|
|
|
Le Julung 26 Julantir 1512 à 01h39
|
|
|
| Poussière sombre, poussière noire... Que vous êtes jolies.
Manteau de jais, manteau noir, plumes d'oiseau, yeux de vipère... Que vous êtes charmant.
Sombre à souhait, ténébreux à vie... Que vous êtes romantique.
Charme, serpent. Englobe mon sein de ton corps sinueux.
Vole, chimère. anéantis les espérances de tes enfants...
La poussière a vécu, la poussière est morte, vive la poussière...
Qu'êtes vous gringalet, devant rats chauves souris et araignées... Rien.
Vous êtes trop grands, vous êtes trop fragiles, vous êtes vulnérables ; un craquement de vigne et vous voilà à terre.
Un souffle de vent et vous voilà répartis dans les champs.
Votre heure viendra Poussière... Votre heure viendra...
Nous serons oubliés... Oubliés dans les miasmes de notre pathétique existence, de notre histoire...
Bonne nuit poussière...
Je t'ai aimé.
Ha ha ha...
Digne ou indigne,ma vie est ma matière, ma matière est ma vie. | |
|
|
|
|
|
Le Julung 26 Julantir 1512 à 10h26
|
|
|
| *** La pensée vient de loin mais est doucement agréable, aimable envers la symbiosée. ***
Je vous ai toujours connu torturée par le doute et la foi en la Poussière, kielna, mais jamais aussi sombre...
Avons nous, nous simples Poussiéreux, le droit de juger la Poussière et ses actes? Laisser nos expériences et vécus, nos relations vécues et échouées, nous dicter un ressenti?
L'observation par nos yeux des actions alentours entreprises par nos semblables et nous mêmes nous donnent elles ce droit, cette capacité?
Nous pouvons douter, avoir tous un moment de faiblesse, un moment ou nous sommes perdus, aveuglés, et convaincus de choses aussi extrêmes.
Mais l'Histoire, celle de notre faction, et l'histoire qui je le sais, vous a tellement touché il y a quelques mois, ont toujours donné tort aux Apôtres déchus perdant foi...
Rappelez-le vous.
| |
|
|
|
|
|
|
|
|