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Une pensée se mêle alors aux autres. Elle semble neutre et d'un étonnent calme.
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« De la haine et du sang ? Mais c'est bien là le choix que vous avez fait.
Les natifs nous ont proposé d'être leurs alliées, mais vous avez préféré la guerre contre eux, au nom d'une fierté mal placé et d'une revendication des plus stupides.
Ces villes ne sont pas les nôtres et plutôt que d'accepter un changement, tous, l'ont refusé.
Dites moi, symbiosés de l'Equilibrium, aujourd'hui, quelle victoire avez-vous trouvé dans la défaite ?
Néanmoins, ce n'est pas un jugement que je tien là mais de simple réflexions, car rien ne dit qu'un autre choix aurait eu de plus douce conséquences à vos yeux.
Un conseil? Un chemin à indiquer? Non, il n'y en a pas.
Car tout l'intérêt de trouver un chemin, une voie. Réside jusque dans sa recherche même.
Honte à celui qui se vante d'avoir la connaissance si il n'en a pas la compréhension.
Quant à la haine, la première victime en est la personne qui hais.
Ce ne sont pas des réponses qu'il vous faut, Archiviste.
Ne confondez pas un ciel étoilé et son reflet dans un lac. »
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Puis la pensée se fit d'une infinie douceur, tel une douce brises venant caresser les joues un frais matin d'hiver, tandis qu'un air d'une grande pureté et fraicheur envahie les poumons. Petit à petit, une douce image se forme sur le consensus, partagé par le Tydale.
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« Et bien, petit Obstacle. D'où te vienne ces larmes ?
Toi que l'on écoute pas, dis moi.
J'entendais et j'écouterai. »
