cupides mais nous savent aussi prudents, ne dévoilons pas notre jeu tout de suite.

Pour ce qui est des fausses informations que nous pourrions lui donner, je laisse nos chers dirigeants juger de ce que nous pourrions discrètement glisser.

Voici le message que je lui transmets en attendant réponse de Notre Bon Roi :

Citation :

Cher Finghin,

Vous avez fort bien fait de me contacter ainsi, il est d'ailleurs certains qu'il valait mieux que ce soit auprès de moi qu'auprès de mes confrères qui auraient certainement été bien suspicieux


(je les soupçonne en effet de m'avoir choisi, me croyant plus "naive" et plus "fleur bleue " alors jouons leur jeu !)
Citation :

Votre situation m'attriste, savoir un frère ainsi tiraillé par son peuple natale et son peuple d'adoption.... Nous ne saurons laisser un de nos frères ainsi malmené par des viles étrangers. Comme vous devez vous en douter, je ne peux vous faire de réponse officielle sans en avoir au préalable discuter avec mes confrères et mes supérieurs mais sachez que je défendrai votre demande, à la fois pour la valeur des informations et que votre courage pourra apporter à notre fraternité, à la fois car il m'est impensable de laisser un frère agoniser ainsi.

Peut-être pourriez vous cependant me donner quelques informations me permettant de convaincre plus aisément notre Roi ? Rien ne presse mais notre peuple reste suspicieux, mon ouverture d'esprit n'est pas la même pour tous.

Amicalement,
Lilyeth, voix bleue.

Mon Cher Roi, Mes Cher Confrère,
Ne voyez nullement dans mes propos une atteinte à vos personnes mais bien une volonté de lui faire croire que je lui suis alliée. Ils me croient si naïve ? Rira bien qui rira le dernier !

Sois dit en passant, ils essaient de nous refourguer l'obsession que les autres factions et moi-mêmes avons laissé à Jemori Colcook dans le nord ! Ils nous prennent vraiment pour des truffes...

Oups ! pardonnez mon langage mais d'être si loin de nos terres me fait perdre peu à peu le sens des convenances...


 
Elchior

Le Vayang 14 Dasawar 1507 à 13h29

 
*** Une onde de colère sourde un instant de la royale pensée ***


Il me semble avoir donné un ordre.

*** Puis le souverain retrouve sa sérénité, pimentée d'une pointe d'amusement ***


Mais j'aime bien être contrarié... lorsque c'est intelligemment fait.

Ambassadeur Aarkin : votre suggestion n'est pas dénuée de sens, mais en la circonstance, croyez-vous une seule seconde que les confrères vont vraiment divulguer l'emplacement de leur mine de sel ?

En supposant d'ailleurs qu'ils se procurent cette substance par voie de prospection ?

Vous devez savoir que nos voisins sont experts en sciences de la nature : s'ils décident de nous envoyer gratter une veine de sel, soyez sûr qu'après quelques jours de récolte, quelques semaines au mieux, le filon miraculeux s'épuisera bien vite...

Cependant, je vais vous laisser mener cette affaire à votre façon, dans la mesure où vous respectez mon édit : nous acceptons la proposition du traitre.

Voix Lilyeth : je vais m'autoriser trois conseils, dans vos échanges avec le dénommé Finghin. Mais vous restez maitresse de vos choix : ce ne sont que des suggestions.

Ne vous dévoyez pas : votre image est celle d'une personne tolérante, à l'esprit ouvert. Ne commencez pas à dénigrer les "étrangers" pour aller dans le sens de votre interlocuteur, cela sonne faux dans votre bouche.

Ne donnez pas d'informations sur nous : si elles sont vraies, cela ne regarde en rien nos voisins. Si elles sont fausses, ils risquent de s'en apercevoir. N'oubliez pas que Finghin est demandeur, pas nous. Si vraiment, vous devez lâcher du lest, faites comme votre interlocuteur : dites quelque chose de vrai, mais d'anodin.

Insistez sur l'obsession promise : les confrères nous pensent incroyablement désireux de l'obtenir, il ne faut pas les décevoir. Donnez-leur l'impression que cette chose nous... obsède, ou plutôt...


*** La pensée verse carrément dans le rire contenu ***


...dites que cette vieille baderne d'Elchior, le Roi tchae, la veut absolument ! Dites qu'il jalouse son prince de fils, qui a la sienne à Farnya ! Ah ah ah ah ah ah ah !!

*** Le souverain redevient sérieux ***


Faites comme vous l'entendez, mais faites au mieux, mes chers sujets. Empêtrez ce tchae sournois dans le piège qu'il prétend nous tendre.

Vous avez toute ma confiance, et j'aimerais que vous vous imprégniez de l'importance de ce mot :

En tant que diplomates, vous serez approchés, tentés, soudoyés, menacés, parce que vous avez accès au saint des saints : aux organes suprêmes de décision que sont les membres du gouvernement, et ma personne.

Parfois, peut-être, serez-vous près à céder... l'importance du pot-de-vin, de l'objet corrupteur, de la promesse faite, vous inciteront à basculer dans la trahison...

Si cela vous arrive, si un jour, vous sentez les sirènes pernicieuses du parjure pénétrer votre âme... Mettez deux choses en balance :

- Ce qui vous tente, et que vous obtiendrez peut-être en échange de votre forfaiture.
- Ce qui vous attend, et que vous obtiendrez assurément, lorsque je saurai.

Encore une fois, Voix Lilyeth, vous avez bien agi en révélant le complot.
Vous faites la fierté de votre couleur, et celle du peuple.


 
Thanakis

Le Vayang 14 Dasawar 1507 à 20h49

 
Ô ma Voix, je vous en prie, agissez prudemment !

Qui avez-vous rencontré, lors de vos pérégrinations, que l'on puisse soupçonner d'avoir donné votre nom à ce Finghin ? Avez-vous échangé ou sympathisé avec des membres de la Confrérie des Six ?

Quoi qu'il en soit, si vous avez des doutes ou besoin de conseils, je suis votre éternelle obligée...


 
Lilyeth

Le Vayang 21 Dasawar 1507 à 17h23

 
Notre petite affaire est en route. Finghin me dit qu'il tentera de prendre possession de l'obsession prochainement, sûrement durant son transport vers le concile.

En parlant du concile, quelle escorte est prévue pour l'artéfact et mes confrères ? Je partirai pour ma part d'Utrynia, je vous y rejoindrai donc !

A très bientôt !


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